1.1.1. Votre requête est guidée par la suggestion des mots-clés déjà enregistrés dans la base de données (auto-complétion)
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Monographie
Dictionnaire / Encyclopédie
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Revue / Périodique
Thèse
3.1. Vous pouvez la faire tourner dans tous les sens
3.2. Vous pouvez la zoomer et la dézoomer
3.3. Vous pouvez cliquer sur les mots-clés qu'elle présente
Émile Meyerson, philosophe oublié
Jean LARGEAULTSous la direction de Yvon BRÈSDans Revue philosophique de la France et de l’étranger - 1992
Émile Meyerson
David LÉVYSous la direction de Michel BITBOL, Jean GAYONDans L’Épistémologie française, 1830-1970 - 2006
Émile Meyerson
Frédéric FRUTEAU DE LACLOSÉditeur : Les Belles Lettres - 2014
Deux questions : – 1. Comment, d’après Meyerson, se définit la nature ou la tâche de la philosophie des sciences (ou de la philosophie scientifique), ou comment s’effectue le passage entre “philosophie de la nature” et “philosophie de l’intellect” dont l’épistémologie (= théorie de la connaissance scientifique) est une partie; – 2. Quelle est la portée philosophique de l’œuvre de Meyerson qui, dans sa critique du positivisme, entend dépasser l’opposition du réalisme et de l’idéalisme. – I. La philosophie naturelle; – II. Le programme de la philosophie de l’intellect : A. L’impossibilité de la première voie (la philosophie naturelle); B. L’impossibilité de la seconde voie (le positivisme); C. L’ouverture d’une troisième voie (La philosophie de l’intellect); – III. Les limites à l’identification; – IV. Jugement.
L’œuvre de Meyerson est suivie à travers le chemin conceptuel initial qui va de son analyse de la légalité et de la causalité en science pour aboutir au processus de l’identification et à ses conséquences. – L’explication scientifique; – La cause; – Le rôle de l’identification dans l’explication causale; – La plausibilité; – Le mécanisme et la mécanique classique vus par Meyerson; – Les raisons du succès de la mécanique; – Les grands principes de conservation de la mécanique et de la chimie; – L’atomisme; – L’élimination du temps; – Les limites de la mécanique. L’irrationnel; – Les autres irrationnels; – Conclusion.
Élaborer une philosophie des sciences transhistorique et transdisciplinaire qui soit une anthropologie de la connaissance, cela veut dire construire un discours philosophique dont le motif est de fournir une explication épistémologique de l’explication scientifique. Tel est le sens du projet épistémologique d’Émile Meyerson (1859-1933). Cette explication prend chez lui la forme d’une histoire complexe dont la trajectoire est conditionnée par un jeu de tendances : la plus prégnante d’entre elles étant selon lui la tendance à l’identification. Identifier voulant dire dans le langage de Meyerson : reconduire la diversité sensible et phénoménale à l’unité d’une cause substantielle, qui est elle-même reconductible à un principe de la raison. L’objet du premier chapitre est ainsi de présenter l’épistémologie historique d’É. Meyerson telle qu’elle se construit à travers le « trépied » de son œuvre : Identité et Réalité (Paris, Félix Alcan, 1908) ; De l’explication dans les sciences (Paris, Payot & Cie, 1921) et enfin Du cheminement de la pensée (3 vol., Paris, Félix Alcan, 1931). Le second chapitre présente quant à lui le deuxième volet de son œuvre, soit deux ouvrages épistémologiques – La déduction relativiste (Paris, Payot, 1925) et Réel et déterminisme dans la physique quantique (Paris, Hermann, 1933) – contemporains de deux bouleversements scientifiques majeurs au début du XXe siècle, et à la fin de sa vie : à savoir la théorie de la relativité d’Einstein et la théorie quantique. Enfin un troisième et dernier chapitre étudie la propagation des schèmes meyersonniens dans les champs de la psychologie, de la psychiatrie et de la psychanalyse ; plus précisément le schème de l’identification dans la psychologie d’Arnaud Dandieu (1897-1933), la psychiatrie d’Eugène Minkowski (1885-1972) et la psychanalyse de Jacques Lacan (1901-1981). – Remerciements, p. 9 ; Repères chronologiques, pp. 11-16 ; Éditions des œuvres d’Émile Meyerson utilisées, p. 17 ; Introduction : « La prolifération interne : une méthode », pp. 19-33 ; Conclusion : « Situations et instaurations », pp. 183-189 ; Glossaire, pp. 191-199 ; Notices biographiques, pp. 201-209 ; Bibliographie, pp. 211-218 ; Index nominum, pp. 219-221 ; Index rerum, pp. 223-224 ; Table des matières, pp. 225-226.
F. F.