1.1.1. Votre requête est guidée par la suggestion des mots-clés déjà enregistrés dans la base de données (auto-complétion)
1.1.2. Pour combiner des mots-clés dans une requête, plusieurs possibilités se présentent :
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1.2.2. Vous avez la possibilité de faire tourner la boule des mots-clés associés au terme choisi :
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1.4.3. Pour sélectionner un item appuyez sur « + » ; pour retirer un item de la recherche appuyez sur « - »
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Monographie
Dictionnaire / Encyclopédie
Collectif
Article
Revue / Périodique
Thèse
3.1. Vous pouvez la faire tourner dans tous les sens
3.2. Vous pouvez la zoomer et la dézoomer
3.3. Vous pouvez cliquer sur les mots-clés qu'elle présente
Le statut de la connaissance et l'innovation : problématique des civilisations
Jean-Éric AUBERTSous la direction de Thierry GAUDIN, Armand HATCHUELDans Les Nouvelles raisons du savoir : vers une prospective de la connaissance. - 2002
Gestion des connaissances et capitalisme de l'innovation. Prospective de l'agir contemporain
Armand HATCHUELSous la direction de Thierry GAUDIN, Armand HATCHUELDans Les Nouvelles raisons du savoir : vers une prospective de la connaissance. - 2002
Une approche bakhtinienne des textes d’histoire des sciences
Évelyne BARBINDans Méthode et histoire - 2013
L'existence au risque de l'innovation
Michel BLAYÉditeur : CNRS Éditions - 2014
Le totémisme vrai et vivant de Van Gennep
André MARYSous la direction de Daniel FABRE, Christine LAURIÈREDans Arnold Van Gennep - 2018
Cet article vise à proposer un dispositif intellectuel producteur d’un type d’écriture en histoire des sciences. L’auteur nomme ce dispositif « dialogisme historique », en s’inspirant du dialogisme, la méthode interprétative du théoricien de la littérature Mikhaïl Bakhtine (1895-1975). La structure dialogique minimale est un ensemble de relations à au moins quatre termes (deux énoncés, un destinateur, un destinataire). Transposée dans le domaine de l’histoire des sciences, la structure dialogique a alors pour termes équivalents des citations et commentaires (types d’énoncés), l’historien et le scientifique (destinateurs) et leurs lecteurs respectifs (destinataires). Ce dispositif théorique est appliqué par l’auteur du présent article à des textes de deux mathématiciens du XVIIe siècle – Evangelista Torricelli (1608-1647) et Grégoire de Saint-Vincent (1584-1667) – et à un objet précis : l’invention du calcul infinitésimal.
F. F.
Cet ouvrage est une enquête sur l’idée de nature depuis la fin du XVIe siècle. Il vise à mettre au jour les modes de dévoilement de ce à quoi renvoie cette idée, et pose le problème de la fabrication d’une nouvelle idée de la nature qui soit en accord avec notre existence et notre responsabilité, à l’ère de l’innovation technologique permanente. Dans un premier temps (chapitre 1) l’auteur montre que l’idée copernicienne de la nature a consisté en une pensée de l’incarnation de la perfection divine dans les formes naturelles (forme sphérique, mouvement circulaire, etc.). C’est ce passage de la forme substantielle (aristotélico-scolastique) à la forme géométrique qui a favorisé la pénétration de la géométrie dans l’intelligence des phénomènes, et conduit à une nouvelle idée de nature au XVIIe siècle, grâce aux travaux fondateurs de Galilée. Le dévoilement « mécanico-géométrique » de la nature a en effet conduit, comme le montre l’auteur, à la constitution progressive d’une science naturelle du mouvement qui a ouvert une nouvelle époque, celle de la « nature-atelier » (chapitre 2), dans la mesure où l’idée de nature a commencé à renvoyer à « une force productive vouée à l’épuisement ». Le troisième chapitre porte sur les transformations mathématiques qui, engagées dès la fin du XVIIe siècle (notamment avec l’invention du calcul différentiel et intégral) puis poursuivies au XVIIIe siècle (dans un mouvement d’abstraction progressif où les calculs algébriques se sont substitués aux figures géométriques) ont conduit au dévoilement d’un nouvel ordre, celui du raisonnement algorithmique : « une nouvelle physique, un nouveau rapport ontologique à l’espace géométrique, peut dès lors se mettre en place » (p. 117). L’émergence de l’ordre algorithmique fait apparaître un nouveau mode de dévoilement de la nature, où la force mouvante de la « nature-atelier » est peu à peu mise en demeure de fournir du travail moteur : la « nature-atelier » se transformant au XIXe siècle en « nature-énergie » (chapitre 4). La radicalisation de l’ordre algorithmique au sein de la « nature-énergie » menant à un nouveau mode de dévoilement : celui de la « nature-computationnelle », époque de la réduction intégrale de l’être et de l’existence au nombre et à la mesure (chapitre 5). – Sommaire, p. 9 ; Introduction, pp. 11-21 ; Épilogue : « L’ouverture des possibles : vers une nouvelle idée de nature », pp. 191-209 ; Index des noms, pp. 211-216.
F. F.
Le chapitre 3 évalue le
traitement du totémisme opéré par VG en rappelant le rôle fondateur de ce
dernier dans la formation et l’affirmation de la pensée de VG. Depuis le
mémoire de fin d’études sur Madagascar (1903), d’abord conçu avec Marillier
puis soutenu avec Mauss après la mort du premier, en passant par l’étude sur
l’Australie (1906) et jusqu’à la thèse de 1921, c’est un motif qui ne quitte
pas VG. Ce dernier y affirme son approche vivante du totémisme, c’est-à-dire à
comprendre comme élément d’inscription et d’affirmation de l’individu dans le
clan, plutôt que l’inverse (selon la lecture durkheimienne). Ces longues années
d’étude sur le sujet sont ainsi celles d’une prise de distance de plus en plus
marquée de la part de VG à l’égard de l’école sociologique durkheimienne. Cette
distance s’accompagne d’un rapprochement avec l’école d’anthropologie
britannique (Frazer).
V. B.