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La Structure de l’organisme. Introduction à la biologie à partir de la pathologie humaine. : Texte augmenté de fragments inédits
Kurt GOLDSTEINÉditeur : Gallimard - 1983
Le Normal et le pathologique
Georges CANGUILHEMÉditeur : Presses Universitaires de France - 1999
La Connaissance de la vie
Georges CANGUILHEMÉditeur : Vrin - 1992
Le Vivant et l’épistémologie des concepts. Essai sur Le Normal et le pathologique de Georges Canguilhem
Guillaume PÉNISSONÉditeur : L’Harmattan - 2008
La pathologie au lieu du transindividuel
Bernard ASPESous la direction de Jacques ROUXDans Gilbert Simondon. Une pensée opérative - 2002
Georges Canguilhem : science et non-science
Claude DEBRUÉditeur : Éditions Rue d’Ulm - Presses de l’École Normale Supérieure - 2004
Canguilhem et les normes
Guillaume LE BLANCÉditeur : Presses Universitaires de France - 1998
Médecine et philosophie : essai sur la philosophie hippocratique : Thèse de doctorat : Philosophie : Université de Nice Sophia-Antipolis : 1997, sous la direction de Clément Rosset
Laurent AYACHE
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Éditeur : - 1997
L'Énergie et la matière psychique : Ses logiques normales et pathologiques
Stéphane LUPASCOÉditeur : Julliard - 1974
The Pathological Role of Pneuma in Aristotle
Patrick MACFARLANESous la direction de Hynek BARTOŠ, Colin GUTHRIE KINGDans Heat, Pneuma, and Soul in Ancient Philosophy and Science - 2020
L’entreprise de l’A. est, en 1934, de renouveler les problèmes théoriques liés à la compréhension des organismes en intégrant les résultats contemporains des recherches en biologie, en médecine, en neurologie, en psychologie de la forme, en psychiatrie et même en psychanalyse. Refusant les approches réductionnistes - “atomistiques” dirait Goldstein - de la biologie moléculaire, l’ A. propose une conception “totalitaire” de l’organisme : l’individu vivant est envisagé comme une totalité intégrante, se définissant “lui-même par lui-même et pour lui-même” (G. Canguilhem, préface à Éléments pour une théorie de la biologie, de André Pichot, 1980). L’A. revendique alors une auto-défintion logique du vivant dont les sciences cherchant à le comprendre doivent suivre le mouvement. - Chap. I : Observation dur l’homme atteint de lésion cérébrale ; Chap. II : L’organisme considéré à partir des phénomènes obtenus par analyse ; Chap. III : Réflexions théoriques sur la fonction du système nerveux comme fondement d’une théorie de l’organisme ; Chap. IV : Modification de la fonction de l’organisme par lésion ; Chap. V : L’essence des phénomènes partiels (la signification des réflexes) ; Chap. VI : La théorie de l’organisme considéré comme totalité ; Chap. VII : L’essence de la connaissance biologique : Chap. VIII : Norme, santé et maladie. Hérédité et sélection ; Chap IX : Vie et esprit (la structure hiérarchique du vivant) ; Chap. X : La psychologie de la forme et la théorie des formes physiques ; Chap. XI : Connaître et agir ; Chap. XII : Remarques finales. M.-M. V.
Cet ouvrage majeur est composé de la réédition de la thèse de G. C., Essai sur quelques problèmes concernant le normal et le pathologique (1943) et d’une étude ultérieure, Nouvelles réflexions concernant le normal et le pathologique (1963-1966). – La thèse de 1943 de G. C. fait référence en matière de philosophie de la médecine et de la biologie, par l’introduction dans ces disciplines de son concept central, celui de normativité biologique. La capacité normative définit les normes biologiques selon la polarité dynamique de la vie, par laquelle le vivant n’est plus soumission à son milieu mais institution de ses valeurs et de son milieu propre. Ainsi, il n’y a pas une norme de vie, mais des normes de vie, l’état pathologique étant également une manière de vivre. - Cette thèse comprend deux parties, dont la première, “L’état pathologique n’est-il qu’une modification quantitative de l’état morbide?” est davantage historique (elle développe notamment une réfutation du “principe de Broussais” selon lequel le pathologique ne diffère du normal que par une différence de degrés quantitatifs) et la seconde, “Y-a-t-il des sciences du normal et du pathologique?”, est davantage philosophique par l’examen des concepts auquel elle procède (tels que ceux de normal, anomalie, maladie, norme, moyenne, guérison, santé). – Dans la seconde étude de cet ouvrage, G. C. entend, par une confrontation des normes sociales et des normes vitales, éclairer la signification spécifique de ces dernières (Chapitre. 1, “Du vital au social”) et mettre en lumière l’intrication de la nature et de la culture dans la détermination des normes organiques humaines (Chap. 2, “Sur les normes organiques chez l’homme”). Enfin, G. C. y augmente sa philosophie des progrès des sciences biochimqiues et de la théorie de l’information en développant les enjeux du concept d’erreur biochimique héréditaire, tant à l’égard de l’attitude de l’homme face à la maladie qu’à l’égard du rapport entre la connaissance et son objet (Chap. 3, “Un nouveau concept en pathologie: l’erreur”). M.-M. V
Première édition à Paris : Hachette, 1952. – Les études réunies dans cet ouvrage sont des conférences ou des articles datant des années 1945-50. Elles constituent une contribution majeure à l’histoire, l’épistémologie et la philosophie des sciences de la vie en interrogeant la particularité de la présence au monde de l’être vivant. «La vie est formation de formes, la connaissance est analyse des matières informées». Les sept études réunies par Canguilhem dans ce volume témoignent de cette inspiration commune : l’idée d’une irréductibilité de la vie à une série d’analyses ou de divisions des formes vitales. La spécificité du vivant engage au contraire une vision de l’objet biologique qui dépasse la compréhension mécaniste des phénomènes physiques. Conçue comme un approfondissement de divers enjeux conceptuels en philosophie et en histoire des sciences, La Connaissance de la vie est devenue une œuvre fondamentale dont l’influence sur l’épistémologie contemporaine reste majeure. Sont abordées les questions de la méthodologie des sciences de la vie, de l’émergence historique de la théorie cellulaire, ainsi que les problèmes philosophiques du vitalisme, des liens entre machine et organisme, des rapports singuliers et capitaux entre l’individu et son milieu, la définition conceptuelle du normal et du pathologique et de la monstruosité. - Introd. : La pensée et le vivant ; I : Méthode (L’expérimentation en biologie animale) ; II : Histoire (La théorie cellulaire) ; III : Philosophie (Aspects du vitalisme ; Machine et organisme ; Le vivant et son milieu ; Le normal et le pathologique ; La monstruosité et le monstrueux) ; Appendices (Note sur le passage de la théorie fibrillaire à la théorie cellulaire ; Note sur les rapports de la théorie cellulaire et de la philosophie de Leibniz ; Extraits du Discours sur l’anatomie du cerveau tenu par Sténon en 1665 à Messieurs de l’Assemblée de chez Monsieur Thévenot à Paris). M.-M. V.
«C’est par un travail de réflexion et d’élaboration philosophique que l’épistémologie des concepts rend possible la reconsidération du rapport entre la science du vivant et le vivant lui-même» (p. 119). Les concepts se construisent en effet suivant des déterminations spécifiques en fonction des époques, des idéologies humaines et possèdent l’originalité de porter un propos sur le vivant émanant du vivant lui-même. Ce qui n’est pas sans incidence sur les différents champs d’application des sciences du vivant comme la médecine ou la thérapeutique. Cet ouvrage s’intéresse au geste philosophique auquel invite Georges Canguilhem dans Le Normal et le pathologique, qu’il s’agit ici d’aborder selon trois axes de lecture : – I. Histoire des sciences, histoire des hommes (Science présente et science passée; Continuité et discontinuité; Science du vivant et réflexivité; L’épistémologie des concepts); – II. Épistémologie et philosophie (Le normal et les normes; La normativité biologique; Normes d’évaluation des concepts; Le statut de l’individualité; Organisme et organisation; Science et technique); – III. Épistémologie et erreur (Erreur et information; Irréversibilité et création; Déterminisme et indéterminisme; Conséquences et implications du statut de l’erreur dans l’épistémologie de Georges Canguilhem). M.-M. V.
L'objectif de cet ouvrage est de révéler l'actualité de deux idées majeures présentes dans l'oeuvre de Georges Canguilhem : celles de rupture épistémologique et d'idéologie scientifique. L'articulation de ces deux idées participe d'une méthode élaborée par Canguilhem en histoire et en philosophie des sciences visant à identifier les activités relevant de l'idéologie scientifique ou de la science (partition entre science et non-science). Ainsi au portrait spirituel de Canguilhem (Chap. 1 : « In memoriam ») succède immédiatement l'analyse de sa thèse de 1943 : Essai sur quelques problèmes concernant le normal et le pathologique. Ce second chapitre, intitulé « Georges Canguilhem et la rationalité pathologique », illustre l'originalité et la fécondité de cette méthode. La normativité vitale, concept unifiant la physiologie et la pathologie, révèle en effet que la normalité et la pathologie correspondent à des ordres physiologiques différents : « La conséquence de ce pouvoir normatif de la physiologie humaine d'instituer un optimum (ou un maximum) dans des conditions données est que la physiologie est certainement une science dans ses méthodes analytiques et dans sa recherche d'invariants, mais qu'elle ne l'est pas dans son objet, parce que son objet n'est pas constant, pas stable. » (p. 41) Le troisième chapitre entend dès lors déterminer le statut de l'influence des idées de Kurt Goldstein dans l'oeuvre de Canguilhem, dans la mesure où Goldstein est, avec Claude Bernard et René Leriche, l'auteur le plus cité de la thèse de 1943. Un retour sur la réflexion méthodologique de Canguilhem en histoire des sciences (chap. 4 : « Science et non-science ») permet d'en connaître l'objet propre : l'étude critique des questions et des réponses posées par la pratique scientifique, c'est-à-dire l'histoire critique de la constitution des problèmes (idéologie scientifique) et de l'invention des concepts (ruptures épistémologiques). L'auteur a joint un appendice : il s'agit d'une réflexion sur l'expression « philosophie des sciences », qui est aussi un appel à la construction d'un dialogue et d'une collaboration constantes entre les scientifiques et les philosophes, de sorte à pouvoir produire un discours (sur la recherche scientifique, sa fécondité, ses innovations, mais aussi les problèmes qu'elle pose, etc.) à destination du plus grand nombre (Appendice : « Note sur l'expression « philosophie des sciences » et sur quelques sujets apparentés »). – Notes ; Bibliographie, pp. 101-102 ; Index, pp. 103-105.
F. F.
L'auteur propose une "relecture" du livre de Canguilhem, Le Normal et le pathologique. Comment la critique d'une normalité unique permet-elle d'aboutir à une reformulation philosophique de l'être-en-vie, tant biologique que social, c'est l'entreprise souveraine qui commande le livre de Canguilhem. La philosophie de Canguilhem consiste en une réflexion sur la vie et la connaissance que nous pouvons en avoir. Cet effort pour penser ensemble vie et connaissance est décisif chez Canguilhem, dont la philosophie de la vie repose sur le concept de norme. Pendant longtemps, Canguilhem fut considéré non seulement comme un grand historien des sciences mais aussi à la suite de Bachelard, comme philosophe de la rationalité épistémologique. Or les questions de la maladie et de la santé, développées dès 1943, présupposent, au fondement d'une telle rationalité, une philosophie première dont dépend l'épistémologie critique. Cette philosophie réside dans la relation construite par Canguilhem entre vie et norme d'une part, vie et connaissance d'autre part. La vie et création de normes, il n'y a pas une normalité vitale ou sociale, mais des formes de vie multiples déterminées et comprises à divers titres par l'appartenance des individus à une société. – Sommaire : – Philosophie et normes; – La vie à l'épreuve de la maladie; – L'invention du sujet entre normes sociales et normes vitales; – Une certaine idée de la science : erreur et histoire.
Cette thèse montre l'unité de la pensée hippocratique dans ses divers registres. Méthodologie, ontologie, cosmologie, physique, climatologie, anthropologie, anatomie, physiologie, pathologie, clinique et éthique relèvent, par-delà les divergences doctrinales entre les auteurs de la collection, d'un paradigme commun défini par le principe de totalité. Selon ce principe, une partie ne peut être envisagée indépendamment de ses relations. La thèse énumère les divers sens que ce principe reçoit dans la pensée médicale. Le problème de l'unité de la collection hippocratique est l'objet d'un réexamen à partir de la question de l'écriture. En s'appuyant sur une nouvelle lecture du prologue du Régime dans les maladies aiguës, la thèse dégage les divers procédés que les auteurs de la collection hippocratique ont mis en oeuvre pour transposer dans la forme de l'écrit une science du singulier. Elle reconstitue les modalités du jugement médical et la forme originale de rationalité afférente à ces jugements.
Dans la série évolutive des êtres vivants, l’homme se caractérise par le développement dominant du système neuro-psychique. Or, si la connaissance de la physique et de la biologie dépendent, en dernier ressort, de la connaissance de la neuro-psychologie, celle-ci ne relève que de la connaissance d’elle-même. Comment et pourquoi certaines chaînes de macromolécules biologiques - systèmes purement énergétiques - parviennent-elles à prendre conscience d’elles-mêmes ?, comment et pourquoi ce « support chimique » peut-il se connaître lui-même ? : tel est le problème que le présent ouvrage tente d’approcher pour en dégager les solutions énergétiques possibles à partir des investigations de l’énergie, de sa nature et de ses lois. — Après les « Données fondamentales préliminaires » (chap. I), l’A. étudie successivement « Le système neurologique » (II) et « Le système psychologique » (III), pour en arriver à la « troisième matière » proprement dite : « Le système psychique » (IV) et « L’affectivité » (V). La contradiction dynamique est le principe de la pérennité de l’énergie. C’est donc un conflit qui constitue le fondement même du psychisme, sa logique « normale ». Elle deviendra « pathologique » si l'une des deux autres matières - physique ou biologique - envahit excessivement le psychisme, troisième matière énergétique : « La maladie mentale et la psychothérapie antagoniste » (VI). M.-M. V.
Macfarlane propose ici une analyse de ce qu’il nomme un
« pneuma pathologique » chez
Aristote, qui partage avec le pneuma connaturel
le fait d’être généré par le corps lui-même (et notamment par la coction
produite par la nutrition), mais se distingue de lui en ce qu’il favorise les
maladies plutôt que les fonctions vitales. Aristote affirme en effet que dans
certaines conditions, et notamment des déséquilibres entre le chaud et le froid
ou un défaut de ventilation, les exhalaisons produites par la chaleur interne
perturbent les actions du pneuma connaturel (et
troublent par exemple la digestion ou la perception, auxquelles préside ce
dernier). L’analyse permet non seulement depréciser
la distinction, établie au sein de la biologie aristotélicienne, entre le pneuma connaturel et l’air extérieur respiré, mais
encore de replacer ces réflexions dans le contexte plus général des écrits
philosophiques ou médicaux qui se sont également penchés sur la puissance
pathologique du pneuma.
L. M.