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Scientific discovery. Computational explorations of the creative processes
Herbert Alexander SIMON, Pat LANGLEY, Gary L. BRADSHAW, Jan M. ZYTKOWÉditeur : The MIT Press - 1987
Logiques de l'agir et construction des objets de connaissance. L'invention de nouveaux dispositifs de recherche
Michel SEBILLOTTESous la direction de Thierry GAUDIN, Armand HATCHUELDans Les Nouvelles raisons du savoir : vers une prospective de la connaissance. - 2002
Gestion des connaissances et recherche scientifique
Claude KORDONSous la direction de Thierry GAUDIN, Armand HATCHUELDans Les Nouvelles raisons du savoir : vers une prospective de la connaissance. - 2002
La valorisation des résultats de la recherche scientifique : point de vue institutionnel et juridique
Martine BARRÉ-PÉPINSous la direction de Gérard CHAZALDans Valeur des sciences - 2008
La construction du problème en Sciences : un outil méthodologique didactique
Youssef BOUGHANMISous la direction de Gérard CHAZALDans Valeur des sciences - 2008
Group Rationality in Scientific Research
Husain SARKARÉditeur : Cambridge University Press - 2007
Introduction à la philosophie des sciences
Hans-Jörg RHEINBERGERÉditeur : La Découverte - 2014
La science au pluriel : Essai d’épistémologie des sciences impliquées
Léo COUTELLECÉditeur : Éditions Quae - 2015
Comment pense un savant ? : Un physicien des Lumières et ses cartes à jouer
Jean-François BERTÉditeur : Anamosa - 2018
Les chercheuses de la Caisse nationale des sciences en France dans les années 1930. L’insertion immédiate des femmes dans un métier neuf
Martine SONNETSous la direction de Joanna GODLEWICZ-ADAMIEC, Dariusz KRAWCZYK, Małgorzata ŁUCZYŃSKA-HOŁDYS, Paweł PISZCZATOWSKI, Małgorzata SOKOŁOWICZDans Femmes et le Savoir / Women and Knowledge / Frauen und Wissen - 2020
This book examines the nature of scientific research : reviews the arguments for and against a normative theory of discovery; describes the evolution of the BACON programs, which discover quantitative empirical laws and invent new concepts; presents programs that discover laws in qualitative and quantitative data; and ties the results together, suggesting how a combined and extended program might find research problems, divise new instruments, and invent appropriate problem representations. Numerous prominent historical exemples of discoveries in physics and chemistry are used as tests for the programs and anchor the discussion concretely in the history of science. – I. Introduction to the theory of scientific discovery : 1, What is scientific discovery ?; 2, On the possibility of a normative theory of discovery; – II. The Bacon programs : 3, Discovering quantitative empirical laws; 4, Intrinsic properties and common divisors; 5, Symmetry and conservation; – III. Qualitative laws and models : 6, Discovering qualitative laws; 7, Constructing componential models; 8, Formulating structural models; – IV. Putting the picture together : 9, An integrated view of law discovery; 10, Discovering problems and representations; 11, Envoi. M.-M. V.
Cette contribution a pour objet de présenter, dans un premier temps, les institutions de valorisation de la recherche scientifique en France et à l’Université de Bourgogne, ainsi que les traits caractéristiques des systèmes de propriété intellectuelle sur lesquels ces institutions reposent pour l’essentiel; dans un second temps, sont évoqués quelques aspects de l’évolution récente du droit des brevets, particulièrement significatifs des enjeux de la brevetabilité en termes de valeur.
Les didacticiens, dans leur grande majorité, se penchent aujourd’hui dans leurs travaux sur les notions de problématisation (construction du problème), problémation (recherche d’une solution), problème, et situation-problème, du fait de leur intérêt dans l’acquisition du savoir scientifique. Les appronfondissements théoriques menés ici s’inscrivent dans un objectif de comprendre comment se construit l’explication scientifique dans la recherche.
Under what conditions is a group of scientists rational? How would rational scientists collectively agree to make their group more effective? What sorts of negotiations would occur among them and under what conditions? What effect would their final agreement have on science and society? These questions have been central to the philosophy of science for the last two decades. In this 2007 book, Husain Sarkar proposes answers to them by building on classical solutions - the skeptical view, two versions of the subjectivist view, the objectivist view, and the view of Hilary Putnam. Although he finds these solutions not completely adequate, Sarkar retrieves what is of value from them and also expropriates the arguments of John Rawls and Amartya Sen, in order to weave a richer, deeper, and more developed theory of group rationality. – Contents : – 1. The overview : – I. The plan of the book; – II. Group to individual, or vice vera?; – III. The Williams problem and utopias. – 2. Group rationality : a unique problem : – I. Not an evolution problem; – II. Not a game theory problem; – III. Ramsey and group rationality. – 3. The problem explored : Sen’s way : – I. Consistency, ordering, and rationality; – II. Other notions of rationality and scientific welfare; – III. The sen-problems of group rationality; – IV. The problem defined. – 4. – The skeptical view : – I. The democratic councils; – II. No covenant, a tale; – III. Multiply, multiply, multiply; – IV. Positive arguments; – V. Negative arguments; – VI. The route to the goal. – 5. The subjectivist view I : – Individuals, group, and goals; – II. Divisions and discrepancies; – III. A society of ruthless egoists; – IV. Theory choice; – V. Problems and a paradox. – 6. The subjectivist view II : – I. Values and individuals; – II. Group transitions and risk distribution; – III. History, values, and representative groups; – IV. Negotiations in the scientists’ original position; – V. The city of man? – 7. The objectivist view : – I. Two objectivist problems; – II. Toward the best available method; – III. The best available method; – IV. Is the single method sufficient?; – V. A new problem of demarcation; – VI. Illustration : the herbalist tradition; – VII. The scare of Saint-Simon. – 8. Putnam, individual rationality, and Peirce’s puzzle : – I. Democracy and group rationality; – II. Moral images, scientific images; – III. Method, historical knowledge, and reason; – IV. Peirce’s puzzle; – V. Ultimately, relativism?; – VI. What lies at Bedrock. – 9. The nine problems : – I. The problem, the common aim of science, and the basic structure; – II. The council, reasoning, and allegiance; – III. The universal law of rationality, the worth of science and utopias. – Includes bibliographical references (p. 267-274) and indexes.
Cet ouvrage de synthèse analyse l’évolution dialectique des rapports entre philosophie générale des sciences, épistémologies régionales, théorie de la connaissance et histoire des sciences, de la fin du XIXe siècle à nos jours. La thèse de l’auteur est la suivante : après la domination du positivisme au XIXe siècle, l’historicisation de l’épistémologie est la transformation majeure de la philosophie des sciences au XXe siècle. Dans un premier temps (chapitre 1) l’auteur dresse un panorama des positions épistémologiques dominantes en Europe, de la seconde moitié du XIXe siècle à la veille de la seconde guerre mondiale : le mécanisme d’E. Du Bois-Reymond (1818-1896), le positivisme d’E. Mach (1838-1916), le conventionnalisme de H. Poincaré (1854-1912), l’émergence d’une proto-épistémologie historique dans la philosophie de la contingence d’É. Boutroux (1845-1921), et enfin, la première tentative de structuration méthodologique de l’histoire des sciences par O. Neurath (1882-1945). Dans un second temps il présente les deux grands premiers programmes d’historicisation de l’épistémologie de l’entre-deux-guerres, tous deux axés sur la constitution sociale du savoir et son historicité (chapitre 2) : d’une part le réalisme phénoménotechnique et la théorie objectivante et processuelle de l’esprit scientifique de G. Bachelard (1884-1962), d’autre part la théorie constructiviste de la connaissance de L. Fleck (1896-1961). L’auteur expose alors les théorisation, méditation et conceptualisation de la logique de la recherche scientifique dans ses rapports complexes à l’histoire et à la technique dans les œuvres de K. Popper (1902-1994), H. Husserl (1859-1938), M. Heidegger (1889-1976) et E. Cassirer (1874-1945) (chapitre 3). Dès lors les idées clés et stratégies de quatre figures représentatives de l’épistémologisation de l’histoire des sciences sont présentées (chapitre 4) : la réinscription de l’histoire des sciences dans l’histoire des idées d’A. Koyré (1892-1964), l’historiographie des révolutions scientifiques de T. Kuhn (1922-1996), l’évolutionnisme conceptuel de S. Toulmin (1922-2009), l’anarchisme épistémologique de P. Feyerabend (1924-1994). Ce sont ensuite les héritiers de Bachelard, représentants des grands programmes épistémologiques de la première partie de la seconde moitié du XXe siècle qui font l’objet du chapitre 5 : l’histoire des concepts de G. Canguilhem (1904-1995), l’archéologie du savoir de M. Foucault (1926-1984), l’approche praxique de la connaissance d’inspiration marxiste de L. Althusser (1918-1990), l’approche scripturaire du fondement de la science (héritière du dernier Husserl) de J. Derrida (1930-2004). L’ouvrage se termine sur une présentation des approches anthropologiques en histoire des sciences (chapitre 6) : l’approche centrée sur la pratique et l’expérimentation scientifique incarnée par I. Hacking (1936-) et l’ethnographie des pratiques scientifiques de Bruno Latour (1947-). – Conclusion, pp. 115-117 ; Repères bibliographiques, pp. 119-122 ; Index, pp. 123-124 ; Table des matières, pp. 125-126.
F. F.
Comment penser le pluralisme dans les sciences et comment le faire vivre ? Quelles sont les conséquences effectives de la reconnaissance d’un tel pluralisme ? Quel type de responsabilité engage-t-il ? Animé d’une ambition subtile – ni positiviste, ni relativiste, ni non plus éclectique – l’auteur de cet ouvrage (qui est issu d’une conférence donnée à l’occasion du 20e anniversaire du groupe Sciences en questions) nous livre l’argumentaire solide, concis, structuré et illustré par de nombreux exemples concrets (OGM, Alzheimer, tremblement de terre de la ville d’Aquila, etc.) d’une posture épistémologique originale (promise à un avenir rayonnant) conforme à la réalité structurelle de la science au XXIe siècle : l’ « épistémologie impliquée ». À partir d’une caractérisation pluraliste de la science (dans sa disciplinarité, ses styles, ses méthodes, ses valeurs et ses temporalités de recherche), l’auteur propose une critique argumentée des concepts d’autonomie, d’impartialité et de neutralité, constitutifs de l’idéal de la science traditionnelle, afin d’expliciter, sur la base du pluralisme exposé et revendiqué, ce qu’il entend par « science impliquée », à savoir : « une science qui tient sa pertinence à sa tolérance au pluralisme et aux valeurs et donc qui abandonne son idéal d’autonomie et de neutralité sans abandonner son exigence d’impartialité. » (p. 39) À la triade axiologique autonomie/impartialité/neutralité de l’idéal de la science traditionnelle, l’auteur propose donc de substituer la triade axiologique fécondité/impartialité impliquée/responsabilité impliquée de la science impliquée. Dès lors, il dégage un nouveau concept de responsabilité, connexe à une science véritablement impliquée : celui de « responsabilité épistémique », qui n’est ni la responsabilité juridique, ni la responsabilité morale, mais la responsabilité sociale et politique nécessairement collective, liée à la pertinence de savoirs produits et mobilisés en contexte, de façon concertée. Ni compliquée, ni appliquée, ni expliquée, ni dupliquée, la science « impliquée » est démocratique, pluraliste, critique et responsable : elle forme la conjointure de ces différentes postures. Le lecteur trouvera en complément de l’essai de Léo Coutellec la transcription de la discussion ayant suivi la conférence dont il est issu. – Discussion, pp. 59-76 ; Références bibliographiques, pp. 77-82 ; Table des matières, p. 83 ; Ouvrages parus dans la même collection, pp. 85-87.
F. F.
Jean-François Bert, sociologue et
historien des sciences sociales, retrace la méthode de classement et
d’explication des travaux dirigés par Georges-Louis Le Sage, physicien du
XVIIIe siècle. La méthode de référencement, de classement et l’organisation du
travail de Le Sage étant uniques à son époque, Bert essaie d’en tirer les
avantages et les inconvénients afin de percevoir quels étaient les aspects
positifs et négatifs de son organisation de chercheur. Il s’agit de montrer de
quelle manière la façon de travailler influe directement sur la manière de
percevoir le monde du scientifique. Les travaux du scientifique sont
directement influencés par la manière qu’il a de travailler, de classer les
éléments théoriques, les découvertes et les références bibliographiques. Le
fichier de Le Sage constitue donc le révélateur de son incompréhension devant
le monde, de son manque d’organisation et d’efficacité devant les problèmes
physiques, et dévoile ses incapacités à évoluer au même rythme que les autres
physiciens. Le but du livre de Jean-François Bert est donc de souligner les
révolutions qui sont à l’œuvre au XVIIIe siècle dans les domaines de la
production et de la gestion des savoirs. Il s’agit d’évaluer la gestion et la
méthode de production de savoir de Le Sage afin de découvrir l’histoire d’un
physicien, au-delà de son parcours professionnel, et de se rendre compte de
l’impact de son travail sur sa vie, sa carrière et sa réputation. Les cartes à
jouer qui constituent le fichier de Le Sage physicien sont donc l’objet d’étude
de Jean-François Bert, qui en fait désormais un usage épistémologique dans le
but d’en découvrir les principes méthodologiques. Elles passent donc des mains
d’un Le Sage désorienté, douteux, anxieux et débordé par le nombre de cartes
qui constituent son fichier, aux mains d’un chercheur convaincu qu’elles
révéleront les raisons et les causes des découvertes de ce physicien.
L. M.
Les bourses distribuées par la Caisse nationale des sciences (CNS) entre 1931 et 1939 produisent un nouveau type de chercheur, en dehors du système académique. La proportion des femmes parmi les chercheurs du CNS est relativement élevée (15 %) par rapport au petit nombre de femmes diplômées au cours de cette période. L’article propose un portrait collectif des 164 femmes universitaires du CNS qui représentent tous les domaines de la science (sciences exactes et sciences humaines).
P. V.