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La Structure de l’organisme. Introduction à la biologie à partir de la pathologie humaine. : Texte augmenté de fragments inédits
Kurt GOLDSTEINÉditeur : Gallimard - 1983
Organisme
Françoise GAILLSous la direction de Isabelle STENGERSDans D’une science à l’autre : des concepts nomades - 1987
Spencer et les origines de la vie. La double induction comme méthode
Stéphane TIRARDSous la direction de Daniel BECQUEMONTDans Penser Spencer - 2011
Philosophie de la biologie
Thomas PRADEUSous la direction de Anouk BARBEROUSSE, Denis BONNAY, Mikaël COZICDans Précis de philosophie des sciences - 2011
Forme, organisme, connaissance : le statut de la connaissance mis en question par les philosophies de la forme et du vivant : Thèse de doctorat : Philosophie : Aix-Marseille Université : 2006, sous la direction d'Yves Schwartz
Anne CARASSO
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Éditeur : - 2006
La Physiologie des Lumières : Empirisme, modèles et théories
François DUCHESNEAUÉditeur : Martinus Nijhoff - 1982
La Physiologie des Lumières : Empirisme, modèles et théories
François DUCHESNEAUÉditeur : Classiques Garnier - 2012
Claude Bernard. La révolution physiologique
Alain PROCHIANTZÉditeur : Presses Universitaires de France - 1990
Georges Canguilhem : Philosophe de la vie
François DAGOGNETÉditeur : Les Empêcheurs de penser en rond - 1997
Définir le vitalisme. Les lectures de Claude Bernard
Raphaële ANDRAULTSous la direction de Jean-Jacques KUPIEC, François DUCHESNEAU, Michel MORANGEDans Claude Bernard. La méthode de la physiologie - 2013
Organisme et individu
Karine PRÉVOTSous la direction de Thierry HOQUET, Francesca MERLINDans Précis de philosophie de la biologie - 2014
L’entreprise de l’A. est, en 1934, de renouveler les problèmes théoriques liés à la compréhension des organismes en intégrant les résultats contemporains des recherches en biologie, en médecine, en neurologie, en psychologie de la forme, en psychiatrie et même en psychanalyse. Refusant les approches réductionnistes - “atomistiques” dirait Goldstein - de la biologie moléculaire, l’ A. propose une conception “totalitaire” de l’organisme : l’individu vivant est envisagé comme une totalité intégrante, se définissant “lui-même par lui-même et pour lui-même” (G. Canguilhem, préface à Éléments pour une théorie de la biologie, de André Pichot, 1980). L’A. revendique alors une auto-défintion logique du vivant dont les sciences cherchant à le comprendre doivent suivre le mouvement. - Chap. I : Observation dur l’homme atteint de lésion cérébrale ; Chap. II : L’organisme considéré à partir des phénomènes obtenus par analyse ; Chap. III : Réflexions théoriques sur la fonction du système nerveux comme fondement d’une théorie de l’organisme ; Chap. IV : Modification de la fonction de l’organisme par lésion ; Chap. V : L’essence des phénomènes partiels (la signification des réflexes) ; Chap. VI : La théorie de l’organisme considéré comme totalité ; Chap. VII : L’essence de la connaissance biologique : Chap. VIII : Norme, santé et maladie. Hérédité et sélection ; Chap IX : Vie et esprit (la structure hiérarchique du vivant) ; Chap. X : La psychologie de la forme et la théorie des formes physiques ; Chap. XI : Connaître et agir ; Chap. XII : Remarques finales. M.-M. V.
L'auteur analyse la position de Spencer face au problème des origines de la vie dans les éditions successives des Principes de biologie et les textes qui lui sont adjoints progressivement. Il montre comment l'avènement de la théorie de l'évolution dans la seconde moitié du XIXe siècle implique une reformulation du problème en question qui favorise le développement de l'abiogenèse évolutive, contre la théorie des générations spontanées. F. F.
Cet article est une introduction aux six grands problèmes de la philosophie de la biologie. Il aborde successivement : 1° le statut de la théorie de l'évolution ; 2° le problème de l'adaptation ; 3° la notion de fonction ; 4° le problème des unités de sélection en jeu dans la théorie de l'évolution ; 5° le problème du développement des organismes ; enfin 6° le problème de la réduction de la biologie macromoléculaire à la biologie moléculaire.
F. F.
Ce travail pose la question des rapports complexes et multiples qui relient la connaissance à la vie, et s'efforce de retrouver ce cheminement de la connaissance qui semble la conduire, jusque dans l'épistémologie contemporaine, à ne pouvoir traiter du vivant ou de l'humain autrement qu'au regard des décisions métaphysiques ou ontologiques qui sont à son fondement. Les philosophies contemporaines de la forme et du vivant – abordées ici à partir de la lecture commune que Maurice Merleau-Ponty et Georges Canguilhem vont faire de La Structure de l'organisme de Goldstein –, constituent une étape essentielle de la rupture opérée avec la pensée duelle de la vie et de la connaissance, et de l'engagement de l'épistémologie contemporaine vers l'élaboration d'une nouvelle intelligibilité du vivant, à la lumière des résultats de la neurobiologie de Goldstein : les troubles organiques compromettent la totalité de l'organisme, et ce n'est que dans une vision du tout que l'on peut comprendre les phénomènes vivants. Mais plus que les développements philosophiques de Goldstein, sur lesquels prend appui Merleau-Ponty pour élaborer sa philosophie du vécu, cette thèse situe (aussi grâce aux travaux de Canguilhem), l'apport majeur de Goldstein dans l'enseignement que l'on peut tirer de la méthode mise en oeuvre : celle d'une clinique pathologique seule en mesure de restituer l'activité du vivant dans sa temporalité propre, qui contribue à mettre en lumière la nature de cet "impensé du concept" sur lequel buttent les sciences du vivant. N'est-ce pas cette part d'impensé qui concentre l'essence même du vivant ? L'auteur réfléchis à cette question à la lumière de l'ergologie, et des travaux de d'Ilya Prigogine sur les structures dissipatives et l'historicité de la matière active.
Cet ouvrage est la réédition d'un texte paru chez Martinus Nijhoff à La Haye en 1982. Il pose le problème épistémologique de la formation des théories scientifiques à partir de la naissance de la physiologie, science des phénomènes vitaux. Il s'agit pour l'auteur d'identifier le moment historique pendant lequel se forme le concept d'organisme, coeur de la physiologie naissante, et d'étudier l'évolution de la théorie physiologique de l'organisme d'Albrecht von Haller (1708-1777) à Xavier Bichat (1771-1802). La première partie examine les positions épistémologiques pré-hallériennes sur l'ordre des phénomènes caractéristiques du vivant : la mise en évidence par Georg Ernst Stahl (1660-1734) de l'insuffisance des modèles mécanistes pour rendre compte de la physiologie (chapitre I) ; la médecine rationnelle de Friedrich Hoffmann (1660-1742) comme cadre épistémologique d'une science physiologique, que l'auteur étudie à travers l'examen des thèses physiologiques contenues dans la Medicina rationalis systematica parue entre 1718 et 1741 (chapitre II) ; la théorie leibnizienne du vivant (chapitre III). La seconde partie porte sur la physiologie entendue non pas comme une théorie systématique, mais comme une discipline empirique : l'auteur étudie le passage de la doctrine de Hermann Boerhaave (1668-1738) et Giorgio Baglivi (1668-1707) à celle de Haller et la formation progressive d'un concept de structure organique (chapitre IV), puis analyse la théorie physiologique de Haller (chapitre V) – plus particulièrement sa doctrine de l'irritabilité et de la sensibilité dans la Dissertation de 1752 et ses implications dans les Elementa physiologiae corporis humanis (1757-1766). Enfin, il propose une analyse comparative des modèles de Robert Whytt (1714-1766) et Haller sur l'explication physiologique des fonctions (chapitre VI), examine les doctrines de Maupertuis, Buffon et Haller sur le problème de la production et du développement des structures organiques hiérarchisées (chapitre VII) et présente la critique hallérienne de l'épigenèse (chapitre VIII) pour montrer comment la théorie physiologique « requiert une structure minimale suffisamment complexe et intégrée ». La troisième partie expose les positions épistémologiques post-hallériennes : les doctrines de Théophile de Bordeu (1722-1776) et Paul Joseph Barthez (1734-1806) représentatives de la physiologie vitaliste française (chapitre IX), et la théorie analytique de l'organisme de Bichat (chapitre X). Cette analyse des modèles de l'être vivant à l'époque des Lumières nous présente ainsi le long et dur chemin menant à la naissance de la biologie au XIXe siècle. – Conclusion, pp. 685-698 ; Bibliographie, pp. 699-719 ; Index des noms propres, pp. 721-726 ; Index des notions, pp. 727-735 ; Table des matières, pp. 737-739.
F. F.
L'Introduction à l'étude de la médecine expérimentale (1865) est une oeuvre capitale dans l'histoire de la science car elle a contribué à faire entrer la physiologie dans le champ des sciences constituées. À partir de Claude Bernard (1813-1878), la physiologie dispose en effet de concepts et de méthodes de recherche qui lui sont propres. L'ouvrage d'Alain Prochiantz consacré à l'oeuvre de cet immense savant est divisé en trois parties : la première est essentiellement consacrée au concept de milieu intérieur, grâce auquel le physiologiste français a peu à peu réussi à libérer sa discipline scientifique d'un physicalisme réductionniste et d'une anatomie vitaliste. La seconde porte sur la spécificité de l'expérimentation en biologie et des outils à la fois conceptuels et méthodologiques mis en oeuvre par la physiologie dans l'étude du vivant. Dans une dernière partie l'auteur examine les questions liées aux phénomènes de la création organique : création des molécules organiques d'une part et morphogenèse des organes d'autre part. – I. Le milieu intérieur ; II. Claude Bernard dans son temps ; III. La vie ; Conclusion – L'orbe de la révolution physiologique ; Bibliographie, p. 125.
F. F.
Cet ouvrage vise à présenter l'ensemble de la philosophie de Georges Canguilhem (1904-1995). Dans un premier temps il en analyse le coeur : l'Essai sur quelques problèmes concernant le normal et le pathologique (1943) (chapitre I : « Maladie et Santé »). Dans un second temps il s'attache à mettre au jour le fil directeur des études rassemblées dans La Connaissance de la vie (1952) (chapitre 2 : « Un bouquet épistémologique »). Ensuite il porte sur la conception canguilhemienne de la philosophie : « métasavoir » selon le terme de l'auteur du présent ouvrage, c'est-à-dire effort pour savoir pourquoi et comment nous savons ce que nous savons (chapitre III : « L'objection principale. Exposé et réponse »). Dès lors, il identifie une rupture épistémologique dans l'épistémologie de Canguilhem à travers la lecture des Études d'histoire et de philosophie des sciences concernant les vivants et la vie (1968) et Idéologie et rationalité dans l'histoire des sciences de la vie (1977) ; rupture induite par l'apparition de nouvelles approches du vivant au début de la seconde moitié du XXe siècle (génétique, immunologie, biologie macromoléculaire, etc.). Dès lors F. Dagognet analyse les propositions de Canguilhem relatives à l'épistémologie générale et à la philosophie de la science moderne : celles liées aux notions de méthode, d'idéologie et d'histoire des sciences (chapitre IV : « Une science de la vie est-elle possible ? »). Enfin, l'ouvrage s'achève sur le combat mené par Canguilhem tout au long de son oeuvre face aux obstacles auxquels l'a confronté sa réflexion sur le concept central de sa philosophie : celui de normativité.
F. F.
Cet article aborde les rapports de Claude Bernard au vitalisme d'une double manière : 1° en confrontant sa physiologie expérimentale à une conception transhistorique du vitalisme qui n'est ni plus ni moins qu'une métaphysique de la vie et 2° en montrant comment sa propre méthode se nourrit de textes s'inscrivant dans – ou renvoyant à – la querelle historique du vitalisme. F. F.
En examinant successivement les approches phénoménologique, fonctionnelle et évolutionnaire, cet article cherche à saisir dans quelle mesure et en fonction de quels contextes d’études les concepts d’individu et d’organisme sont ou non interchangeables. Trois critères sont alors retenus pour opérer une clarification et une distinction nette entre ces deux concepts : l’immunité, le développement et l’adaptation.
F. F.