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Inquiries into truth and interpretation
Donald DAVIDSONÉditeur : Clarendon Press - 1984
Le Mot et la chose
Willard Van Orman QUINEÉditeur : Flammarion - 1999
Kripke. Référence et modalités
Pascal LUDWIG, Filipe DRAPEAU VIEIRA CONTIMÉditeur : Presses Universitaires de France - 2005
Philosophies de la perception : phénoménologie, grammaire et sciences cognitives
Sous la direction de Jacques BOUVERESSEÉditeur : Odile Jacob - 2003
Introduction à la philosophie analytique. La logique comme méthode
Bruno LECLERCQÉditeur : Coéd. Éditions universitaires / De Boeck - 2008
Scientific Knowledge and Common Knowledge
Sous la direction de Dariusz LUKASIEWICZ, Roger POUIVETÉditeur : Epigram Publishing House - 2009
De On Denoting de B. Russell à On Referring de P.F. Strawson : l’avenir d’un paradigme
Francis JACQUESSous la direction de Dominique WOLTONDans Hermès - 1990
Création et représentation dans les énoncés fictionnels
Marcel VUILLAUMESous la direction de Daniel ANDLER, Pierre JACOB, Joëlle PROUST, François RÉCANATI, Dan SPERBERDans Épistémologie et cognition - 1992
‘A Corporall Philosophy’: Language and ‘Body-Making’ in the Work of John Bulwer (1606–1656)
Justin E. H. SMITHSous la direction de Charles T. WOLFE, Ofer GALDans The Body as Object and Instrument of Knowledge. Embodied Empiricism in Early Modern Science - 2010
Catégories logiques et paradoxes : recherches à partir de Frege, Russell et Tarski : Thèse de doctorat d'État : Philosophie : Université Paris 1 – Panthéon-Sorbonne : 1988, sous la direction de Jean-Toussaint Desanti
Philippe de ROUILHAN
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Éditeur : - 1988
To Know or Not to Know : Beyond Realism and Anti-Realism
Jan T. J. SRZEDNICKIÉditeur : Springer Science+Business Media B.V. - 1995
Études de logique et de linguistique
Peter Frederick STRAWSONÉditeur : Seuil - 1977
Davidson's exceptional Inquiries into Truth and Interpretation (1984), which set out his enormously influential philosophy of language, remains a central point of reference, and a focus of controversy, with its impact extending into linguistic theory, philosophy of mind, and epistemology. The eighteen essays in this collection address the question of what it is for words to mean what they do. Davidson covers such topics as the relation between theories of truth and theories of meaning, translation, quotation, belief, radical interpretation, reference, metaphor, and communication. This work will appeal to a wide audience of philosophers, linguists, and psychologists. – 1. Theories of Meaning and Learnable Languages; – 2. Truth and Meaning; – 3. True to the Facts; – 4. Semantics for Natural Languages; – 5. In Defence of Convention T. Applications; – 6. Quotation; – 7. On Saying That; – 8. Moods and Performances. Radical Interpretation; – 9. Radical Interpretation; – 10. Belief and the Basis of Meaning; – 11. Thought and Talk; – 12. Reply to Foster. Language and Reality; – 13. On the Very Idea of a Conceptual Scheme; – 14. The Method of Truth in Metaphysics; – 15. Reality Without Reference; – 16. The Inscrutability of Reference. Limits of the Literal; – 17. What Metaphors Mean; – 18. Communication and Convention. – Appendix to Essay 10: Belief and the Basis of Meaning (1974). M.-M. V.
Reproduction au format de poche de la première traduction française (Paris : Flammarion, 1977, Coll. «Nouvelle bibliothèque scientifique»). – Ouvrage central de la philosophie analytique au XXe siècle, ce texte expose des thèses qui ont transformé l'héritage du positivisme logique et révolutionné la philosophie des sciences, de la logique, et du langage. Ces thèses portent respectivement sur : – 1. la sous-détermination des théories : les données de l'expérience ne déterminent pas une théorie unique de la réalité. La vérité est immanente au schème conceptuel, à notre langage et aux entités qu'il “pose”. Quine soulève ainsi la question du réalisme; – 2. l'indétermination de la traduction : il y a plusieurs traductions, empiriquement équivalentes et contradictoires, d'une autre langue dans la nôtre. La signification est un mythe. Quine introduit l'anthropologie dans la philosophie du langage et suscite un débat crucial dans la philosophie analytique (chez Kuhn, Davidson, Putnam, Rorty); – 3. la naturalisation : la recherche d'une notation logique est inséparable de la structuration du réel par notre schème conceptuel. La logique est “sur le même bateau” que les autres sciences. Après Quine, il n'y a plus de point de vue angélique, ni de philosophie première : la voie est ouverte pour le naturalisme contemporain et les sciences cognitives. – Chap. I, Langage et vérité; – Chap. II, Traduction et signification; – Chap. III, L'ontogénèse de la référence; – Chap. IV, Les caprices de la référence; – Chap. V, L'embrigadement; – Chap. VI, La fuite loin des intentions; – Chap. VII, Décision ontique. M.-M. V.
C’est lors d’une série de conférences données à l’Université de Princeton en janvier 1970 que Kripke rend publique sa théorie de la référence des noms propres et des concepts modaux (le possible et le nécessaire). Ces conférences ont pour ambition de réfuter la théorie descriptiviste de la référence issue des travaux de Bertrand Russell, jusqu’alors prédominante, et de jeter les fondements d’une nouvelle théorie, conçue en termes de désignation rapide et de relations causales. Ces conférences vont ensuite faire l’objet d’une publication, sous le titre «Naming and Necessity», dans un recueil dirigé par Donald Davidson et Gilbert Harman et intitulé Semantics of Natural Language (Dordrecht : Reidel, 1972). La traduction française par Pierre Jacob et François Récanati paraît sous le titre La Logique des noms propres (Paris : Minuit, 1982. Collection «Propositions»). – Le présent essai se veut un guide de lecture de cet ouvrage difficile, en suivant l’ordre des conférences, de la réfutation du descriptivisme à la formulation de l’argument néo-dualiste. On trouve six chapitres : – I. L’orthodoxie descriptiviste (Mill et les noms propres comme «marques» («tags»); Nomination et description chez Russell; La théorie orthodoxe de la référence selon Kripke; La clarification des théories descriptivistes); – II. L’assaut contre le descriptivisme (L’argument modal; La thèse de la rigidité des noms; Les arguments épistémiques : l’erreur, l’ignorance; L’argument sémantique); – III. Une approche causale de la référence (Noms propres et chaînes causales; Noms communs et espèces naturelles); – IV. L’a priori et le nécessaire (Les objections de Quine contre la logique modale quantifiée; Les réponses russelliennes : noms propres logiques et descriptions définies; Marcus, Kripke et la nécessité de l’identité; La désimbrication des catégories modales et épistémiques); – V. Référence et essences (Mondes possibles et essentialisme; Essentialisme et identifications théoriques; Essentialisme et nécessité de l’origine; L’individuation au travers des mondes; Une solution déflationniste); – VI. Vers un nouveau dualisme ? (La thèse de l’identité des types; L’argument modal; Le problème de illusions modales). M.-M. V.
Ouvrage issu des travaux du séminaire organisé par Jacques Bouveresse au Collège de France, de février à mai 2002, sur le thème “Approches de la perception : phénoménologie, grammaire et sciences cognitives”. – Pour la philosophie de la perception, ce recueil constitue un véritable état des lieux. Dans une perspective résolument pluraliste, il permet en effet de confronter et de faire se répondre trois approches, qui trop souvent s’ignorent, du problème de la perception : – celle de la phénoménologie, qui continue à représenter pour beaucoup de philosophes la tradition majeure dans le domaine de la philosophie de la perception, – celle des partisans du traitement “grammatical” de la question et des questions philosophiques en général à la manière de Wittgenstein, – celle, enfin, des praticiens des sciences cognitives et des neurosciences dont le mode de traitement des problèmes est à la fois plus empirique, plus respectueux des acquis récents de la science et plus conforme aux exigences du naturalisme. – Les communications sont distribuées selon cinq axes principaux : – I. Voir la réalité : Jocelyn Benoist, “Image scientifique et image manifeste du monde” ; Louis Allix, “Voyons-nous directement la réalité extérieure ?”. – II. Espace et mouvement : Jean Petitot, “Neurogéométrie et phénoménologie de la perception” ; Jérôme Dokic, “L’espace de la perception et de l’imagination” ; Alain Berthoz, “Stratégies cognitives et mémoire spatiale”. – III. Qualités, couleurs, transparence : François Clémentz, “Le concept de propriété phénoménale” ; Jacques Bouveresse, “Y a-t-il une ‘logique des couleurs’ ?” ; Jean-Maurice Monnoyer, “La transparence et le caractère double de l’expérience”. – IV. Voir, voir comme et penser : Christiane Chauviré, “Perception visuelle et mathématiques chez Peirce et Wittgenstein” ; Jean-Jacques Rosat, “Comment décrire ce que nous nommons ‘voir’ ? : Wittgenstein lecteur de Köhler ”. – V. Concept, contenu, représentation : Pascal Engel, “Le contenu de la perception est-il conceptuel ?” ; Élisabeth Pacherie, “Modes de structuration des contenus perceptifs visuels” ; Sandra Laugier, “La perception est-elle une représentation ?”. – Présentation des auteurs pp. 315-317. M.-M. V.
La philosophie analytique, qui naît à la fin du XIXe siècle avec la mise au point d’un nouvel outil d’analyse logique – l’idéographie frégéenne, est avant tout une méthode, une stratégie particulière pour aborder et, si possible, résoudre les problèmes traditionnels de la philosophie. Dès lors, ce sont les grands principes directeurs de cette méthode, tels qu’ils ont été développés et mis au point dans une série de travaux fondateurs, mais aussi tels qu’ils éclairent le propos de l’ensemble des travaux postérieurs, que le présent ouvrage s’efforce d’exposer. Proche des grands textes et centré sur les questions philosophiques elles-mêmes, il montre précisément comment les solutions esquissées par Frege, Russell et Moore à quelques grands problèmes de la philosophie ont fait école et suscité les développements que représentent les travaux de Wittgenstein, Carnap, Ryle ou Austin. – Chapitre 1, Gottlob Frege (La réforme de la logique; La seconde idéographie; Le réalisme platonicien; Le logicisme; La troisième idéographie); – Chapitre 2, Bertrand Russell (La grammaire philosophique; Réalisme platonicien et référentialisme; La reconquête nominaliste; Le logicisme; Les paradoxes logiques); – Chapitre 3, Ludwig Wittgenstein (La triple isomorphie de la raison, du langage et du monde: L’atomisme logique; Les limites du langage; La diversité des jeux de langage et leurs règles non logiques; Grammaire philosophique et ontologie; Le mythe de la signification; Analyse du langage et clarification ontologique); – Chapitre 4, Rudolf Carnap (La reconstruction logique du monde; Nominalisme et pseudo-entités; L’insignifiance de la métaphysique; La syntaxe logique du langage; Nominalisme et énoncés quasi-syntaxiques; De la syntaxe à la sémantique); – Chapitre 5, Willard Van Orman Quine (Le critère d’engagement ontologique; Réserves à l’égard du logicisme; Le procès des intensions; Le mythe de la signification; L’inscrutabilité de la référence; L’effondrement des deux dogmes de l’empirisme logique; Le retour au psychologisme); – Chapitre 6, Philosophie du langage ordinaire (Moore et les méthodes de la philosophie; Ryle : analyse logique informelle et analyse d’usage; Austin et la pratique du langage de l’homme ordinaire). M.-M. V.
The relation between scientific knowledge and common knowledge is a relatively new philosophical problem; it emerged with the rapid development of empirical science based on mathematics and experimental methods. One of by-products of that development is scientific realism claiming that the world is such as science reveals it to us. However if the world is as science presents it, then, what is the value of common knowledge and what role does common knowledge play in human cognitive activity ? Another question is whether common knowledge precedes in any significant sense scientific knowledge, or is it merely a guide to some of our daily activities with no relation to scientific cognition ? Perhaps it is a burden which, if possible, should be discarded as it makes gain knowledge of what the world is really like difficult. Is it possible that the very question about the relation between scientific knowledge and common knowledge is for some reasons ill-formulated and has no sense whatsoever? The aim of the present book is to search for answers to those questions. M.-M. V.
La question de la fiction revêt une importance spéciale pour la philosophie du langage : le phénomène de la fiction oblige soit à repenser l’ontologie, soit à marginaliser l’emploi littéraire par rapport à l’emploi ordinaire du langage. Refusant la marginalisation de la fiction, l’auteur précise dans son article le statut de ces mondes fictionnels, qui sont relatifs aux «jeux de faire-semblant». Dans un jeu fictionnel, le le narrareur décrit un univers pour le lecteur et le lecteur obéit à la règle fondamentale de croire en la vérité des assertions du narrateur. Cette règle pragmatique du jeu de faire-semblant fictionnel explique le sentiment (attesté linguistiquement) d’assister aux événements décrits lorsqu’on joue le rôle de lecteur.
Francis Bacon, in his 1605 work The Proficience and Advancement of Learning, analyzes “Notes of Cogitations” into “twoo sortes... [t]he one when the Note hath some Similitude, or Congruitie with the Notion; [t]he other... hauing force onely by Contract or Acception.” The latter are either “Hierogliphickes” or “Gestures,” and the latter of these “are as Transitorie Hierogliphickes, and are to Hierogliphickes, as Words spoken are to Wordes written, in that they abide not.” In some fashion or other, it is the first kind of hieroglyphics that will dominate in the seventeenth-century efforts to develop an ideal, artificial writing system, one that would not be based on mere convention, but would instead serve transparently for producing emblems of the things one wishes to denote. The second variety Bacon identifies, gesture, will in contrast gain little attention. Yet little attention is not none at all. Over the course of the 1640s, the obscure Baconian natural philosopher John Bulwer would develop his predecessor’s notion of transitory hieroglyphics into an elaborate system, one that would serve as the starting point for the later sciences of, among other things, sign language and sociolinguistics. Bulwer’s theory of gesture reveals an important rift in seventeenth-century debates about the universal character, between those who believe that this can be nothing other than an artificial language, and those who believe that it is precisely artifice that obscures meanings, and that any universally comprehensible system of communication will be perfectly natural as opposed to artificial. In exploring this rift, we are also able to gain access to a curious, if not terribly influential, theory constituting a point of contact between early modern philosophy of language on the one hand and the early modern metaphysics of body on the other.
Les recherches qui composent cette thèse, menées à partir de Frege, Russell et Tarski, sont consacrées à la notion de catégorie logique en relation avec le problème des paradoxes. Leurs titres suggèrent l'unité organique du tout qu'elles constituent. La première recherche porte sur les paradoxes de la représentation (à partir de Frege) ; la seconde, sur la résolution commune des paradoxes logiques ou sémantiques par la théorie des types ramifiée (à partir de Russell) ; la troisième, sur la résolution séparée des paradoxes logiques par la théorie des types simple ou par la théorie des ensembles et des paradoxes sémantiques par la distinction des niveaux de langage (à partir de Tarski). La visée ultime de cette thèse est la résolution simultanée des paradoxes logiques et sémantiques, bien qu'elle ne la produise pas.
The theory presented here represents a radical departure from current treatments of the theory of knowledge. It makes the point that all such work is based on the false assumption that what makes knowledge possible is in itself knowable in some way, whereas in fact it is below the threshold of any cognitive consciousness. It is therefore necessary to seek the basis of the possibility of knowledge on entirely different levels, and in entirely novel ways. To Know or Not to Know is the first presentation of the theory in full, earlier writings being only preliminary and brief. It is aimed at the general philosopher, and the specialist in the field of epistemology, but relevant to anyone who would understand how it is possible to know anything at all. – Analytical table of contents : A Note. Introduction. – I. Paradigmatic Base. II. Fact vs. Hypothesis. III. Sources of Knowledge. IV. Preconditions of Knowledge 1. V. Preconditions of Knowledge 2. VI. Preconditions of Knowledge 3. VII. Ontological Commitment. VIII. The Normative Constraint. – Conclusion: A Picture of the Theory.
[Original : Logico-Linguistic Papers. London : Methuen & Co, 1971]. — Dans le cadre traditionnel de la philosophie analytique anglo-saxonne, l’A. (Waynflete Professor de métaphysique à l'Université d’Oxford et Fellow du Magdalen College) réunit ici des articles sur le thème du langage ordinaire — de la célèbre réfutation de la Théorie des Descriptions de Russell à l'examen des positions d'Austin sur la vérité, en passant par la discussion des concepts de Chomsky. – I. « De l'acte de référence », in Mind, vol. 59, NS, 1950 ; – II. « Particulier et général », Proceedings of the Aristotelician Society, 1953-1954 ; – III. « Termes singuliers et prédication », The Journal of Philosophy, vol. 58, 1961 ; – IV. « Référence identifiante et valeurs de vérité », Theoria, vol. 30, 1964 ; – V. « L’asymétrie entre sujets et prédicats », Language, Belief and Metaphysics (vol. 1 de Contemporary Philosophic Thought), H. E. Kiefer et M. K. Munitz edd. State Univ. of New York Press, 1970 ; – VI. « Propositions, concepts et vérités logiques », The Philosophical Quarterly, vol. 7, 1957 ; – VII. « Grammaire et philosophie », Proceedings of the Aristotelician Society, 1969-1970 ; – VIII. « Intention et convention dans les actes de langage », The Philosophical Review, vol. 73, 1964 ; – IX. « Signification et vérité », Lecture inaugurale à l’Université d’Oxford, novembre 1969, publiée par Oxford University Press ; – X. « La vérité », Proceedings of the Aristotelician Society, Supplementary Volume, 1950 ; – XI. « Un problème à propos de la vérité », Truth, G. Pitcher ed., Prentice-Hall, 1964; – XII. « La vérité : reconsidération des idées d’Austin », The Philosophical Quarterly, vol. 15, 1965. M.-M. V.