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2. Signification des pictogrammes utilisés dans la base de données

      2.1. Un pictogramme par type de document

Monographie


Dictionnaire / Encyclopédie


Collectif


Article


Revue / Périodique


Thèse

3. Possibilités manipulatoires de la sphère

      3.1. Vous pouvez la faire tourner dans tous les sens

      3.2. Vous pouvez la zoomer et la dézoomer

      3.3. Vous pouvez cliquer sur les mots-clés qu'elle présente




Nuage de mots-clés associé à : Objectivisme
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    NOTICES

    Liste des références bibliographiques indexées

    Monographie

    Qu’est-ce que la science ? Récents développements en philosophie des sciences : Popper, Kuhn, Lakatos, Feyerabend

    Alan Francis CHALMERS
    Éditeur : La Découverte - 1988


    Monographie

    Karl Popper ou le rationalisme critique

    Renée BOUVERESSE-QUILLIOT
    Éditeur : Vrin - 1998


    Monographie

    Sociologie et philosophie: libres échanges : Bourdieu, Derrida, Durkheim, Foucault, Sartre

    Louis PINTO
    Éditeur : Éditions d’Ithaque - 2014


    MONOGRAPHIE

    Qu’est-ce que la science ? Récents développements en philosophie des sciences

    Popper, Kuhn, Lakatos, Feyerabend

    • Pages : 238
    • Collection : Sciences et société
    •  
    • Support : Document imprimé
    • Edition : Traduction de l’anglais
    • Ville : Paris
    •  
    • ISBN : 2-7071-1713-7
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 01-12-2015

    Résumé :

    Français

    Original anglais : St Lucia, Queensland : University of Queensland Press, 1976. Seconde édition revue et augmentée : Milton Keynes : Open University Press, 1982. – Le présent ouvrage propose la première traduction française, réalisée à partir de la seconde édition revue et augmentée de 1982. – Un nouvel essor de la philosophie des sciences dans le monde anglo-saxon a été marqué depuis les années soixante par les travaux de Karl Popper (1902-1994), Imre Lakatos (1922-1974), Thomas S. Kuhn (1922-1996) et Paul K. Feyerabend (1924-1994). Issus de l’école du positivisme logique, ils se situent tous en rupture avec cette tradition. L’A. entend faire ici le point sur leurs contributions critiques, afin de mieux saisir la portée de ce renouveau de la philosophie contemporaine quant aux conceptions modernes de la nature de la science. – 1, L’inductivisme : la science, savoir issu des faits de l’expérience; – 2, Le problème de l’induction; – 3, La dépendance de l’observation par rapport à la théorie; – 4, Introduction au falsificationisme; – 5, Le falsificationisme sophistiqué, les prédictions nouvelles et le progrès de la science; – 6, Les limites du falsificationisme; – 7, Les théories comme structures. I, Les programmes de recherche; – 8, Les théories comme structures. II, Les paradigmes de Kuhn; – 9, Rationalisme et relativisme; – 10, L’objectivisme; – 11, Une vision objectiviste du changement de théorie en physique; – 12, La théorie anarchiste de la connaissance de Feyerabend; – 13, Réalisme, instrumentalisme et vérité; – 14, Réalisme non figuratif. M.-M. V.

     

    MONOGRAPHIE

    Karl Popper ou le rationalisme critique

    • Année : 1998
    • Éditeur : Vrin
    • Pages : 199
    • Collection : Bibliothèque d’Histoire de la Philosophie
    •  
    • Support : Document imprimé
    • Edition : 2e éd. rev., mise à jour et augm. (reprod. de la 2e éd. de 1981)
    • Ville : Paris
    •  
    • ISBN : 2-7116-0087-4
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 19-10-2015

    Résumé :

    Français

    Le rationalisme critique de Karl Popper s'explicite en deux directions auxquelles sont consacrées respectivement les deux parties de cet ouvrage : – “science et rationalisme critique”, d'une part, et “rationalisme critique et politique”, d'autre part. Vis-à-vis de la science, le rationalisme de Popper entend rendre compte de sa dynamique (i.e. de son progrès) et manifester sa valeur en tant que connaissance. Défini par son exigence de fondement, le rationalisme philosophique entend y construire l’édifice de notre savoir. Force est pourtant de constater l’échec des deux tendances – intellectualiste et empiriste – qui ont partagé cette ambition : ni l’évidence intellectuelle prise comme garantie de vérité, ni l’expérience considérée comme le fondement premier de nos discours et de nos actions ne permettent l’énoncé des propositions universelles dont a besoin la science. Mais s’il est vrai que l’expérience ne peut pas vérifier et justifier un énoncé universel, elle peut en revanche l’infirmer. Accepter de définir ainsi la science de façon négative, c’est donc aussi la fonder, même si ce fondement est négatif : par conséquent, la connaissance semble possible. Telle est l’idée essentielle de Popper : il existe une forme de pensée rationnelle, c’est-à-dire non arbitraire, à savoir la pensée critique. – Introduction (Le rationalisme critique; Une quête sans fin). – Partie I, «Science et rationalité critique» : A. Dynamique de la science (Chap. I, Le mythe de la connaissance inductive; II, Le critère de démarcation : Science et Non Science; III, Les théories scientifiques et leur croissance. B. De la méthodologie à la métaphysique (Chap. IV, Connaissance objective et épistémologie sans sujet; V, L’ouverture du monde). – Partie II, «Rationalisme critique et politique» (Chap. VI, Rationalité politique et esprit critique; VII, Le procès de l’Historicisme).– Conclusion. – Bibliographie. – Karl Popper : la signification actuelle de deux arguments d'Henri Poincaré. – Appendice. M.-M. V.

     

    MONOGRAPHIE

    Sociologie et philosophie: libres échanges

    Bourdieu, Derrida, Durkheim, Foucault, Sartre

    • Pages : 264
    •  
    • Support : Document imprimé
    • Edition : Originale
    • Ville : Montreuil-sous-Bois
    •  
    • Institution : École des Hautes Études en Sciences Sociales
    • ISBN : 978-2-916120-46-1
    • URL : Lien externe
    •  
    • Date de création : 01-12-2014
    • Dernière mise à jour : 27-02-2015

    Résumé :

    Français

    Ce livre tente de répondre à la question : « comment penser les échanges entre sociologie et philosophie ? », en offrant des descriptions des croisements entre les deux disciplines. L’introduction indique les différentes possibilités d’articuler sociologie et philosophie. Sont passées en revue de manière plus ou moins critique la (supposée) conversion des philosophes aux sciences sociales, la recherche par les sociologues de gages philosophiques, mais aussi les usages honnêtes par les uns des références des autres. On comprend rapidement que l’auteur s’engage dans la voie de Bourdieu, à savoir une sociologie de la philosophie, qui se révèle être une philosophie négative. La première partie relève de la sociologie historique et porte sur la question des frontières disciplinaires, tout d’abord entre sociologie et psychologie autour de Durkheim, Mauss et Halbwachs, ensuite entre sociologie et philosophie autour de Bergson et Bayet. La deuxième partie relève aussi de la sociologie historique : y sont envisagées les trajectoires sociales de figures contemporaines. Il est question d’abord de la trajectoire de Sartre et de son rapport à la sociologie ; ensuite du triangle formé par Bourdieu, Foucault et Derrida, situés dans le champ philosophique d’alors et analysés selon leur réussite scolaire ; de Foucault et de son rapport à la psychologie ; enfin de Bourdieu et de sa pensée de la pratique. La troisième partie traite de différents aspects internes de la pensée de Bourdieu. En premier lieu, il est question de l’héritage de sa pensée, c’est-à-dire de la manière pratique (et non théorique) d’en hériter ; en second lieu, de ce que l’on peut apprendre de la sociologie, en ce qu’elle révèle notamment « ce qui est caché » ; en troisième lieu, de la nature de la compréhension qu’on trouve en sociologie ; en quatrième lieu, du capital selon Bourdieu et de la possibilité d’ajouter d’autres formes à celles mentionnées par lui ; en cinquième lieu, de la dimension critique de la sociologie de Bourdieu, par contraste notamment avec la sociologie de la critique développée par Boltanski. La quatrième partie est consacrée plus précisément au champ intellectuel, sur le mode de « considérations actuelles ». La reprise de la notion de sujet est ainsi abordée en partie d’un point de vue philosophique : le « je » est analysé au moyen de Wittgenstein et le rapport à soi au moyen de Descombes. L’élection de Claudine Tiercelin au Collège de France et les réactions du monde journalistique, ainsi que l’habituation à des discours philosophiques dont on ne discerne pas le sens ou l’absence de sens sont l’objet d’un deuxième et d’un troisième chapitres au sein de cette quatrième partie. – Introduction de Louis Pinto, pp. 5-14 ; Origine des textes, pp. 255-256 ; Index des noms, pp. 257-259 ; Index des notions, pp. 259-260. P. F.

    Anglais

    The book answers to the question: “how can we think the relations between sociology and philosophy”, providing some descriptions of the meetings of the two subjects. The introduction indicates the different possibilities to articulate sociology and philosophy, and lists in a more or less critical way the (supposed) conversion of the philosophers to the social sciences, the sociologists’ way to look for philosophical guarantees, but also the honest uses of philosophical and sociological references in each domain. One quickly understands that the author adopts Bourdieu’s position, namely a sociology of philosophy that turns out to be a negative philosophy. The first part of the book falls under historical sociology and is about disciplinary borders, first of all between sociology and philosophy around Durkheim, Mauss and Halbwachs; then between sociology and philosophy around Bergson and Bayet. The second part too falls under historical sociology: the author considers the social trajectories of contemporary figures. We have first Sartre’s trajectory and his relation to sociology; then the “triangle” Bourdieu-Foucault-Derrida located in the philosophical field of their time and analysed according to their academic success; Foucault and his relation to psychology; finally Bourdieu and his idea of practice. The third part is about different internal aspects in Bourdieu’s thought. What is at stake is firstly the inheritance of his thought, that’s to say the practical (non theoretical) way to inherit it; secondly what we can learn from sociology in the sense that it turns out what is “concealed”; thirdly the nature of the understanding that we find in sociology; fourthly the capital according to Bourdieu and the possibility to talk about new forms of capital in addition of these mentioned by him; finally the critical dimension of Bourdieu’s sociology, that has to be distinguished from the sociology of critics developed by Luc Boltanski. The fourth part is devoted more precisely to the intellectual field in an “actual observations” style. The concept of subject is considered in a philosophical way: the “I” is analysed with Wittgenstein, and the relation to oneself with Vincent Descombes. Claudine Tiercelin’s election to the Collège de France, the journalistic reactions to it, and the habituation to unclear philosophical talks, are considered in the two last chapters of this fourth part. – Introduction by Louis Pinto, pp. 5-14 ; Origin of the texts, pp. 255-256 ; Index nominum, pp. 257-259 ; Index rerum, pp. 259-260. P. F.