Comment ça marche ?
1.1.1. Votre requête est guidée par la suggestion des mots-clés déjà enregistrés dans la base de données (auto-complétion)
1.1.2. Pour combiner des mots-clés dans une requête, plusieurs possibilités se présentent :
1) Opérateur ET : il doit être entré avec le symbole "&" :
2) Opérateur OU : il doit être entré avec le symbole "+" :
3) Opérateur SAUF : il doit être entré avec le symbole "-" :
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1.2.2. Vous avez la possibilité de faire tourner la boule des mots-clés associés au terme choisi :
1.2.3. Vous avez aussi la possibilité de cliquer sur un mot-clé :
1.2.4. Une fois un mot cliqué, un widget apparaît indiquant le nombre de notices indexées par le mot-clé sélectionné :
1.2.5. En cliquant sur le widget, vous faites apparaître la liste des références bibliographiques indexées par le mot-clé que vous avez sélectionné :
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1.4.1. Entrez une requête dans le ou les champs souhaités
1.4.2. Votre requête est guidée par la suggestion des termes déjà enregistrés dans la base de données (auto-complétion) :
1.4.3. Pour sélectionner un item appuyez sur « + » ; pour retirer un item de la recherche appuyez sur « - »
1.4.4. Pour combiner les termes, sélectionnez les opérateurs que vous souhaitez utiliser dans votre requête :
1.4.5. Pour lancer votre recherche appuyez sur « Rechercher »
Monographie
Dictionnaire / Encyclopédie
Collectif
Article
Revue / Périodique
Thèse
3.1. Vous pouvez la faire tourner dans tous les sens
3.2. Vous pouvez la zoomer et la dézoomer
3.3. Vous pouvez cliquer sur les mots-clés qu'elle présente
Les réflexions méthodologiques de Claude Bernard : structure, contexte, origines
Jean GAYONSous la direction de Michel BITBOL, Jean GAYONDans L’Épistémologie française, 1830-1970 - 2006
Theory and Practice in Heron’s Mechanics
Mark J. SCHIEFSKYSous la direction de Walter Roy LAIRD, Sophie ROUXDans Mechanics and Natural Philosophy before the Scientific Revolution - 2008
Apprentissage organisationnel et épistémologie de la pratique. Le jeu du silence vu comme une parabole de l’apprentissage organisationnel
Donald A. SCHÖNSous la direction de Bénédicte REYNAUDDans Les Limites de la rationalité - 1997
Théorie de la connaissance et pratiques chez Durkheim et Garfinkel
Anne Warfield RAWLSSous la direction de Michel de FORNEL, Cyril LEMIEUXDans Naturalisme versus constructivisme - 2008
Réalité mathématique et pratiques des mathématiques
Jean-Christophe YOCCOZSous la direction de Claude GRIGNON, Claude KORDONDans Sciences de l’homme et sciences de la nature. Essais d’épistémologie comparée - 2009
La vulgarisation des sciences, espace de critique du scientisme
Daniel RAICHVARGSous la direction de Gérard CHAZALDans Valeur des sciences - 2008
The Practice of Theory. Rhetoric, Knowledge, and Pedagogy in the Academy
Michael F. BERNARD-DONALSÉditeur : Cambridge University Press - 1998
Deux propositions : – 1. la plupart des thèses méthodologiques générales de Claude Bernard, bien qu’elles soient illustrées par des exemples empruntés à la physiologie, ne lui sont pas intrinsèquement liées, et méritent d’être comprises à la lumière de débats qui se sont produits dans l’environnement intellectuel de Bernard, environnement pas uniquement composé de médecins et de biologistes; – 2. il existe un concept bernardien qui échappe à ce genre d’analyse, celui de déterminisme. Bien que présenté comme un principe méthodologique ultime des sciences expérimentales, le déterminisme de Claude Bernard est étroitement lié à sa représentation et à sa pratique de la physiologie. L’objet de cet article est de formuler quelques arguments en faveur de ces deux propositions.
Le problème de l’apprentissage organisationnel s’articule autour de deux questions complémentaires : – quelle est la nature de l’activité cognitive (mentale) engagée (mise en œuvre) dans l’apprentissage organisationnel ?; – dans quelle mesure, s’il en est, cette activité peut-elle être légitimement qualifiée d’«organisationnelle» ? Cet article est centré sur la première question, sans pour autant ignorer la seconde. – [Texte traduit par Benoît Journé].
Anne Rawls répond, point par point, aux objections que lui ont adressées les contributeurs au présent dossier. Elle revient en particulier sur la question de savoir dans quelle mesure il est légitime de rapprocher les sociologies de Durkheim et de Garfinkel. C’est pour elle l’occasion de dénoncer la vision courante d’un Durkheim «objectiviste», qui aurait érigé l’agrégation de données statistiques en méthode suprême de la sociologie et privilégié la réflexion théorique au détriment de l’étude des pratiques. Avec tout autant de vigueur, elle balaie les erreurs commises symétriquement au sujet de l’œuvre de Garfinkel, souvent décrit comme un auteur «subjectiviste», qui se serait centré sur le détail des pratiques en train de s’accomplir au point d’abandonner toute entreprise théorique et d’évincer de l’analyse la dimension politique de la vie sociale. Réaffirmant la validité du projet durkheimien d’un dépassement émancipateur de la philosophie classique, engoncée dans ses postulats individualistes, par la sociologie, Anne Rawls soutient qu’accorder une place centrale à l’étude des pratiques, loin de signifier que l’on renonce à l’analyse de la réflexivité et de la conscience humaines, est la seule véritable façon de rendre compte de ces phénomènes. C’est dans cette perspective qu’elle est amenée à défendre l’idée qu’il est possible de donner une description objective des intentions d’un auteur – en l’occurrence, celles de Durkheim.
In her answers to all the contributors’ objections, Anne Rawls pays particular attention to the legitimacy of considering Durkheim and Garfinkel’s sociologies together. She denounces the standard vision of an «objectivist» Durkheim who would have established the use of aggregate statistical data as the supreme method of sociology and privileged theoretical reflexion to the detriment of the study of practices. She forcefully brushes aside the errors simultaneously made on Garfinkel, often described as a «subjectivist» author who supposedly concentrated on the details of practices to the extent of abandoning all theoretical approaches and eliminating the political dimension of social life. Reaffirming the validity of the Durkheimian project of stepping beyond classical philosophy cramped by its individualist postulates, Rawls maintains that giving a central place to the study of practices, far from implying an abandon of the analysis of reflexivity and human consciousness, is the only true way of explaining these phenomena. From this perspective, she defends the idea that it is possible to give an objective description of Durkheim’s intentions.
Comment résoudre l’énigme de la correspondance entre l’esprit humain, les mathématiques et la réalité ? Cet article évoque, dans une première partie, quelques aspects de la réalité mathématique et ses relations avec la réalité physique, le terme «physique» étant ici utilisé dans un sens très large qui englobe les sciences de la nature mais aussi le monde du vivant. La seconde partie se concentre sur les pratiques des sciences mathématiques, celles des mathématiciens et celles des autres scientifiques.
Il s’agit ici d’envisager le concept de vulgarisation des sciences en le faisant varier dans son extension et sa compréhension, par deux approches : – une approche par le théorique-pratique proposée par des textes de réflexion émis à l’occasion d’actions de vulgarisation; – une approche par les objets définis comme «populaires-médiatiques». La première approche conduit à une vulgarisation conçue comme pensée critique du scientisme. La seconde approche conduit à une vulgarisation conçue comme pratique critique du scientisme.
Though theory has become a common language in the humanities in recent years, the relation between theoretical speculation and its practical application has yet to be fully addressed. In The Practice of Theory, Michael Bernard-Donals examines the connection between theory and pedagogy at the level of practice. He asks how such a practice works not only to change the way we read and speak with one another, but also the conditions in which these activities become possible. Bernard-Donals argues that the most sophisticated practice linking pedagogy to theory is rhetoric, but the version of this tradition in thinkers like Rorty and Fish is never broad enough. The conception of rhetoric he proposes instead is linked to other human and natural sciences. The practice of theory investigates the degree to which a materialistic rhetoric can reinvigorate the link between theory, teaching and practice, and offers a sustained reflection on the production of knowledge across a broad range of contemporary disciplines. – Table of contents : – 1. Gorgias, Phaedrus, and the rhetorical formulation of the extra-discursive; – 2. Aristotle on rhetoric, phronesis, and practical knowledge; – 3. A rhetorical reading of the human sciences: towards antifoundationalism; – 4. Rorty and the mirror of nature: hermeneutics and the possibility of social change; – 5. Louise Phelps and theory: towards a human science disciplined by practical wisdom; – 6. Liberatory pedagogy, conceptual knowledge: towards a practical wisdom disciplined by scientific observation; – 7. Toward a materialistic rhetoric: writing the conditions of the incommensurable.