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Qu’est-ce que la science ? Récents développements en philosophie des sciences : Popper, Kuhn, Lakatos, Feyerabend
Alan Francis CHALMERSÉditeur : La Découverte - 1988
De l’universalité de la logique
Philippe de ROUILHANSous la direction de Jacques BOUVERESSEDans L’Âge de la science. Lectures philosophiques - 1991
Relations, Synthèses, Arrière-Plans. Sur la philosophie transcendantale et la physique moderne
Michel BITBOLSous la direction de François MARTYDans Archives de philosophie - 2001
La philosophie des mathématiques de E.W. Beth
Gerhard HEINZMANNSous la direction de Gerhard HEINZMANNDans Philosophia Scientiae. Travaux d’histoire et de philosophie des sciences - 1999
Quine, la science et le naturalisme
Sandra LAUGIERSous la direction de Pierre WAGNERDans Les Philosophes et la science - 2002
Postmodernisme antirationnel chez Isabelle Stengers
Cédric MULET-MARQUISSous la direction de François ATHANÉ, Marc SILBERSTEIN, Édouard GUINETDans Matière première. Revue d’épistémologie et d’études matérialistes - 2007
Piccolo trattato di epistemologia
Cristina AMORETTI, Nicla VASSALLOÉditeur : Codice Edizioni - 2010
Many Sides: A Protagorean Approach to the Theory, Practice and Pedagogy of Argument
Michael MENDELSONÉditeur : Kluwer Academic Publishers - 2002
Relativism Refuted. A Critique of Contemporary Epistemological Relativism
Harvey SIEGELÉditeur : Springer Science+Business Media B.V. - 1987
La réalité physique
Alain SÉGUY-DUCLOTÉditeur : Hermann - 2013
Ambiguità e armonia : lezioni trentine : A cura di Francesca Castellani
Paul FEYERABENDSous la direction de Francesca CASTELLANIÉditeur : Laterza - 1996
L'éradication de la variole : leçons pour l'épistémologie et la politique
James Robert BROWNSous la direction de Stéphanie RUPHY, Alexandre GUAYDans Science, philosophie, société - 2017
Original anglais : St Lucia, Queensland : University of Queensland Press, 1976. Seconde édition revue et augmentée : Milton Keynes : Open University Press, 1982. – Le présent ouvrage propose la première traduction française, réalisée à partir de la seconde édition revue et augmentée de 1982. – Un nouvel essor de la philosophie des sciences dans le monde anglo-saxon a été marqué depuis les années soixante par les travaux de Karl Popper (1902-1994), Imre Lakatos (1922-1974), Thomas S. Kuhn (1922-1996) et Paul K. Feyerabend (1924-1994). Issus de l’école du positivisme logique, ils se situent tous en rupture avec cette tradition. L’A. entend faire ici le point sur leurs contributions critiques, afin de mieux saisir la portée de ce renouveau de la philosophie contemporaine quant aux conceptions modernes de la nature de la science. – 1, L’inductivisme : la science, savoir issu des faits de l’expérience; – 2, Le problème de l’induction; – 3, La dépendance de l’observation par rapport à la théorie; – 4, Introduction au falsificationisme; – 5, Le falsificationisme sophistiqué, les prédictions nouvelles et le progrès de la science; – 6, Les limites du falsificationisme; – 7, Les théories comme structures. I, Les programmes de recherche; – 8, Les théories comme structures. II, Les paradigmes de Kuhn; – 9, Rationalisme et relativisme; – 10, L’objectivisme; – 11, Une vision objectiviste du changement de théorie en physique; – 12, La théorie anarchiste de la connaissance de Feyerabend; – 13, Réalisme, instrumentalisme et vérité; – 14, Réalisme non figuratif. M.-M. V.
Un tableau est dressé de l’usage, des modes d’opération et des traits distinctifs, de l’approche transcendantale en épistémologie des sciences physiques contemporaines. Des solutions transcendantales à des problèmes classiques de philosophie des sciences, comme celui du relativisme, et celui du conflit entre réalisme et empirisme, sont proposées. Une analyse transcendantale des processus heuristiques durant les phases de révolution scientifique est ensuite amorcée. Des exemples sont pris en physique newtonienne, relativiste, et quantique. Une fonction centrale des épistémologies transcendantales est désignée en fin de parcours : la mise en évidence d’arrière-plans constitutifs traités, à un stade donné du développement des sciences, comme inconditionnés. M.-M. V.
Selon Beth, le climat philosophique de l’époque d’après-guerre est caractérisé par une tension entre scientisme et relativisme subjectif. Quelles conséquences faut-il en tirer pour la philosophie des mathématiques ? Refusant de lier la rationalité à une évidence absolue, la synthèse envisagée par Beth est assez proche des solutions proposées par Gonseth et Bernays. Dans sa partie centrale, cet article examine le point de vue de Beth à partir de deux exemples qui concernent l’engagement ontologique : 1° par rapport à la position de Carnap dans les années trente; 2° par rapport aux conséquences à tirer du théorème de Löwenheim-Skolem.
Traduction, signification et schèmes conceptuels; L’analyticité et le conventionnalisme; Holismes et naturalismes; Relativisme, schème conceptuel et anthropologie.
«La philosophie postmoderniste a érigé le relativisme culturel et cognitif en absolu. Stengers en est l’une des figures marquantes. L’article est une analyse de Cosmopolitiques (1997, 2003), ouvrage représentatif des thèses de Stengers, et plus généralement du courant relativiste en science. Elle abolit la distinction entre connaissances objectives et subjectives. La science en général, et la physique en particulier, ne se distingueraient en rien des autres affirmations sur le monde. Les résultats scientifiques n’auraient de validité que dans un contexte socio-culturel donné, reflétant par exemple un rapport de force. Quelques-unes des techniques du discours de Stengers sont passées en revue. Verbiage, ambiguïté et flou des expressions utilisées induisent des glissements sémantiques. À partir de prémisses peu contestables, elle parvient ainsi à tirer des conclusions aberrantes sur la science. Au manque de rigueur, à la confusion entretenue à dessein, s’ajoutent des erreurs sur la signification des notions scientifiques dont elle discute pour discréditer la science. Selon cet auteur, la démarche scientifique relèverait presque de la fraude intellectuelle. C’est en définitive à une guerre contre la science et la démarche rationnelle que se livre Stengers». [Abstract de C. Mulet-Marquis].
In modo rigoroso e chiaro nel volume sono presentati i temi chiave dell’epistemologia. Definito il termine “epistemologia” al centro del percorso si situano tematiche interdisciplinari che si riferiscono anche alle filosofie della mente e alle scienze cognitive. Il rapporto tra la filosofia e le scienze naturali e umane, la relazione fra fatti e valori, la distinzione tra contesto della scoperta e contesto della giustificazione costituiscono il cuore di un volume che, straordinariamente denso di concetti cruciali della filosofia della scienza contemporanea, persegue un fine etico: “pretendere una democrazia in cui non manchi la chiarezza sulla conoscenza”. – Prologo : «Oh creature sciocche, quanta ignoranza è quella che v’offende !»; 1. Quali culture; 2. Fatti e valori; 3. Scoperta e giustificazione; 4. Fiducia e scienze; Epilogo : La caverna di Platone; Bibliografia; Le autrici; Ringraziamenti; Indice dei nomi. M. F.
Many Sides is the first full-length study of Protagorean antilogic, an argumentative practice with deep roots in rhetorical history and renewed relevance for contemporary culture. Founded on the philosophical relativism of Protagoras, antilogic is a dynamic rather than a formal approach to argument, focused principally on the dialogical interaction of opposing positions (anti-logoi) in controversy. In ancient Athens, antilogic was the cardinal feature of Sophistic rhetoric. In Rome, Cicero redefined Sophistic argument in a concrete set of dialogical procedures. In turn, Quintilian inherited this dialogical tradition and made it the centrepiece of his own rhetorical practice and pedagogy. Many Sides explores the history, theory, and pedagogy of this neglected rhetorical tradition and, by appeal to recent rhetorical and philosophical theory, reconceives the enduring features of antilogical practice in a dialogical approach to argumentation especially suited to the pluralism of our own age and the diversity of modern classrooms. – Table of contents : Introduction. Part I: Greek Origins and Organizing Principles. 1. Protagoras and the Philosophic Origins of Antilogic. 2. Protagorean Practice and the Nature of Antilogic. 3. Pragmatism, Ethics, and the Function of Antilogic. 4. The Rhetorical Form of Antilogic. Part II: Roman Developments in Practice and Pedagogy. 5. De Oratore and the Development of Controversia. 6. Quantilian and the Pedagogy of Controversia. Epilogue: An Appropriate Pedagogy for Antilogical Argument. – Notes. References. Index.
Epistemological relativism has been defended by a variety of thinkers stretching back at least as far as Protagoras. For just as long, however, others have thought the doctrine to be incoherent because selfrefuting. This is perhaps the most fundamental challenge faced by the relativist. – Table of contents : – Part I. Relativism and the Problem of Incoherence: – 1. The Incoherence Argument and the Notion of Relative Truth; – 2. Frameworks, Conceptual Schemes, and “Framework Relativism”. – Part II. Relativism and the Philosophy of Science: – 3. Kuhn and Relativism: Is He or Isn’t He?; – 4. The Kuhnians; – 5. The Kuhn-Inspired New Philosophy of Science; – 6. The Un-Kuhnians: Relativism via the Problem-Solving Theory of Rationality. – Part III. Further Epistemological Considerations: – 7. Goodmanian Relativism; – 8. Relativism and Rationality: Towards an “Absolutist” Epistemology.
L’objectif de cet ouvrage est double : d’une part, proposer une critique rationnelle de l’ontologie qui ne soit pas rationaliste à partir d’une épistémologie fondée sur les données de la physique contemporaine ; d’autre part, saisir le sens du réalisme probabiliste en physique quantique. Ainsi, après une longue introduction historique aux rapports de l’ontologie à la physique, l’auteur propose dans une première partie (Partie I : « Aléatoire, probabilités et hasard ») une analyse détaillée du concept de probabilité, en distinguant probabilité subjective et probabilité objective, puis probabilité possibiliste et probabilité statistique, enfin probabilité hypothétique et probabilité conditionnelle, ainsi que les différents enchâssements ou oppositions entre ces différents sens de la probabilité. L’importance de cette partie réside, au-delà de la richesse de son contenu, dans la clarté définitionnelle et les distinctions que l’auteur opère entre des notions trop souvent mal définies ou confondues (déterminisme, aléatoire, déterminisme aléatoire, aléatoire déterministe, hasard, probable, possible, stochastique, etc.). Une seconde partie (Partie II : « Désordre et émergence ») est consacrée à la question de l’ordre et du désordre en physique, à partir d’une analyse du concept d’incertitude statistique, qui conduit l’auteur à distinguer deux concepts de désordre – dans l’homogène d’une part et dans l’hétérogène d’autre part (i.e. à un niveau physique émergent) – afin de montrer comment s’articulent entre elles la thermodynamique et la théorie de l’information. L’analyse du concept d’incertitude algorithmique (i.e. la complexité au sens de Kolmogorov) conduit dans un premier temps l’auteur à opérer la distinction entre quatre concepts de complexité – deux concepts de complexité algorithmique compressible (complication dans l’homogène et complication dans l’hétérogène) et deux concepts de complexité algorithmique incompressible (aléatoire algorithmique dans l’homogène et aléatoire algorithmique dans l’hétérogène). Dans un second temps, cela le conduit : 1° à poser le problème de la constitution d’une science de la complexité et 2° à penser l’émergence, c’est-à-dire la pluralité relative de la notion de réalité (réalité mathématique, réalité physique, réalité biologique, réalité ordinaire, etc.) et la pluralité interne de chaque sorte de réalité. Dès lors ce sont les notions de totalité non additive, de non-linéarité et d’émergence qui sont soigneusement distinguées. Afin de ne pas réintroduire une perspective ontologique pour penser la réalité fondamentale sous-jacente à la réalité émergente, l’auteur examine dans une troisième partie (Partie III : «Émergence et réalité») la base théorique de la physique contemporaine, offrant ainsi un admirable compendium de philosophie de la physique quantique. L’information pouvant être pensée comme une réduction de l’incertitude, l’unification de la théorie de l’incertitude conduit l’auteur à proposer une unification de la théorie de l’information au chapitre XXX. Ce livre se présente ainsi comme le déploiement d’une critique du rationalisme classique à partir d’une position relativiste non sceptique fondée sur la primauté du concept d’information. D’où le nouveau programme de recherche esquissé dans la longue conclusion de l’ouvrage, à savoir : compléter la théorie de l’information de Shannon par une théorie algorithmique de l’information, une théorie de l’émergence et une théorie sémantique. – Épilogue, pp. 441-442; Remerciements, p. 443 ; Index des noms, pp. 445-450 ; Index des notions, pp. 451-457 ; Table des matières, pp. 459-465.
F. F.
L’éradication de la variole constitue un exemple intéressant d’étude des relations entre science moderne et connaissances « traditionnelles », que l’épistémologie analytique, conceptuelle et anti-relativiste, aborde de façon simplificatrice et non pertinente vis-à-vis de la réalité historique. Ainsi, en Inde, les pratiques religieuses ont eu des effets bénéfiques sur la santé des populations : le récit de Shitala Devi (déesse hindoue de la variole), combiné à la pratique de la variolisation (et non pas seul, bien sûr), bénéficie d’un soutien empirique certain. Le relativisme est donc partiellement vrai dans la mesure où il affirme que pour toute thèse, il existe des circonstances dans lesquelles il est raisonnable d’y adhérer. Le programme d’éradication comporte également des dimensions technologique (aiguille bifurquée), politique (colonisation britannique) et sociale (proximité respective des classes dirigeante et populaire entre pays) qu’on ne peut ignorer pour expliquer son succès. Ph. S.