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An Introduction to Philosophical Logic
Anthony C. GRAYLINGÉditeur : Coéd. The Harvester Press Ltd. / Barnes & Noble Books - 1982
Pourquoi les mathématiques sont-elles difficiles ?
Lény OUMRAOUÉditeur : Vuibert - 2009
La définition bolzanienne de l’analyticité logique
Edgar MORSCHERSous la direction de Daniel LAURIERDans Philosophiques - 2003
Carnap et la logique de la science
Pierre WAGNERSous la direction de Pierre WAGNERDans Les Philosophes et la science - 2002
Quine, la science et le naturalisme
Sandra LAUGIERSous la direction de Pierre WAGNERDans Les Philosophes et la science - 2002
Mathématiques, analyticité et applicabilité. Carnap 1927-1937
Fabrice PATAUTSous la direction de Pierre WAGNER, Jacques BOUVERESSEDans Mathématiques et expérience. L’empirisme logique à l’épreuve (1918-1940) - 2008
Carnap's Relativised A Priori and Ontology
Paolo PARRINISous la direction de Michel BITBOL, Pierre KERSZBERG, Jean PETITOTDans Constituting Objectivity. Transcendental Perspectives on Modern Physics - 2009
Questions de forme : Logique et proposition analytique de Kant à Carnap
Joëlle PROUSTÉditeur : Fayard - 1986
Natural Kinds and Conceptual Change
Joseph LAPORTEÉditeur : Cambridge University Press - 2004
This introduction to topics in philosophical logic provides a comprehensive account of the major issues in metaphysics and the philosophy of language as these are dealt with in contemporary philosophy. Each chapter is a self-contained introduction to the subject which it treats, but the book as a whole constitutes a survey of the views of some of the twentieth century’s leading thinkers : Frege, Russell, Wittgenstein, Quine, Strawson, Kripke, Davidson, Dummett, and others. The references constitute an extensive bibliography of the relevant philosophical literature, and throughout the book technical terms and concepts are explained and analysed. – 1. Philosophical logic, the philosophy of logic, philosophy and logic (Notes); – 2. The proposition (Notes); – 3. Necessity, analyticity, and the a priori (Notes); – 4. Existence, presuppositions and descriptions (Notes); – 5. Truth : the pragmatic and coherence theories (Notes); – 6. Truth : the correspondence, Redundancy and semantic theories (Notes); – 7. Meaning, reference, verification and use (Notes); – 8. Truth, meaning, realism and antirealism (Notes); – 9. Some consequences and commitments (Notes). M.-M. V.
Comme les deux côtés d'une même médaille, les mathématiques réunissent deux aspects distincts : d'un côté l'activité technique de mesure et de calcul. Remontant aux Babyloniens et aux Egyptiens, elle fournit leurs outils aux ingénieurs et aux gestionnaires mais n'a pas de dimension théorique. De l'autre, l'activité scientifique qui fut amorcée par les Grecs au VIème siècle avant notre ère (les noms de Thalès et de Pythagore puis ceux d'Aristote et d'Euclide sont bien connus des écoliers) n'a jamais cessé de se développer. Au XXème siècle en France par exemple, le célèbre groupe Bourbaki a proposé l'unification de la logique et de la mathématique. – La question examinée dans ce livre est celle du fondement de la vérité des mathématiques. Sont-elles inscrites dans la nature et indépendantes de l'esprit humain ou bien forment-elles un langage forgé par l'homme ? Selon l'option, la difficulté des mathématiques sera attribuée aux problème traités ou bien aux stratégies intellectuelles de résolution de ces problèmes. – Partie I, Le paralogisme internaliste (– Sur le caractère a priori des mathématiques; – La formulation du paralogisme; – Pour une critique du paralogisme internatiste); – Partie II, La thèse de l’analyticité des mathématiques (– Insuffisance d’une conception sémantique des mathématiques; – La conception syntaxique des mathématiques); – Partie III, En quel sens les mathématiques sont-elles synthétiques ? (– Le problème de l’interprétation de la pensée kantienne; – A. Robinson et la procédure de Herbrand; – La synthéticité conceptuelle et l’élargissement de la notion de construction auxiliaire); – Partie IV, De l’heuristique (– Qu’est-ce que l’heuristique ?; — Logique mathématique et heuristique des preuves; – Heuristique mécanique). – Conclusion. – Annexe : Les axiomes de la géométrie d’après Hilbert. M.-M. V.
D’après Bolzano, une proposition est logiquement analytique si et seulement si elle est soit logiquement valide, soit logiquement non valide. Bolzano dit aussi parfois qu’une proposition est logiquement valide si et seulement si elle est et reste vraie sous toute variation simultanée et uniforme de ses parties non logiques. C’est essentiellement la même définition que donne Quine dans son article «Carnap and Logical Truth» où il attribue à ce dernier (et dans une note également à Bolzano) l’idée qu’un énoncé logiquement vrai est un énoncé au sein duquel seuls les termes logiques sont essentiels. Mais qu’en est-il des propositions et des énoncés vrais qui sont composés exclusivement de parties logiques ? Selon la définition précédente, elles s’avèreraient toutes logiquement valides ou logiquement vraies. Une proposition telle que «Il y a quelque chose» n’est toutefois manifestement pas logiquement valide selon Bolzano. La définition courante de la validité logique doit être modifiée de manière à répondre aux intuitions bolzaniennes. Dans cet article, je propose une telle modification.
Définir la science : une question de signification; Une science de la science est-elle possible ?; La logique de la science à l’œuvre : exemples, résultats, méthodes; Logique de la science formelle. L’analyticité et le conventionnalisme à l’épreuve; Logique de la science du réel. L’unité de la science et le critère vérificationniste en question.
Traduction, signification et schèmes conceptuels; L’analyticité et le conventionnalisme; Holismes et naturalismes; Relativisme, schème conceptuel et anthropologie.
Cet article aborde deux genres de questions, l’une plus historique que l’autre : 1/ comment Carnap concevait-il l’analyticité entre 1927 et 1937 ?; 2/ quel rapport entretient chaque manière carnapienne de la concevoir avec le fait que les mathématiques sont applicables ? En particulier, l’une d’entre elles nous aide-t-elle à rendre compte de l’applicabilité mieux qu’une autre ? Ou bien y a-t-il au contraire, soit en règle générale, soit dans un cas particulier d’analyse, une incompatibilité entre analyticité et applicabilité ?
The paper reconstructs Carnap's epistemological and ontological ideas stressing the link between these ideas and the most general tenets of Logical Empiricism (negation of the Kantian theory of synthetic a priori judgments, linguistic theory of the a priori, influence of Poincaré's conventionalism, principle of verification, refusal of metaphysical absolutism). From this point of view it also discusses both the Carnap/Quine debate on analyticity and ontology and the difference between Carnap and the ‘young' Reichenbach on the nature of the relativised a priori.
Ce travail, dont la traduction américaine paraît en 1989 (Questions of form : logic and the analytic proposition from Kant to Carnap. Minneapolis : University of Minnesota Press, c1989. Trad. par Anastasios Albert Brenner), montre le réseau de contraintes conceptuelles de niveaux divers dans lequel les catégories logiques sont prises. Dans cet essai de topique comparative, le choix du concept d'analyticité sert l'hypothèse directrice consistant à soutenir le caractère fondamentalement rationaliste de la distinction entre propositions analytiques et synthétiques. Une des idées les plus révolutionnaires et les plus contestées du Cercle de Vienne est que la philosophie ne traite pas d'objets connus a priori, ni de contenus d'expérience donnés, mais de formes de discours. Tous les énoncés philosophiques sont donc analytiques, comme ceux de la logique et des mathématiques, et leur validité dépend uniquement des règles logiques du langage utilisé. L'importance donnée, dès lors, aux propositions analytiques afin de penser la philosophie – mais également ce qui fait l'unité de la science – prend tout son relief quand on se souvient que Kant avait cru devoir confiner les jugements analytiques à de simples produits de la pensée d'entendement, c'est-à-dire d'une dimension classificatoire mais stérile de la cognition. L'ouvrage prend la mesure de cette révolution en montrant comment, de Kant à Bolzano et Frege, de Frege à Carnap, la logique formelle étend sa juridiction au point de battre la logique transcendantale sur son propre terrain. La mise en parallèle des définitions successives du concept d'analyticité, réinscrites dans le système dont chacune dépend, conduit à une écriture originale de l'histoire de la philosophie qui devient une «topique comparative» : reconstruction des arguments et analyse des conditions particulières de leur acceptabilité. – Section I, Kant et ses “devanciers”; – Section II, La rénovation bolzanienne de l'analyticité; – Section III, Frege et l'hypothèse de l'analyticité; – Section IV, Les stratégies fondationnelles de Rudolf Carnap.
According to the received tradition, the language used to to refer to natural kinds in scientific discourse remains stable even as theories about these kinds are refined. In this illuminating book, Joseph LaPorte argues that scientists do not discover that sentences about natural kinds, like 'Whales are mammals, not fish', are true rather than false. Instead, scientists find that these sentences were vague in the language of earlier speakers and they refine the meanings of the relevant natural-kind terms to make the sentences true. Hence, scientists change the meaning of these terms, This conclusions prompts LaPorte to examine the consequences of this change in meaning for the issue of incommensurability and for the progress of science. This book will appeal to students and professional in the philosophy of science, the philosophy of biology and the philosophy of language. – Contents : Preface; Introduction; – 1. What is a natural kind and do biological taxa qualify?; – 2. Natural kinds, rigidity and essence; – 3. Biological kind term reference and the discovery of essence; – 4. Chemical kind term reference and the discovery of essence; – 5. Linguistic change and incommensurability; – 6. Meaning change, theory change and analyticity. – Notes; Includes bibliographical references (p. 201-214) and index.