1.1.1. Votre requête est guidée par la suggestion des mots-clés déjà enregistrés dans la base de données (auto-complétion)
1.1.2. Pour combiner des mots-clés dans une requête, plusieurs possibilités se présentent :
1) Opérateur ET : il doit être entré avec le symbole "&" :
2) Opérateur OU : il doit être entré avec le symbole "+" :
3) Opérateur SAUF : il doit être entré avec le symbole "-" :
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1.2.2. Vous avez la possibilité de faire tourner la boule des mots-clés associés au terme choisi :
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Monographie
Dictionnaire / Encyclopédie
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Revue / Périodique
Thèse
3.1. Vous pouvez la faire tourner dans tous les sens
3.2. Vous pouvez la zoomer et la dézoomer
3.3. Vous pouvez cliquer sur les mots-clés qu'elle présente
Qu’appelle-t-on aujourd’hui les sciences de la complexité ? Langages, réseaux, marchés, territoires
Sous la direction de Gérard WEISBUCH, Hervé P. ZWIRNÉditeur : Vuibert - 2010
Langages et épistémologie
Gilles-Gaston GRANGERÉditeur : Klincksieck - 1979
Cet ouvrage repose en partie sur les travaux du colloque intitulé Systèmes complexes en sciences humaines et sociales, organisé par le Centre culturel international de Cerisy-la-Salle, du 26 mai au 2 juin 2007. – Dans la plupart des sciences, on sait aujourd'hui que les sujets étudiés sont des systèmes complexes. Ce qui signifie qu'ils sont composés d'un grand nombre de constituants en interaction et que prédire leur comportement demande des méthodes radicalement nouvelles. Cet ouvrage présente ces méthodes et leur application possible dans différents domaines des sciences sociales et humaines. – Les applications de la théorie des systèmes complexes - également appelée sciences de la complexité - couvrent un champ extrêmement vaste ; il touche de larges secteurs de la physique (systèmes désordonnés, phénomènes de percolation, etc.), de la biologie (système génétique, système immunitaire, systèmes écologiques, etc.) mais aussi l'ensemble des sciences cognitives et des sciences économiques et sociales. C'est ainsi que la plupart des objets dont l'étude entre dans le champ des sciences de l'homme et de la société relèvent des sciences de la complexité. Dans ce domaine pluridisciplinaire, les nombreuses disciplines concernées par des objets complexes empruntent désormais leurs outils à la physique et à la biologie, qu'il s'agisse, entre autres, de l'économie, de la géographie, de la linguistique ou des sciences cognitives. M.-M. V.
Il ne s’agit pas de tirer du langage ordinaire une herméneutique (selon l’usage « britannique ») ni de promouvoir le traitement épistémologique d'un problème scientifique par voie de formalisation : ce à quoi se réduit surtout aujourd’hui l’usage philosophique des découvertes linguistiques. L'A. trace une voie neuve qui, à la fois, s’interroge sur le statut épistémologique des démarches mises en œuvre aujourd’hui par les sciences du langage (en ceci, le philosophe se veut à l’écoute de la science) ; et, d'autre part, vise à développer, à partir des faits de symbolisation (linguistiques ou méta-linguistiques), une théorie générale de la science qu’on pourrait nommer une épistémologie « sémiotique », – si le mot n’avait pour le moment en France une autre acception difficilement justifiable à partir du modèle dont se réclame le logicien-philosophe G.-G. G. – Le double intérêt de l’A. pour les systèmes symboliques commande la division de son livre en deux parties complémentaires. C’est la science (comme système symbolique) que vise la première partie : la linguistique est ici « l’outil » (organon), mais privilégié. C’est la notion de système symbolique qui est « l'objet » d’investigation et d'interrogation de la seconde partie. – L'Auteur choisit ici d'orienter son enquête selon le point de vue de la connaissance scientifique. Ainsi se propose-t-il d'abord de définir le rôle que joue le langage dans la constitution de la science. Il est alors conduit à examiner les pseudo-langages que celle-ci se construit, et, en précisant la fonction du symbolisme dans la connaissance objective, il met en lumière, dans ce domaine, le privilège et l'infirmité des langues naturelles. C'est alors cette notion de langue naturelle qui devient le thème de sa réflexion : le linguiste se propose d'en faire l'objet d'une science. Comment détermine-t-il cet objet, par quelles démarches parvient-il à sa connaissance, qu'est-ce enfin qu'une « science du langage » ? Sur cette science, encore aujourd'hui peut-être à l'état naissant, le philosophe ne peut faire de pronostics. Du moins lui appartient-il, en dehors des querelles d'écoles, de tenter de reconnaître jusqu'où l'on s'est avancé dans la voie du savoir. – On notera que cet ouvrage est d’autre part la composition, en partie réécrite, d’analyses partielles parues antérieurement et dont la continuité se trouve ainsi éclairée par leurs apports réciproques, notamment : Revue d'histoire des sciences, 1956 ; – Hommage à Gaston Bachelard, 1957 ; Langages, 1971 et 1974 ; – Hommage à Georges Mounin, 1975 ; – Revue internationale de Philosophie, 1976. M.-M. V.