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Invention et finalité en biologie
Lucien CUÉNOTÉditeur : Flammarion - 1941
Théorie générale de l'invention
René BOIRELÉditeur : Presses Universitaires de France - 1961
L’Invention dans les techniques. Cours et conférences
Gilbert SIMONDONSous la direction de Jean-Yves CHATEAUÉditeur : Seuil - 2005
Du mode d’existence des objets techniques
Gilbert SIMONDONÉditeur : Aubier (Montaigne) - 2001
L’invention en mathématiques
Jean LERAYSous la direction de Jean PIAGETDans Logique et connaissance scientifique - 1967
L’affaire Doeblin : Alfred, Wolfgang et quelques autres. Regards croisés sur l’expérience créatrice
Marc PETITSous la direction de Danièle HERVIEU-LÉGERDans Mathématiques et Sciences Humaines = Mathematics and Social Science [Revue éditée par le Centre d’analyse et de mathématique sociales] - 2007
Du mode d’existence des objets techniques
Gilbert SIMONDONÉditeur : Aubier (Montaigne) - 1958
Hasard et individuation. Penser la rencontre comme invention à la lumière de l'œuvre de Gilbert Simondon : Thèse de doctorat : Philosophie : École normale supérieure de Lyon : 2011, sous la direction de Pierre-François Moreau
Baptiste MORIZOT
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Éditeur : - 2011
Une psychologie du développement : Karl Bühler
Janette FRIEDRICHSous la direction de Janette FRIEDRICH, Rita HOFSTETTER, Bernard SCHNEUWLYDans Une science du développement humain est-elle possible ? - 2013
Style et méthode dans la dynamique de Leibniz
Anne-Lise REYDans Méthode et histoire - 2013
Imagination et invention (1965-1966)
Gilbert SIMONDONSous la direction de Nathalie SIMONDONÉditeur : Presses Universitaires de France - 2014
«Le déterminisme physico-chimique suffit-il pour comprendre les phénomènes vitaux, ou est-il nécessaire pour l’entendement de le compénétrer par une autre action, rendant compte de la différence profonde qui paraît exister entre la Nature inerte et la Nature vivante, interprétant ce qui, dans cette dernière, rappelle l’invention humaine et suggère le dessein ?». Cette question, que les philosophes grecs des IVe et IIIe siècles se posaient déjà, et qui oppose finalistes et mécanistes, est abordée ici sous l’angle naturaliste, et traitée suivant un plan quadripartite : – la 1ère Partie («Les définitions») est consacrée à définir de manière détaillée les les termes principaux afin de s’entendre sur le sens des mots employés; – la 2e Partie («Le mécanicisme») renferme l’exposition doctrinale des deux thèses opposées : le mécanicisme anti-métaphysique (qui y est examiné en détail) et et le non-mécanicisme (= le vitalisme ou finalisme); – la 3e Partie («Les théories non-mécanistes ou finalistes») présente une analyse critique des théories non-mécanistes, depuis Lamarck jusqu’à notre époque; – la 4e Partie, que l’A. dit tenir pour la plus importante, expose «Les difficultés du mécanicisme» dans un certain nombre de problèmes biologiques : la faiblesse, voire l’impossibilité, des explications mécanicistes rend nécessaire d’attribuer à la cellule germinale une propriété téléologique d’invention. M.-M. V.
«L’intelligence semble échapper à toute tentative de connaissance précise de son dynamisme interne. En effet, elle crée sans cesse de nouveaux procédés pour résoudre les problèmes motivés par les structures qu’elle organise et, par suite, elle est toujours au-delà des définitions dans lesquelles on prétend l’enfermer. Et, cependant, une certaine connaissance du dynamisme spirituel doit bien être possible en un sens puisque l’esprit qui se déploie au contact de structures qu’il construit ou dont il prend conscience, sait nécessairement d’un savoir absolu, mais encore implicite, comment il doit s’y prendre pour se déployer». Pour parvenir à une notion claire du dynamisme intellectuel, c’est à préciser cette tension de l’intelligence et des structures manipulées que s’attache l’auteur. Cette symbiose de la pensée et des structures se manifeste précisément dans les œuvres de l’homme : il semble donc possible de pouvoir dégager, par réflexion à partir de ces œuvres, une connaissance de l’esprit. À une conception de l’esprit nécessairement statique parce que limitée au savoir constitué et à l’analyse des conditions du jugement constituant, René Boirel oppose une approche dynamique du problème de la formation du «jugement réfléchissant» en l’étudiant justement à l’œuvre dans l’histoire des sciences. Préconisée par Brunschvicg, la méthode de connaissance de l’esprit est donc essentiellement une réflexion sur l’histoire des sciences en vue de suivre au plus près le dynamisme même de la vie intellectuelle. – Partie I, Phénoménologie de l’invention (1. Éidétique de l’invention; 2. Dynamologique des différents secteurs de l’activité humaine; 3. Dynamologique et connaissance de l’esprit); – Partie II, Le point de départ de l’invention humaine (1. Les réminiscences corporelles de l’activité opératoire; 2. Conséquences de ces réminiscences corporelles pour la philosophie de la connaissance; 3. Signification de la connaissance et, plus généralement, de l’invention humaine); – Partie III, Cosmologie dynamologique. M.-M. V.
Cette édition établie et présentée par J.-Y. Ch. rassemble des cours et des conférences de G. S. concernant l’invention dans les techniques du monde humain : “L’invention et le développement des techniques” (cours donné à Paris en 1968-1969, à la demande de Georges Canguilhem, à la Sorbonne et à l’ENS de la rue d’Ulm et à celle de Saint-Cloud), “L’invention et les techniques” (exposé fait à un colloque sur la mécanologie organisé par le Centre culturel canadien les 18, 19 et 20 mars 1971 ; publié pour la première fois dans le numéro 2 des Cahiers du Centre culturel canadien), puis des extraits de cours : “Imagination et invention” (1965-1966), “La résolution des problèmes” (1974) et “Imagination et créativité” (1976). - L’objet technique y est étudié du point de vue de sa structure mais aussi de sa genèse et de son invention, montrant alors l’autonomie de principe de la technique à l’égard de la science : les réalisations techniques ne sont pas une simple application de la science mais “apparaissent par invention” (Cf. Supra. 1971). La philosophie de la technique de G. S. est alors une philosophie de l’invention (qu’il conviendra de distinguer de la créativité et de la découverte), laquelle devient le concept fondamental de son analyse : l’invention est ici le “critère de caractérisation de [...] ce en quoi la technique est un ordre original de réalité” (Présent. J.-Y. Ch., p. 14). Sa théorie de l’invention, soutenue d’une réflexion quant à son statut méthodologique et épistémologique, s’éclaire selon différents points de vue : technologique et historique (théorie génétique de l’objet inventé), mais également psychologique (la théorie de l’invention s’étayant ici par une théorie de l’inventeur). De nombreux exemples et schémas de techniques soutiennent les thèses regroupées dans cet ouvrage. M.-M. V.
Première édition à Paris : Aubier Montaigne, 1958. – Dans cet ouvrage, G. S. défend la thèse selon laquelle la réalité technique est une réalité humaine qui, contrairement à ce que l’on pourrait penser spontanément, s’oppose pas à la culture mais y participe à part entière. Il s’agit de mettre en œuvre une prise de conscience de la valeur culturelle de la réalité des objets techniques en mettant en relief les modes d’existence et d’être de la technicité et ainsi de leur accorder “droit de cité dans le monde des significations” (Introd. p. 10). Dans une première partie, l’A. s’attache à présenter la genèse et l’évolution des objets techniques, à travers les concepts de progrès technique, d’invention et d’individualisation technique. La technicité y est caractérisée par les processus de concrétisation qu’elle suscite et dont elle résulte. Dans une seconde partie, l’A. interroge la relation entre l’homme et l’objet technique dont il distingue deux modes, mineur (usage non réfléchi, coutumier de la technique propre à l’enfance) et majeur (le statut de majorité correspond au contraire à une opération réfléchie de l’adulte libre ayant à sa disposition les outils de la rationalisation scientifique), dont il reviendra à l’éducation d’en réaliser la synthèse. L’A. y examine également les théories de l’information et de la thermodynamique. Enfin, la troisième partie est consacrée à l’essence de la technicité, à sa genèse et aux rapports entretenus entre la pensée technique et les autres modes de pensée, notamment philosophique. L’enjeu est donc d’effectuer l’introduction de l’être technique dans la culture. M.-M. V.
Réflexions sur l’intuition et l’invention mathématique comparées à leur équivalent poétique et littéraire, en référence à la figure du grand romancier Alfred Döblin, père du mathématicien. M.P.
L’objet de cette recherche revient à interroger le rôle du hasard dans le processus d’individuation tel qu’il est théorisé par Gilbert Simondon. Dans cette perspective, le hasard, élaboré à partir du concept darwinien de chance, doit être considéré comme opérateur théorique et concept explicatif d’une théorie des processus de genèse de forme individuelle, et non comme un principe métaphysique ou une mesure de l’ignorance. Il qualifie dans l’individuation la modalité de la rencontre entre la singularité, qui donne forme à l’être individuel, et le milieu métastable individuel, susceptible de transformations. Suivant cette perspective, le hasard devient un des opérateurs de l’invention des structures individuelles singulières, plurielles, et novatrices, formes de vie et manières d’exister, qui sont élaborées comme solution à des problèmes par le processus d’individuation. Cette analyse de la pensée simondonienne permet de mettre en place les linéaments d’une théorie de la rencontre individuante, induisant une conception particulière de l’individualité humaine, qui est susceptible d’entrer en dialogue avec les thèses de la sociologie dispositionnelle (P. Bourdieu, B. Lahire). Comme invention, l’opération d’individuation est alors analysable à partir du concept biologique d’exaptation (S. J. Gould), qui explicite dans l’évolution l’invention de couples structuro-fonctionnels nouveaux, à partir d’un jeu entre hasard et invention vitale. B. M.
This research aims to question the role of chance in the individuation process as it was theorized by Gilbert Simondon. In this context, chance, which was drawn up based on the Darwinian concept of chance, must be considered as a theoretical operator and as an explanatory concept of the genesis of individual form, and not as a metaphysical principle or as a measure of ignorance. It characterises within the individuation the modality of the encounter between the singularity which shapes the individual being and the individual metastable environment which is capable of being transformed. From this point of view, chance turns out to be one of the invention operators of singular, individual, plural and innovative structures which are ways of existing, created as solutions to problems by the individuation process itself. This analysis of Simondon’s philosophy allows to outline a theory of the individuating encounter leading us to think of human individuality through a specific approach which enters into dialogue with the theses of the dispositional sociology (P. Bourdieu, B. Lahire). From an invention point of view, the individuation operation can thus be analysed using the biological concept of exaptation (S. J. Gould) which makes very explicit the invention of new structure-function couples in evolution based on an articulation between chance and vital invention. B. M.
Cet article vise à élucider l’originalité du projet bühlerien d’une psychologie du développement à travers l’analyse de son ouvrage intitulé Le développement mental de l’enfant (1918). – Références bibliographiques, pp. 186-188.
F. F.
Cet article analyse les relations entre le style et les méthodes mises en œuvre par Leibniz pour élaborer sa dynamique, i.e. la science de la puissance et de l’action. Il vise à promouvoir un certain type d’histoire des sciences – l’histoire de la science « en train de se faire » – grâce à l’examen d’un corpus déterminé : les correspondances et les textes non publiés du vivant de Leibniz sur la dynamique.
F. F.
Ce cours de Gilbert Simondon – professé en 1965-1966 à la Sorbonne, et publié pour la première fois dans le Bulletin de Psychologie entre novembre 1965 et mai 1966 –, expose une puissante théorie génétique du cycle des images, de leur primitivité motrice à leur existence concrète incarnée sous forme d’objets inventés recelant une puissance symbolique. Cette théorie originale (et absolument non fantaisiste) est fondée sur de vastes connaissances digérées, à la fois précises et détaillées, de la psychologie scientifique (psychanalyse, psychologie génétique, psychologie animale), de la biologie, de la zoologie et de l’éthologie du temps de l’auteur. Elle est en outre illustrée et mise en perspective à travers une vaste culture littéraire, esthétique, sociologique, technique, philosophique et même populaire, toujours mobilisée avec la plus grande pertinence. Ce cours de Gilbert Simondon est important et même décisif, dans la mesure où il donne un fondement épistémologique, et donc une robustesse, à une théorie philosophique de l’imagination créatrice, point qui faisait alors cruellement défaut aux grandes conceptions de l’imagination de trois de ses illustres prédécesseurs : Bergson, Bachelard et Sartre. – Présentation de Jean-Yves Chateau : « Une théorie de l’image à la lumière de la notion d’invention et de l’invention à la lumière de la notion d’image », pp. vii-xxxiii ; Préambule de Gilbert Simondon, pp. 3-6 ; Introduction de Gilbert Simondon, pp. 7-28 ; Première partie : « Contenu moteur des images. L’image avant l’expérience de l’objet » ; Deuxième partie : « Contenu cognitif des images. Image et perception » ; Troisième partie : « Contenu affectivo-émotif des images. Image a posteriori, ou symbole » ; Conclusion, pp. 185-191 ; Bibliographie, pp. 193-195 ; Index des noms propres, pp. 197-199 ; Index des principaux concept, pp. 199-202 ; Table des matières, pp. 203-206.
F. F.