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Anomalous Monism in Carnap's Aufbau
Mehdi NASRINSous la direction de Hans ROTTDans Erkenntnis - 2004
Du “moi dissous” à la méthode scientifique. De la reconstruction de l’égologie
Antonia SOULEZSous la direction de Gerhard HEINZMANNDans Philosophia Scientiae. Travaux d’histoire et de philosophie des sciences - 1999
Ostwald et le monisme
Danièle GHESQUIER-POURCINSous la direction de Michel PATY, Danièle GHESQUIER-POURCIN, Muriel GUEDJ, Gabriel GOHAUDans Énergie, science et philosophie au tournant des XIXe et XXe siècles - 2010
Causation: Many Words, One Thing?
Lorenzo CASINISous la direction de Andoni IBARRADans THEORIA. An International Journal for Theory, History and Foundations of Science - 2012
Introduction à l'épistémologie freudienne
Paul-Laurent ASSOUNÉditeur : Payot - 1981
Les classifications des étoiles : un nouvel allié pour le pluralisme taxinomique
Stéphanie RUPHYSous la direction de Soazig LE BIHANDans Précis de philosophie de la physique - 2013
Pluralismes scientifiques : Enjeux épistémiques et métaphysiques
Stéphanie RUPHYÉditeur : Hermann - 2013
The Realistic Empiricism of Mach, James, and Russell : Neutral Monism Reconceived
Erik C. BANKSÉditeur : Cambridge University Press - 2014
Out of Thin Air? Diogenes on Causal Explanation
Bryan C. REECESous la direction de Hynek BARTOŠ, Colin GUTHRIE KINGDans Heat, Pneuma, and Soul in Ancient Philosophy and Science - 2020
The Logical Reconstruction of the World (Aufbau) is one of the major works of Rudolf Carnap in which he attempts to put an end to some of the traditional disputes in epistemology by using what he calls `construction theory'. According tot his theory, one or more constructional systems can be designed in which all the scientific and pre-scientific objects are logically made out of a limited number of basic elements. Carnap introduces some options for the basis of this system and chooses the domain of the autopsychological, i.e., the domain of private elementary experiences, among them and tries to construct all the concepts out of them. This phenomenalistic reduction sometimes is seen as embracing a Cartesian dualism of mind and body or even a mentalistic monism. However, in this paper, I shall try to show that the traditional dualist-monist debates are among those disputes that the construction theory aims to get rid of. I will show that Carnap's position on the mind-body problem is really close to what Davidson later termed as `Anomalous Monism' and that this is why Carnap fails to complete his logical construction at a crucial step.“Whenever possible, logical constructions are to be substituted for inferred entities” (Bertrand Russell).
Quand Mach découvrit kant, ce fut un choc mais aussi un scandale philosophique. Rien ne lui parut en effet plus illusoire que la “conscience” d’une synthèse par laquelle Kant expliquait la possibilité de la connaissance. Ce fut aussi une crise lui révélant la “dissolution” du moi, son “insauvabilité”. Si cette dissolution inspira à certains artistes le principe de l’impressionisme, elle fut aussi le point de départ d’un principe méthodologique sans précédent pour la science : celui des “sensations élémentaires” dont Mach faisait la base de sa conception moniste de la connaissance, mais aussi Wittgenstein qui, dans son Tractatus, élabora le “solipsisme” à partir de la thèse de l’irreprésentabilité du sujet en analogie avec celle de l’œil.
Cet article s’attache à décrire la vie et la pensée du physico-chimiste allemand Wilhelm Ostwald, qui devint le principal héraut de l’énergétisme comme doctrine totalisante d’application universelle, comme philosophie et comme engagement idéologique, en la plaçant sous le signe du «monisme», le monisme énergétique, dans une acception particulière du terme.
How many notions of cause are there? The causality literature is witnessing a flourishing of pluralist positions. Here I focus on a recent debate on whether interpreting causality in terms of inferential relations commits one to semantic pluralism (Reiss 2011) or not (Williamson 2006). I argue that inferentialism is compatible with a ‘weak’ form of monism, where causality is envisaged as one, vague cluster concept. I offer two arguments for this, one for vagueness, one for uniqueness. Finally, I qualify in what sense the resulting form of monism is ‘weak’.
¿Cuántas nociones de causa hay? Hay un resurgir de posiciones pluralistas en la bibliografía sobre causalidad. Me ocuparé aquí de un debate reciente sobre si la interpretación de la causalidad en términos de relaciones inferenciales nos compromete con el pluralismo semántico (Reiss 2011) o no (Williamson 2006). Defiendo que el inferencialismo es compatible con una forma ’debil’ de monismo, donde la causalidad se presenta como un único concepto vago y de agrupación (cluster). Ofrezco para ello dos argumentos, uno sobre vaguedad y otro sobre unicidad. Finalmente, matizaré en qué sentido esta forma de monismo es ’débil’.
Cet ouvrage se propose de rendre compte de la spécificité épistémologique du savoir psychanalytique et dégage les modèles scientifiques qui ont permis à Freud de constituer sa métapsychologie. Dans une première partie l'auteur étudie le contexte historique de formation du savoir psychanalytique au XIXe siècle : la querelle des méthodes entre sciences de la nature et sciences de l'esprit (Partie 1, chapitre 1), la prégnance du modèle physico-chimique (Partie 1, chap. 2) ; enfin l'influence de l'agnosticisme d'Emil du Bois-Reymond, dont l'insuffisance a poussé Freud à développer une métapsychologie dont la logique de recherche scientifique prend pour modèle méthodologique la démarche d'Ernst Mach, alliant ouverture aux autres disciplines scientifiques et à la réflexion philosophique (Partie 1, chap. 3). Dès lors, l'auteur analyse les trois dimensions (topique, dynamique et économique) du processus psychique, objet de la métapsychologie. L'auteur montre alors que la constitution de la métapsychologie se fonde sur l'articulation de trois modèles scientifiques : le modèle anatomique hérité d'Ernst Brücke (Partie 2, chap. 1), le modèle psychologique hérité d'Herbart (Partie 2, chap. 2), le modèle énergétique hérité de Fechner et Helmholtz (Partie 2, chap. 3). – Index des noms, pp. 217-219 ; Table des matières, pp. 221-223.
F. F.
Y a-t-il un ordre des étoiles ? Autrement dit, les classifications stellaires sont-elles structurées par un ordre naturel ? Cet article présente le paysage taxinomique actuel dans le domaine de l'astrophysique, soit l'actualité du débat entre monistes et pluralistes concernant le problème des classifications stellaires.
F. F.
Existe-t-il différentes sortes d’objets qui ne sont scientifiquement connaissables que de différentes manières ? Quelles relations peut-on alors établir entre les théories des différentes sciences ? L’existence de plusieurs représentations incompatibles d’un même phénomène est-elle dès lors l’expression d’une imperfection épistémique ? Tels sont les trois grands problèmes affrontés dans cet ouvrage, qui porte sur le thème de l’unité et de la pluralité dans les sciences. Dans un premier temps (chapitre 1) l’auteure revient sur le programme (porté par le Cercle de Vienne) d’une science unitaire fondée sur l’unité linguistique, puis sur le pluralisme des reconstructions rationnelles de Rudolph Carnap, et enfin, sur le problème de l’unité méthodologique de la logique de la justification en philosophie des sciences, afin de proposer une position pluraliste nouvelle – le « pluralisme feuilleté » – fondée sur le concept de «style de raisonnement scientifique» (introduit par Ian Hacking). Après avoir traité le problème de la cartographie des champs scientifiques, de l’unité ou de la pluralité des langages, méthodes et objets scientifiques, l’auteure s’attaque à celui des relations interthéoriques entre les différentes sciences, ainsi qu’au problème métaphysique de l’ordre et du désordre mondains, sous-jacent à la thématique de l’unité et de la pluralité des sciences (chapitre 2) : 1° en examinant les arguments antiréductionnistes (de Jerry Fodor, Philip Kitcher, John Dupré et Nancy Cartwright) et en mettant au jour leurs fondements métaphysiques ; 2° en proposant une analyse critique du pluralisme nomologique (i.e. l’antiréductionnisme horizontal de Nancy Cartwright) ainsi que de l’approche structuraliste (i.e. le réductionnisme vertical de Carlos-Ulises Moulines), tous deux conduisant à des thèses métaphysiques relatives à l’ordre et au désordre mondains. Dès lors elle propose deux types d’interconnexions non réductives entre théories scientifiques: l’analogie et l’unification synthétique. Le problème affronté dans le dernier chapitre est celui de la pluralité des représentations d’un phénomène par plusieurs sciences (chapitre 3). Après avoir présenté l’état du débat actuel entre monistes et pluralistes sur la question des représentations scientifiques et son enjeu central (celui de la compatibilité entre pluralisme représentationnel et engagement réaliste) elle illustre la pertinence et les enjeux de la thèse pluraliste grâce à l’analyse de deux types de systèmes de représentations: d’une part les modèles de simulations numériques en cosmologie ; d’autre part les systèmes de classification des étoiles en astrophysique. Elle est ainsi conduite à défendre une interprétation pragmatique de la stabilité des taxinomies stellaires et une interprétation réaliste de la notion d’espèce naturelle dans les sciences physiques. - Fig.1: «Illustration comparative des problématiques principales des chapitres 2 et 3», p. 16 ; Fig.2: «Illustration de la dépendance au chemin du Millenium Run», p. 193 ; Conclusion, pp. 251-259 ; Références bibliographiques, pp. 261-276 ; Table des matières, pp. 277-278.
F. F.
In the early twentieth century, Ernst Mach, William James, and Bertrand Russell founded a philosophical and scientific movement known as 'neutral monism', based on the view that minds and physical objects are constructed out of elements or events which are neither mental nor physical, but neutral between the two. This movement offers a unified scientific outlook which includes sensations in human experience and events in the world of physics under one roof. In this book Erik C. Banks discusses this important movement as a whole for the first time. He explores the ways in which the three philosophers can be connected, and applies their ideas to contemporary problems in the philosophy of mind and the philosophy of science - in particular the relation of sensations to brain processes, and the problem of constructing extended bodies in space and time from particular events and causal relations. – Table of contents : Introduction. An overview of realistic empiricism. – 1. Mach: physical elements; – 2. Mach: philosophy of psychology; – 3. William James' direct realism: a reconstruction; – 4. Russell's neutral monism: 1919–1927; – 5. Enhanced physicalism; – 6. The problem of extension: a constructivist program. – Appendix: An outline of realistic empiricism. – Includes bibliographical references and Index.
L’auteur entend ici replacer la pensée
de Diogène sur la causalité dans son contexte historique, en relation, en
amont, à Anaximène
et, en aval, à Aristote. Contre Graham[1], qui distinguait le « monisme matériel » de Diogène de
la « théorie de la substance générative » d’Anaximène, Reece soutient
que les raisons qui nous conduisent à admettre (ou au contraire à contester) la
présence d’un monisme matériel dans leur pensée valent identiquement pour le
maître et pour le disciple supposé. Bien loin de se distinguer, les deux
philosophes prennent selon lui le même parti dans le débat avec les éléates,
au sujet de l’existence du changement. Par ailleurs, Reece soutient que la mise
en évidence par Diogène d’un «principe» explicatif des phénomènes naturels répond
au même objectif méthodologique que celui qui sera ensuite affirmé par
Aristote, à savoir garantir une forme d’uniformité entre les réalités, de sorte qu’elles
puissent agir les unes sur les autres. Mais le Stagirite ne retient de Diogène
que l’idée d’un «principe génératif unique» (qu’il prolonge et
complexifie dans sa théorie du substrat) et récuse l’affirmation d’une
« identité d’essence » (qui conduit Diogène à embrasser un monisme
aérien). Le philosophe d’Apollonie apparaît en somme comme une première étape
dans la résolution aristotélicienne du problème de la causalité.
L. M.
[1] D. W. Graham, Explaining the Cosmos: The
Ionian Tradition of Scientific Philosophy, Princeton,
Princeton University Press, 2006.