1.1.1. Votre requête est guidée par la suggestion des mots-clés déjà enregistrés dans la base de données (auto-complétion)
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Monographie
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Revue / Périodique
Thèse
3.1. Vous pouvez la faire tourner dans tous les sens
3.2. Vous pouvez la zoomer et la dézoomer
3.3. Vous pouvez cliquer sur les mots-clés qu'elle présente
Esquisse d’une philosophie de la structure : Thèse principale présentée à la Faculté des lettres de l’Université de Paris pour le doctorat ès lettres
Raymond RUYERÉditeur : Presses Universitaires de France - 1930
Théorie générale de l'invention
René BOIRELÉditeur : Presses Universitaires de France - 1961
La Théorie de la relativité d'Einstein. Éléments pour une théorie de la connaissance : Œuvres; XX
Ernst CASSIRERÉditeur : Le Cerf - 2000
«L’univers, et toutes les formes, se posent en se prouvant, rien d’extérieur ne peut les justifier. L’univers des formes posé, constaté, sans que notre langage et nos habitudes viennent lui demander ses titres, sa signification, sa justification, voilà quelle doit être la véritable intuition des philosophes. Nous encombrons le monde de sentiments trop humains, nous ne voulons pas comprendre que les formes se contentent d’être ce qu’elles sont, et que tout le reste est bavardage. La véritable solution à “l’énigme” du monde, c’est de se décider une bonne fois à être absolument réaliste. – Pour nous, nous nous bornons à constater que toutes les réalités qui composent l’univers sont des Formes» (p. 366). – Partie I, «Les formes à liaisons objectives» : Chap. I, Les formes et la mécanique; Chap. II, Les mécanismes et le monde réel; Chap. III, Les mécanismes et les “mondes”. – Partie II, «Les formes à liaisons cérébrales» : Chap. IV, Mécanisme de la sensation; Chap. V, Interprétation mécaniste de l’activité psychologique. – Partie III, «Relations entre les deux types de formes» : Chap. VI, Mécanisme de la connaissance; Chap. VII, Mécanisme des êtres mathématiques; Chap. VIII, Le mécanisme de la philosophie de la connaissance; Chap. IX, Critique des notions artificielles; Chap. X, Limites de la science mécaniste. M.-M. V.
«L’intelligence semble échapper à toute tentative de connaissance précise de son dynamisme interne. En effet, elle crée sans cesse de nouveaux procédés pour résoudre les problèmes motivés par les structures qu’elle organise et, par suite, elle est toujours au-delà des définitions dans lesquelles on prétend l’enfermer. Et, cependant, une certaine connaissance du dynamisme spirituel doit bien être possible en un sens puisque l’esprit qui se déploie au contact de structures qu’il construit ou dont il prend conscience, sait nécessairement d’un savoir absolu, mais encore implicite, comment il doit s’y prendre pour se déployer». Pour parvenir à une notion claire du dynamisme intellectuel, c’est à préciser cette tension de l’intelligence et des structures manipulées que s’attache l’auteur. Cette symbiose de la pensée et des structures se manifeste précisément dans les œuvres de l’homme : il semble donc possible de pouvoir dégager, par réflexion à partir de ces œuvres, une connaissance de l’esprit. À une conception de l’esprit nécessairement statique parce que limitée au savoir constitué et à l’analyse des conditions du jugement constituant, René Boirel oppose une approche dynamique du problème de la formation du «jugement réfléchissant» en l’étudiant justement à l’œuvre dans l’histoire des sciences. Préconisée par Brunschvicg, la méthode de connaissance de l’esprit est donc essentiellement une réflexion sur l’histoire des sciences en vue de suivre au plus près le dynamisme même de la vie intellectuelle. – Partie I, Phénoménologie de l’invention (1. Éidétique de l’invention; 2. Dynamologique des différents secteurs de l’activité humaine; 3. Dynamologique et connaissance de l’esprit); – Partie II, Le point de départ de l’invention humaine (1. Les réminiscences corporelles de l’activité opératoire; 2. Conséquences de ces réminiscences corporelles pour la philosophie de la connaissance; 3. Signification de la connaissance et, plus généralement, de l’invention humaine); – Partie III, Cosmologie dynamologique. M.-M. V.
Après avoir lu de près et annoté le manuscrit de Cassirer sur la théorie de la relativité, Einstein se montra très intéressé et lui adressa cet éloge dans sa lettre du 5 juin 1920 : « C'est avec un très grand intérêt que j'ai étudié de manière approfondie votre ouvrage et j'ai surtout admiré l'assurance avec laquelle votre esprit maîtrise la théorie de la relativité. [...] Je crois que votre ouvrage est tout à fait propre à éclairer les pensées et les connaissances des philosophes sur le problème physique de la relativité ». – En s'inspirant directement de la «méthode» kantienne et des fondements de la philosophie critique, Cassirer s'efforce de nous livrer ici une interprétation transcendantale des acquisitions de la théorie de la relativité d'Einstein. Ainsi, la philosophie de la connaissance n'a ni à déduire «a priori» la réalité physique (certains post-kantiens l'avaient, hélas, oublié), ni à se borner à n'être que la servante des sciences : sa fonction critique consiste essentiellement à dégager de l'histoire effective des théories scientifiques la pensée qui les a produites, et à retrouver en celle-ci leur signification transcendantale déterminée. Tout se passe comme si Cassirer avait mis en mouvement la Critique de la Raison pure en n'hésitant pas à tenter de «comprendre Kant mieux qu'il ne s'est compris lui-même», de la même manière que ce dernier s'était proposé de comprendre Platon. M.-M. V.