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2. Signification des pictogrammes utilisés dans la base de données

      2.1. Un pictogramme par type de document

Monographie


Dictionnaire / Encyclopédie


Collectif


Article


Revue / Périodique


Thèse

3. Possibilités manipulatoires de la sphère

      3.1. Vous pouvez la faire tourner dans tous les sens

      3.2. Vous pouvez la zoomer et la dézoomer

      3.3. Vous pouvez cliquer sur les mots-clés qu'elle présente




Nuage de mots-clés associé à : Machine
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    NOTICES

    Liste des références bibliographiques indexées

    Collectif

    Pensée et machine

    Sous la direction de Alan Ross ANDERSON
    Éditeur : Champ Vallon - 1983


    Article

    L’arrêt impossible : le peintre et la machine

    Eric GOLES

    Sous la direction de Paul BOURGINE, David CHAVALARIAS, Claude COHEN-BOULAKIA
    Dans Déterminismes et complexités : du physique à l’éthique. Autour d’Henri Atlan - 2008


    Article

    Les énoncés de Minds and Machines comme image de l’objet technique

    Gérard GUIÈZE

    Sous la direction de Alan Ross ANDERSON
    Dans Pensée et machine - 1983


    Article

    Introduction

    Alan Ross ANDERSON

    Sous la direction de Alan Ross ANDERSON
    Dans Pensée et machine - 1983


    Article

    Les ordinateurs et l’intelligence

    Alan Mathison TURING

    Sous la direction de Alan Ross ANDERSON
    Dans Pensée et machine - 1983


    Article

    Le concept mécanique d’esprit

    Michael SCRIVEN

    Sous la direction de Alan Ross ANDERSON
    Dans Pensée et machine - 1983


    Article

    Le jeu de l’imitation

    Keith GUNDERSON

    Sous la direction de Alan Ross ANDERSON
    Dans Pensée et machine - 1983


    Article

    Pensée et machine

    Hilary PUTNAM

    Sous la direction de Alan Ross ANDERSON
    Dans Pensée et machine - 1983


    Article

    Les sentiments des robots

    Paul ZIFF

    Sous la direction de Alan Ross ANDERSON
    Dans Pensée et machine - 1983


    Collectif

    Minds and Machines

    Sous la direction de Alan Ross ANDERSON
    Éditeur : Prentice-Hall - 1964


    Article

    Influence des projets de théories des machines sur l’histoire des techniques chez Pierre Ducassé et François Russo

    Ronan LE ROUX

    Dans Méthode et histoire - 2013


    Monographie

    Les rêves cybernétiques de Norbert Wiener

    Pierre CASSOU-NOGUÈS
    Éditeur : Seuil - 2014


    COLLECTIF

    Pensée et machine

    • Pages : 152
    • Collection : Milieux
    •  
    • Support : Document imprimé
    • Edition : Traduction de l’américain
    • Ville : Seyssel
    •  
    • ISBN : 2-903528-28-4
    • URL : Lien externe
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 29-10-2015

    Résumé :

    Français

    Le présent recueil, dont l’objectif est d’autoriser la réouverture des «antinomies» de la raison technique, entend tout à la fois présenter les divers intérêts que suscite la question des rapports entre l’homme et la machine, et dresser le panorama des tendances principales du discours technique contemporain. Les textes rassemblés par Anderson en 1964 constituent une discussion illustrant les symbolismes culturels et linguistiques de ces «êtres techniques» privilégiés que sont aujourd’hui les machines cybernétiques. Ils reprennent la question d’une analogie concevable entre l’homme et la machine quant aux performances attribuées traditionnellement à la pensée humaine. Les auteurs tentent ici de spécifier l’homme et la machine par un jeu réglé de contrastes et d’analogies : un point de vue positiviste et mécaniste à la fois affirme que l’homme n’est en fait qu’une machine élaborée et l’attribution à cet être d’une pensée ne qualifie que la complexité de sa constitution mécanique; un point de vue «critique» énonce que la machine n’est qu’une figure totalement pré-conditionnée. M.-M. V.

     

    ARTICLE

    L’arrêt impossible : le peintre et la machine

    • Pages : 77 à 82
    •  
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 04-01-2011

    Résumé :

    Français

    Cet article veut présenter une relation possible entre complexité et peinture. Non pas comme une métaphore, mais comme quelque chose de propre à la peinture. – La machine de Turing; – Le peintre et la machine.

     

    ARTICLE

    Les énoncés de Minds and Machines comme image de l’objet technique

    • Pages : 6 à 33
    •  
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 04-01-2011

    Résumé :

    Français

    Questions de méthode; – «Les machines qui pensent» : une parole malheureuse; – Qu’appelle-t-on penser ?; – Le mécanisme : objections et réponses. A. La «machine» de Turing; B. L’automate; – Conclusion.

     

    ARTICLE

    Introduction

    • Pages : 36 à 38
    •  
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 04-01-2011

    Mots-clés :

    Résumé :

    Français

    Sur les faits «mentaux» et les faits «mécaniques».

     

    ARTICLE

    Les ordinateurs et l’intelligence

    • Pages : 39 à 67
    •  
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 18-02-2015

    Résumé :

    Français

    Sur les questions «Les machines peuvent-elles penser ?», «Qu’arrive-t-il si une machine prend la place de A dans le jeu ?». – 1. Le jeu de l’imitation; – 2. Critique du nouveau problème; – 3. Les machines pouvant prendre part à ce jeu; – 4. Les ordinateurs digitaux; – 5. Universalité des ordinateurs digitaux; – 6. Vues contradictoires sur la question principale (L’objection théologique; L’objection de l’autruche; L’objection mathématique; L’argument issu de la conscience; Les arguments provenant de diverses incapacités; L’objection de Lady Lovelace; L’argument de la continuité dans le système nerveux; L’argument de l’informalité du comportement; L’argument de la perception extra-sensorielle); – 7. Les machines qui apprennent. [Original : «Computing Machinery and Intelligence», Mind, Vol. LIX, N° 236, 1950].

     

    ARTICLE

    Le concept mécanique d’esprit

    • Pages : 68 à 80
    •  
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 18-02-2015

    Résumé :

    Français

    Y a-t-il une différence essentielle entre un homme et une machine ? Le propos est ici d’examiner l’affirmation selon laquelle les machines ne sont jamais conscientes. [Original : «The Mechanical Concept of Mind», Mind, Vol. LXII, N° 246, 1953].

     

    ARTICLE

    Le jeu de l’imitation

    • Pages : 98 à 109
    •  
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 18-02-2015

    Résumé :

    Français

    Une machine qui pourrait jouer au jeu de l’imitation serait-elle ou non une machine dont il serait fondé de dire qu’elle est capable de penser et, si oui, qu’est-ce que cela implique ? » [«Le jeu de l’imitation», à paraître dans Mind].

     

    ARTICLE

    Pensée et machine

    • Pages : 110 à 134
    •  
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 18-02-2015

    Résumé :

    Français

    Cet article tente de rendre plausible l’affirmation selon laquelle les conclusions et les questions diverses qui constituent le problème traditionnel corps-esprit sont entièrement de caractère linguistique et logique, et les «faits» empiriques dans ce domaine, si rares soient-ils, étayent un point de vue autant que l’autre. – 1. Les machines de Turing; – 2. Le secret; – 3. États «mentaux» et états «logiques»; – 4. «L’identité» corps-esprit; – 5. Un argument «linguistique»; – 6. La linguistique des machines; – 7. Conclusion. [Original : «Minds and Machines», Dimensions of Mind : A Symposium. Sidney Hook, ed. New York, New York University Press, 1960].

     

    ARTICLE

    Les sentiments des robots

    • Pages : 135 à 140
    •  
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 18-02-2015

    Résumé :

    Français

    «Les sentiments des robots», Analysis, Vol. XIX, N° 3, 1959.

     

    COLLECTIF

    Minds and Machines

    • Pages : VIII-114
    •  
    • Support : Print
    • Edition : Original
    • Ville : Englewood Cliffs, N.J.
    •  
    • URL : Lien externe
    •  
    • Date de création : 27-10-2011
    • Dernière mise à jour : 03-06-2013

    Mots-clés :

    Résumé :

     

    Aucun article référencé.

    ARTICLE

    Influence des projets de théories des machines sur l’histoire des techniques chez Pierre Ducassé et François Russo

    • Pages : 337 à 348
    •  
    • Support : Document imprimé
    • Edition : Originale
    •  
    •  
    • Date de création : 21-03-2014
    • Dernière mise à jour : 02-03-2015

    Résumé :

    Français

    Cet article expose les deux grands types de modèle d’une théorie générale des machines : 1° le modèle biologique et naturaliste qu’est la « mécanologie » de Jacques Lafitte (1884-1966) ; 2° les modèles formalistes inspirés de l’algèbre symbolique de Louis Couffignal (1902-1966) et Jacques Riguet (1921-2013). Il montre comment leur convergence donne naissance à un troisième modèle visant à constituer une théorie générale des organisations et de la complexité centrée sur les concepts d’information et rétroaction (feedback) : à savoir la cybernétique. L’auteur étudie alors l’impact du modèle cybernétique sur les projets d’histoire des techniques de Pierre Ducassé (1905-1983) et François Russo (1909-1998).

    F. F.

     

    MONOGRAPHIE

    Les rêves cybernétiques de Norbert Wiener

    • Année : 2014
    • Éditeur : Seuil
    • Pages : 285
    • Collection : Science ouverte
    •  
    • Support : Document imprimé
    • Edition : Originale
    • Ville : Paris
    •  
    • ISBN : 978-0-02-109028-4
    • URL : Lien externe
    •  
    • Date de création : 29-10-2014
    • Dernière mise à jour : 30-04-2021

    Résumé :

    Français

    Cet ouvrage s’inscrit dans le sillage des Démons de Gödel. Logique et folie (Paris, Seuil, «Science ouverte», 2007 ; «Points Sciences», 2012) et Mon zombie et moi. La philosophie comme fiction (Paris, Seuil, « L’Ordre philosophique », 2010) : il vise à mettre au jour les liens entre discours littéraires, discours philosophiques et discours scientifiques à partir de l’unité d’un fonds imaginaire commun dans lequel ils s’enracinent. Pierre Cassou-Noguès voit ainsi en Norbert Wiener un savant dont les travaux mettent en évidence le lien entre les concepts de la science et les images peuplant un imaginaire collectif : plus exactement celles qui se rapportent aux relations entre l’humain et la machine. De 1945 à 1964, Wiener écrit en effet plusieurs milliers de pages (entre deux et trois mille) au statut ambigu (une autobiographie, un roman, des nouvelles, etc.) dans lesquelles il pose le problème de la place de la machine dans la science et la société qui lui sont contemporaines. La machine conduit-elle à la fin de l’humain ou alors à sa libération ? À partir d’une nouvelle écrite par Wiener (sous le pseudonyme de W. Norbert) intitulée A Scientist Reappears – conservée aux Archives Wiener à Boston à la bibliothèque du MIT et traduite par l’auteur à la fin de l’ouvrage – Pierre Cassou-Noguès cherche à dégager le contexte imaginaire d’un personnage à la fois littéraire, scientifique et philosophique : la machine cybernétique (chapitres 1 à 3). En mobilisant les analyses de Freud, il vise d’abord à montrer comment le sens d’un concept philosophique ou d’un objet scientifique comme celui de « machine » peut être surdéterminé par l’imaginaire collectif ou l’inconscient individuel (chapitres 4 à 6). L’objectif de ces analyses est de mettre en évidence la figure d’un premier personnage : le savant, agent du couplage entre l’humain et la machine. L’évolution de ce couplage donne naissance à des avatars de la machine cybernétique, qui font l’objet d’une analyse progressive : l’usine automatique et le robot (chapitre 7), le cyborg (chapitre 8) et le posthumain (chapitre 9) ; autant de personnages peuplant la science et la fiction. C’est pourquoi à chacune de ces figures de l’imaginaire cybernétique et post-cybernétique (l’automate, l’usine automatique, le robot, le cyborg et le posthumain) l’auteur analyse les personnages littéraires qui les incarnent (dans les écrits d’E. A. Poe pour l’automate, Kurt Vonnegut pour l’usine automatique, Karel Čapek pour le robot, Brian Stableford pour le posthumain). Au terme de son enquête, Cassou-Noguès parvient à formaliser de façon très convaincante les principes directeurs de sa méthode de recherche. Les changements de mondes dans lesquels évoluent ces personnages à la fois littéraires, technologiques et scientifiques s’opèrent par irruption d’événements dans l’histoire réelle (par exemple l’explosion de la bombe atomique) : certains personnages s’incarnent comme les acteurs d’une histoire réelle (Norbert Wiener, John Von Neumann). L’actualisation de certains personnages imaginaires comme acteurs réels (comme l’usine automatique à la sortie de la guerre) induisant une redistribution de leurs rôles (objets) dans un nouveau monde (catégorie) et un changement des rapports de détermination qui les relient entre eux (morphismes) : tout changement de monde définit le passage d’une catégorie (au sens mathématique du terme) à une autre. En passant d’une catégorie à une autre, les personnages changent ainsi de visages (Victor Frankenstein devient Leo Wiener, le père de Norbert) dans la mesure où les déterminations qui les affectent changent de nature : ils sont alors pris dans d’autres devenirs et d’autres aventures, voire d’autres drames. Ainsi, les personnages d’un monde ont des ancêtres dans d’autres mondes : tout ancêtre pouvant se virtualiser comme spectre dans un nouveau monde. Au sein des mondes, les relations entre les personnages peuvent donc être formalisées par une structure catégorielle (objets et morphismes) que l’auteur représente au moyen de diagrammes. Cassou-Noguès met donc en évidence toute une « méthode de dramatisation » animant à la fois des personnages imaginaires (figures littéraires), des personnages conceptuels (concepts philosophiques) et des personnages scientifiques (idées savantes). L’auteur distingue ainsi trois catégories : la catégorie cybernétique, la catégorie du détective et la catégorie cartésienne. D’une part, elles forment des mondes où coexistent au sein des discours des figures littéraires, des concepts philosophiques et des idées savantes. D’autre part elles définissent des époques de l’imaginaire collectif où se mêlent la fiction, la science et la science-fiction. Un monde s’enracine donc toujours dans un fonds discursif à la fois littéraire, philosophique et scientifique. L’auteur en fait la démonstration pour le thème de la machine. Dès lors il nous semble opportun de mettre en regard la formalisation des résultats de l’enquête de Pierre Cassou-Noguès avec celle mise en œuvre par Gilles Deleuze et Félix Guattari dans Qu’est-ce que la philosophie ? (Paris, Minuit, 1991). En effet, comme l’a bien remarqué Franck Jedrzejewski (Cf. Diagrammes et catégories, Université Paris Diderot-Paris 7, 2007, p. 57) la tripartition produite par Deleuze et Guattari entre philosophie, sciences et arts obéit à une structure de catégorie. « Plan d’immanence » de la philosophie, « plan de référence » de la science et « plan de composition » de l’art forment en effet les catégories dont les objets sont respectivement les « concepts », les « fonctions » et les « percepts » et dont les morphismes sont les «personnages conceptuels», les « observateurs partiels » et les « figures esthétiques ». – « Un savant réapparaît », nouvelle de W. Norbert traduite en français par Pierre Cassou-Noguès, pp. 243-263 (source : Archives Wiener, boîte 31A, dossier 758) ; Remerciements, p. 265 ; Notes, pp. 267-282 ; Table des matières, pp. 283-285.

    F. F.