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Inductions et méta-inductions : la relation de soutien mutuel entre le tout et les parties de la science, selon Poincaré et Reichenbach
Alexis BIENVENUSous la direction de Thierry MARTINDans Le Tout et les parties dans les systèmes naturels : écologie, biologie, médecine, astronomie, physique et chimie - 2007
Laws of Nature: The Kantian Approach
Giovanni BONIOLOSous la direction de Michel BITBOL, Pierre KERSZBERG, Jean PETITOTDans Constituting Objectivity. Transcendental Perspectives on Modern Physics - 2009
Scientific Essentialism
Brian ELLISÉditeur : Cambridge University Press - 2001
Les Lois de l'esprit chez Charles S. Peirce : Thèse de doctorat : Philosophie : Université Paris-Est Marne-la-Vallée : 2010, sous la direction de Claudine Tiercelin
Jean-Marie CHEVALIER
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Éditeur : - 2010
Les lois de la nature sont-elles des conventions ?
Moritz SCHLICKSous la direction de Pierre WAGNER, Christian BONNETDans L'Âge d'or de l'empirisme logique - 2006
Introduzione alla filosofia della scienza
Giovanni BONIOLO, Paolo VIDALIÉditeur : Bruno Mondadori - 2003
Armstrong on Dispositions and Laws of Nature
Stephen MUMFORDSous la direction de Francesco F. CALEMIDans Metaphysics and Scientific Realism - 2016
Dans La Science et l’hypothèse, Poincaré souligne le fait que toute induction repose sur une hypothèse (la « régularité » des courbes représentant la loi induite) comportant un certain degré d’arbitraire. Plus tard, dans Science et méthode, il tente de justifier plus solidement le recours à cette hypothèse : nous avons le droit d’induire des lois d’allure régulière parce que nous pouvons nous fonder sur une induction beaucoup plus vaste, portant sur l’histoire globale de l’univers, qui justifie cette hypothèse. La justification de Poincaré recèle cependant des difficultés. Le travail de Hans Reichenbach dans les années 1930 offre des perspectives pour les surmonter. Il fournit les moyens de justifier les inductions locales, ou partielles, en les intégrant dans des inductions globales, et vise à éliminer toute trace d’arbitraire ou de subjectivité dans cette relation. Une solution ambitieuse, où le tout et les parties de la science se soutiennent selon une relation inductive mutuelle et quantifiée.
The problem of the laws of nature inside a Kantian perspective is analyzed. In this way, this paper tries also to cover a lack in the contemporary debate on this issue: a debate that, almost totally and incredibly, has neglected, and is neglecting, the Kantian position. In particular, it is shown how the three Kantian levels (the transcendental, the metaphysical, and the empirical one) are connected and how the problem of nomologicity versus accidentality could be solved at the empirical level.
Scientific Essentialism defends the view that the fundamental laws of nature depend on the essential properties of the things on which they are said to operate, and are therefore not independent of them. These laws are not imposed upon the world by God, the forces of nature or anything else, but rather are immanent in the world. Ellis argues that ours is a dynamic world consisting of more or less transient objects which are constantly interacting with each other, and whose identities depend on their roles in these processes. Natural objects must behave as they do, because to do otherwise would be contrary to their natures. The laws of nature are, therefore, metaphysically necessary, and consequently, there are necessary connections between events. Brian Ellis calls for the rejection of the theory of Humean Supervenience and an implementation of a new kind of realism in philosophical analysis. – Contents : Preface; Introduction; – Part I. Concepts: 1. Concepts of scientific essentialism; – Part II. Ontology: 2. Natural kinds; 3. Powers and dispositions; – Part III. Scientific Explanation: 4. Realism and essentialism in science; 5. Essentialism in the social sciences; – Part IV. Laws of Nature: 6. Theories of laws of nature; 7. Natural necessity; – Part V. The New Essentialism: 8. The essentialist program. – Bibliography; Index.
Malgré un antipsychologisme plusieurs fois réasserté, le philosophe américain Charles S. Peirce (1839-1914) maintient une dépendance ambiguë de la connaissance objective envers les états mentaux de la conscience. La thèse rend compte de ce paradoxe apparent en montrant que le projet peircien n'est pas logique mais épistémologique, et consiste en une étude critique de notre pouvoir de connaître. Peirce a cherché différentes manières de naturaliser la connaissance, c'est-à-dire de l'inscrire dans nos facultés réelles sans pour autant renoncer à son ambition fondationnelle et normative. On peut en distinguer plusieurs phases successives : la correction de la psychologie des facultés, la théorie de l'enquête, les recherches en psychologie expérimentale, la création d'un associationnisme logique, une cosmologie de la préformation de la raison, l'invention d'une phénoménologie, et finalement le dialogisme graphique. Ces tentatives plus ou moins heureuses fournissent des outils pour penser aujourd'hui une théorie de la connaissance dans un cadre naturaliste.
In spite of his several times restated antipsychologism, the American philosopher Charles S. Peirce (1839-1914) still ambiguously assumes that objective knowledge depends on the mental states of consciousness. The thesis accounts for this apparent paradox in showing that Peirce's purport is epistemological, not logical, and consists in a critical approach to our power of knowing. Peirce sought various ways of naturalizing knowledge, i.e. making it rely on our real faculties, yet without giving up a normative foundation. One can identify a sequence of such attempts : correcting faculty psychology, the theory of inquiry, experimental psychology, logical associationism, a cosmology of preformed reason, the invention of a phenomenology, and finally graphical dialogism. These more or less successful attempts provide tools to conceive today a theory of knowledge in a naturalistic frame.
[Moritz Schlick : « Sind die Naturgesetze Konventionem ? », Actes du congrès de Philosophie scientifique (Sorbonne, Paris, 1935), Paris, Hermann, 1936, fascicule 4, « Induction et probabilité », pp. 8-17. Repris in Schlick, Gesammelte Aufsätze, Vienne, Gerold, 1938 ; Hildesheim, Olms, 1969]. – Ce texte présenté et traduit de l'allemand par Céline Vautrin, publié avec l'autorisation de Mr. G. M. H. van de Velde, de Mme E. B. B. van der Wolk-van de Velde et de la Fondation du Cercle de Vienne à Amsterdam, est issu d'une des deux contributions que Schlick a présenté lors du premier congrès international pour l'Unité de la science à Paris en 1935. En établissant la distinction entre propositions (simples signes sensibles) et énoncés (propositions douées de sens), Schlick fournit un critère de démarcation entre les sciences formelles (dont les principes sont des conventions) et sciences empiriques (qui énoncent quelque chose sur le monde). Car selon lui, il est nécessaire de concevoir le langage comme quelque chose de lié au réel qu'il décrit (cf. chapitre 8) par une grammaire. Par « loi de la nature », il ne faut donc pas entendre une formulation vide de contenu (proposition), mais une formulation en tant qu'elle a un contenu vers lequel nous dirige son sens (énoncé). Le conventionnel réside donc dans la grammaire de la langue dans laquelle s'expriment les lois de nature (énoncés de la physique), non dans le contenu de ces lois. Ce que critique Schlick dans ce texte, c'est donc la confusion opérée par Carnap et les conventionnalistes (Eddington en particulier) entre les propositions et les énoncés ; confusion qui les conduit à ne pas considérer le caractère empirique des lois de la nature et l'invariance de ces dernières relativement à toute forme arbitraire d'expression dans lesquelles elles sont énoncées.
F. F.
Questo libro, Introduzione alla filosofia della scienza (a cura di Gabriele De Anna), che riprende l’ampio volume Filosofia della scienza, pubblicato nel 1999 per i tipi della casa editrice Bruno Mondadori, è una chiara e rigorosa introduzione ai principali temi della filosofia della scienza. Questi temi riguardano il problema del significato, quindi l’intreccio linguaggio-realtà; la teoreticità dell’atto osservativo (theory ladenness), il problema della scoperta scientifica, della misura e della sperimentazione; il controllo empirico e la tesi olista considerata in riferimento alle tesi di Popper, Duhem, Quine e Lakatos; la spiegazione scientifica e il problema nomologico e delle leggi di natura, leggi di natura considerate relativamente al dibattito fra realisti (sia realisti sulla relazione sia realisti sugli universali) e regolaristi; la verificazione, con particolare attenzione alle tesi di Moritz Schlick, Rudolf Carnap e Karl Popper nonché alla tesi olista di Duhem e Quine. Nel volume è centrale la questione del realismo che è affrontata nel capitolo intitolato “Impegnarsi ontologicamente”. Con una puntuale e ampia disamina in tale capitolo è esplicitata la distinzione tra il realismo scientifico sulle teorie e il realismo scientifico sulle entità, e si affronta la questione, che è strettamente legata a quella del realismo, della sottodeterminazione teorica rispetto ai dati. Non manca la trattazione del problema della metafisica, problema affrontato nel capitolo IX attraverso un percorso che va dalla condanna neopositivistica della metafisica (la metafisica per i neopositivisti è insignificante) alle posizioni post-popperiane. Da tale percorso “emerge un ruolo della metafisica ben più impegnativo dell’insignificanza conoscitiva a cui l’aveva condannata il Circolo di Vienna”. Gli Autori mettono a fuoco i cespiti teorici delle problematiche affrontate e le linee del dibattito contemporaneo, delineando lo stretto rapporto tra scienza e filosofia. – Bibliografia generale ; Indice dei nomi. M. F.
D'après Armstrong, les lois de la nature sont des relations de nécessitation de second-ordre entre des propriétés de premier ordre (des universaux) purement qualitatives. Stephen Mumford compare cette théorie à une ontologie de propriétés dispositionnelles (des propriétés primitives ayant des pouvoirs causaux) et défend cette dernière, soutenant que les dispositions sont bien réelles. Il argue notamment qu'il existe des potentialités non-actuelles. B.L.B.