1.1.1. Votre requête est guidée par la suggestion des mots-clés déjà enregistrés dans la base de données (auto-complétion)
1.1.2. Pour combiner des mots-clés dans une requête, plusieurs possibilités se présentent :
1) Opérateur ET : il doit être entré avec le symbole "&" :
2) Opérateur OU : il doit être entré avec le symbole "+" :
3) Opérateur SAUF : il doit être entré avec le symbole "-" :
1.2.1. Cliquez sur une lettre :
1.2.2. Vous avez la possibilité de faire tourner la boule des mots-clés associés au terme choisi :
1.2.3. Vous avez aussi la possibilité de cliquer sur un mot-clé :
1.2.4. Une fois un mot cliqué, un widget apparaît indiquant le nombre de notices indexées par le mot-clé sélectionné :
1.2.5. En cliquant sur le widget, vous faites apparaître la liste des références bibliographiques indexées par le mot-clé que vous avez sélectionné :
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1.2.6. Après avoir cliqué sur un résultat de requête, la notice associée à la référence bibliographique sélectionnée s’affiche :
1.2.7. Vous avez alors la possibilité de faire défiler la notice pour la consulter et lire son contenu
1.3.1. Cliquez sur le bouton accueil :
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1.3.6. Pour afficher ou masquer le détail des métadonnées de la référence appuyer sur + ou sur – :
1.4.1. Entrez une requête dans le ou les champs souhaités
1.4.2. Votre requête est guidée par la suggestion des termes déjà enregistrés dans la base de données (auto-complétion) :
1.4.3. Pour sélectionner un item appuyez sur « + » ; pour retirer un item de la recherche appuyez sur « - »
1.4.4. Pour combiner les termes, sélectionnez les opérateurs que vous souhaitez utiliser dans votre requête :
1.4.5. Pour lancer votre recherche appuyez sur « Rechercher »
Monographie
Dictionnaire / Encyclopédie
Collectif
Article
Revue / Périodique
Thèse
3.1. Vous pouvez la faire tourner dans tous les sens
3.2. Vous pouvez la zoomer et la dézoomer
3.3. Vous pouvez cliquer sur les mots-clés qu'elle présente
Image scientifique et image manifeste du monde
Jocelyn BENOISTSous la direction de Jacques BOUVERESSEDans Philosophies de la perception : phénoménologie, grammaire et sciences cognitives - 2003
Objectivité
Peter Louis GALISON, Lorraine DASTONÉditeur : Les Presses du Réel - 2012
L’Observation scientifique : Aspects philosophiques et pratiques
Vincent ISRAEL-JOSTÉditeur : Classiques Garnier - 2015
Le rôle des diagrammes et des schémas dans l’activité théorique en biologie
Marion VORMSSous la direction de Thierry HOQUET, Francesca MERLINDans Précis de philosophie de la biologie - 2014
Comment et pourquoi l'objectivité est-elle apparue comme une nouvelle façon d'étudier la nature et d'être un scientifique ? L'objectivité a une histoire, qui est celle des modes de fabrication de l'image scientifique. Cette image renvoie à une technologie et à un regard spécifique, qui varient entre le XVIIIe siècle et le XXe siècle. Pour écrire cette histoire, les auteurs se fondent sur l'étude minutieuse des atlas scientifiques parus en Europe et en Amérique du Nord entre le début du XVIIIe siècle et le milieu du XXe siècle. Les atlas (géographiques, astronomiques, anatomiques, etc.) se présentent en effet comme de véritables dictionnaires visuels qui ont pour fonction de circonscrire les disciplines scientifiques étudiées, en fixant les normes d'une science avec des mots, des images et des faits pour montrer comment il faut décrire, dépeindre et voir à une époque. Trois moments se dégagent, qui correspondent à autant de types d'ethos de la science que les auteurs baptisent du nom de « vertus épistémiques » : la vérité d'après nature, qui émerge au XVIIIe siècle ; l'objectivité mécanique, qui émerge au XIXe siècle ; et enfin le jugement exercé, qui apparaît au XXe siècle. Sommaire, pp. 5-6 ; Prologue, pp. 17-23 ; Remerciements, pp. 477-479 ; Notes, pp. 481-557 ; Index, pp. 559-581 ; 22 ill. coul. et 125 ill. n&b.
F. F.
[Texte remanié de : Thèse de doctorat, sous la direction de Jean Gayon : Philosophie : 1 vol. : Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne : 2011 : 359 p.]. – De quelles expérimentations scientifiques, réalisées au moyen de quels instruments, peut-on dire qu’elles relèvent de l’observation ? L’objectif de cet ouvrage est de contribuer à une refonte du concept d’observation à partir d’études de cas issues des pratiques contemporaines de l’investigation empirique, comme l’imagerie biomédicale par exemple. La thèse défendue par l’auteur est que les énoncés d’observation jouissent d’un privilège épistémique. L’ouvrage est divisé en deux grandes parties : une première, de nature épistémologique, philosophique, historique et critique ; une seconde, de nature empirique, fondée sur des résultats d’enquêtes menées sur des pratiques d’investigations scientifiques d’ordre observationnel. La première partie commence par une présentation détaillée de la conception de l’observation développée par l’empirisme logique au début des années 1930 (partie 1, chapitre 1) puis enchaîne sur un examen critique de cette conception à la lumière des critiques formulées dans les années 1950 par des philosophes post-positivistes comme Norwood Russell Hanson ou Wilfrid Sellars (partie 1, chapitre 2). Enfin, l’auteur propose une conception nouvelle de l’observation – qu’il nomme « empirisme itératif » – dans laquelle l’autorité épistémique de l’observation est présentée comme le résultat d’un processus dynamique d’interaction entre le sujet connaissant, l’expérience, et les moyens à la fois conceptuels, matériels et épistémologiques dont disposent les scientifiques au travail. Le résultat de ce processus dynamique aboutit, dans les meilleurs cas, à une stabilisation de l’investigation empirique. Dans la seconde partie, l’auteur donne la chair au squelette théorique de cet empirisme itératif. En s’appuyant sur les travaux de Jim Bogen, James Woodward et Allan Franklin, il s’agit pour lui de construire un concept d’observation dérivé du concept d’expérience médiate, lui-même fondé sur des données qu’il s’agit d’analyser à partir d’un cadre interprétatif pertinent (partie 2, chapitre 1), d’un équipement instrumental robuste et précis (partie 2, chapitre 2) et d’un traitement mathématique opéré informatiquement à partir du format numérique de manipulation de ces données (partie 2, chapitre 3). Cette seconde partie se termine sur la présentation détaillée d’une étude de cas : l’application de la tomographie d’émission monophotonique (TEMP) au petit animal (partie 2, chapitre 4). – Préface de Stéphanie Ruphy, pp. 7-10 ; Introduction, pp. 11-18 ; Première partie : « Conceptions philosophiques de l’observation », pp. 21-118 ; Deuxième partie : « Les pratiques contemporaines de l’observation », pp. 121-248 ; Conclusion, pp. 249-253 ; Illustrations, pp. 255-266 ; Bibliographie, pp. 267-273 ; Index, pp. 275-276 ; Table des illustrations, pp. 277-279 ; Table des matières, pp. 281-284.
F. F.
Cet article défend une thèse : certaines représentations non linguistiques jouent un rôle constitutif dans le raisonnement scientifique, et ont donc une valeur épistémique. Il propose ainsi une typologie, structurée par une grande dichotomie entre deux types de représentations non linguistiques (les schémas et les diagrammes), afin de montrer leurs vertus épistémiques dans le raisonnement en biologie (le cas étudié est celui de la génétique classique).
F. F.