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La Philosophie des sciences. L’invention d’une discipline (fin XIXe-début XXIe siècle)
Carlos Ulises MOULINESÉditeur : Éditions Rue d’Ulm - Presses de l’École Normale Supérieure - 2006
Karl Popper
Dario ANTISERIÉditeur : Rubbettino Editore - 1999
Le criticisme chez Gramsci et Popper
Dimitri DIMITRAKOSSous la direction de Renée BOUVERESSE-QUILLIOTDans Karl Popper et la science d’aujourd’hui - 1989
Popper et la question de l’historicisme
Roland QUILLIOTSous la direction de Renée BOUVERESSE-QUILLIOTDans Karl Popper et la science d’aujourd’hui - 1989
L’Institutionnalisme historique et la relation entre théorie et histoire en économie
Cyril HÉDOINÉditeur : Classiques Garnier - 2013
La philosophie des sciences ne provient pas d’une forme quelconque d’analyse de son sujet, mais est avant tout une réflexion philosophique sur les sciences, ce produit intellectuel assez particulier que représente la connaissance scientifique. En tant que discipline institutionnalisée, la philosophie des sciences a un peu plus d’un siècle d’existence : il s’agit ici de retracer l’histoire de son développement et de mettre en évidence ce qui, à chaque période, a eu des conséquences majeures sur l’évolution ultérieure de la discipline. Cet ouvrage se veut donc une introduction non seulement historique, mais aussi thématique à la philosophie des sciences contemporaine. Son originalité consiste à replacer les thèmes, approches et auteurs de la philosophie des sciences dans une perspective historique cohérente et continue depuis la fin du XIXe siècle jusqu’à nos jours. L’accent est mis sur les courants généraux et sur le contexte dans lequel les idées et les approches sont apparues plutôt que sur les détails bio-bibliographiques des auteurs concernés. – Chap. 1, «Une vision d’ensemble» (Les débuts institutionnels; “Préhistoire ” et “protohistoire”; Les cinq phases du développement); – Chap. 2, «Phase de germination ou de préformation : empiriocriticisme et conventionalisme (1890-1918)» (Le programme d’Ernst Mach; Le conventionalisme et l’instrumentalisme; Deux germes pour l’avenir); – Chap. 3, «Phase d’éclosion (1918-1935)» (Une exception française; Le rôle de la logique formelle; Le Cercle de Vienne; L’opérationalisme; Une amorce de crise); – Chap. 4, «Crise du positivisme logique et consolidation de la philosophie des sciences classique (1935-1970)» (La déroute du vérificationnisme, les problèmes du falsificationnisme et les difficultés de l’inductivisme; La crise du réductionnisme conceptuel; Une exception allemande; La doctrine des deux niveaux conceptuels; L’attaque contre la distinction analytique/synthétique et la thèse de la sous-détermination; La structure de l’explication scientifique; La nature des lois scientifiques); – Chap. 5, «Phase historiciste (1960-1985)» (Paradigmes et incommensurabilité, programmes et traditions de recherche; Le relativisme socio-épistémique); – Chap. 6, «Approches modélistiques et apparentées (1970-2000)» (Essai de caractérisation générale; L’approche ensembliste de l’École de Stanford; Le représentationalisme; Les conceptions sémanticistes; Le structuralisme métathéorique; Le pluralisme modélistique de Nancy Cartwright; Les nouvelles conceptions de la nature de l’explication scientifique). – Conclusion. M.-M. V.
Questo volume è consacrato al pensiero del filosofo della scienza del XX secolo Sir Karl Raimund Popper. Inserito nella collana “Biblioteca Austriaca” delle edizioni Rubbettino, è articolato in quattordici capitoli, preceduti dalla Prefazione dell’Autore. Dario Antiseri, Autore del volume, in esso affronta e discute le più importanti tematiche della filosofia di Popper: il problema dell’induzione e della demarcazione tra scienza e non scienza, il metodo scientifico, la difesa dell’indeterminismo, la concezione della fisica quantistica e l’interpretazione propensionale della stessa, i limiti dello storicismo, la logica delle scienze sociali e la teoria dei tre Mondi, le ragioni della società aperta, i critici di Popper. La definizione del metodo scientifico, nel capitolo terzo, costituisce il cuore e anche il tema trasversale di questo volume. Dopo i primi due capitoli dedicati alle difficoltà del principio di induzione e al criterio di falsificabilità come criterio di demarcazione della scienza dalla metafisica, in esso sono discussi i pilastri della logica della ricerca di Popper: la tesi dell’unità del metodo, il criterio della verosimiglianza, la critica dell’essenzialismo e dello strumentalismo, il modello nomologico-deduttivo. Di contro ad alcune tendenze antirealiste dell’epistemologia del XX secolo, Popper è persuaso - scrive l’Autore - « che la scienza può fare scoperte reali; e, diversamente dall’essenzialista, il quale crede sia possibile conoscere realtà essenziali e fornire spiegazioni ultime, Popper ritiene che la ricerca non ha fine e che ogni teoria può venir spiegata da una ulteriore teoria ». L’Autore distingue la filosofia della scienza di Popper da tali tendenze essenzialiste e, per quanto riguarda il problema della demarcazione tra scienza e non scienza, dalla critica dei neopositivisti. Popper, pur elaborando le proprie tesi epistemologiche contemporaneamente alla formazione del movimento del neopositivismo, dalle idee di tale movimento prende le distanze. L’ampia trattazione delinea, con puntuali riferimenti ai testi, il percorso delle argomentazioni popperiane in difesa del razionalismo critico, in difesa di idee filosofiche tra le quali spiccano il fallibilismo, il realismo, l’indeterminismo che è filosoficamente sostenuto dall’«argomento dell’asimmetria tra il passato e il futuro». Insomma, « Popper ha cercato di rendere il suo razionalismo più critico possibile ». L’Autore perciò dedica alcune pagine di questo volume alle tesi dei primi critici di Popper (H. Reichenbach, R. Carnap, O. Neurath, C. G. Hempel, L. Geymonat) nonché alle tesi – tra quelle discusse – di Thomas S. Kuhn, Imre Lakatos e Paul K. Feyerabend. Antiseri delinea l’ampio spettro delle tematiche popperiane e perciò quel legame tra epistemologia e scienze sociali che caratterizza l’impegno intellettuale del filosofo di Vienna. Infatti «focalizzando il suo interesse sulla fallibilità della conoscenza umana, Popper ha elaborato una concezione della scienza alla quale ha legato una antropologia filosofica dai tratti molto ‘umani’ (fallibilità, libertà, responsabilità, tolleranza, egualitarismo) e la teoria politica della ‘società aperta’». La società aperta che è oggetto dell’attenzione di Popper è la «società aperta dalla fallibilità della conoscenza umana e dalla consapevolezza che, per quel che riguarda i valori ultimi viviamo e vivremo in un mondo politeista». « Infatti i valori supremi – scrive Antiseri richiamandosi alla legge di Hume della inderivabilità logica delle norme dai fatti – sono oggetto di scelte di coscienza: non sono né teoremi ‘dimostrati’ né assiomi ‘autoevidenti’ e ‘autofondantisi’». In questo contesto di discorso l’Autore rievoca le argomentazioni critiche di Popper a riguardo della concezione politica di Platone, dello storicismo hegeliano e del materialismo storico di Marx. Un’ampia bibliografia e la cronologia della vita e delle opere di Popper corredano il volume. – Prefazione. – I. Il problema dell’induzione. – II. La demarcazione tra scienza e non-scienza. – III. Il metodo scientifico. – IV. Quando e perché le teorie filosofiche sono razionali. – V. La scelta irrazionale della «ragione»: natura e genesi del razionalismo critico. – VI. Difesa dell’indeterminismo. – VII. L’interpretazione propensionale della fisica quantistica. – VIII. Miseria, errori e danni dello «storicismo». – IX. La logica delle scienze sociali. – X. L’autonomia del Mondo 3 e il problema del rapporto mente-cervello. – XI. Le ragioni della società aperta. – XII. Platone totalitario. – XIII. Hegel e Marx falsi profeti. – XIV. I critici di Popper. M. F.
Introduction. I. Le caractère du criticisme gramscien; II. Bloc historique et action éducative; III. Théories partielles et marxisme; IV. Historicisme ou criticisme ?; V. Une critique poppérienne : bloc historique et connaissance objective.
[Texte remanié de : Thèse de doctorat, sous la direction de Hervé Guillemin : Sciences économiques : 1 vol. : Université de Reims Champagne-Ardenne : 2010]. – Ce livre, tiré d'une thèse de sciences économiques, propose une relecture de l'institutionnalisme historique né au XIXe siècle en Allemagne, avant de connaître une renaissance à partir de la fin des années 1970 aux États-Unis. L'auteur, s'appuyant sur les travaux d'Imre Lakatos, définit l'institutionnalisme historique comme un « programme de recherche », dont il propose une « reconstruction rationnelle » en étudiant la façon dont ses représentants ont défendu dans leurs travaux, explicitement ou implicitement, un « noyau dur » de principes constitutifs. Cette approche le conduit à identifier une tradition institutionnaliste à travers les œuvres de cinq auteurs principaux : Gustav Schmoller, Max Weber, Thorstein Veblen, John R. Commons et Karl Polanyi. Le noyau dur de l'institutionnalisme historique, que l'on peut retrouver de façon plus ou moins complète chez ces auteurs, est divisé en deux ensembles de principes constitutifs composant les deux parties de l'ouvrage. L'« historicisation de la théorie » désigne d'abord le postulat selon lequel la singularité des situations historiques suppose la constitution d'outils théoriques sur mesure, sans prétention à l'universalité (chapitre I). C'est ce principe qui conduit à privilégier une méthode mettant en avant des institutions plutôt que les individus ou les structures sociales (chapitre II), et à privilégier l'étude d'idéaltypes ou le raisonnement par abduction, plutôt que l'induction ou la déduction (chapitre III). La « théorisation de l'histoire », ou analyse évolutionnaire de la dynamique des systèmes économiques, repose sur le rejet des analyses formelles en termes d'optimisation, et la mise en avant d'un « principe d'économie substantive » dans lequel l'économie est conçue comme la satisfaction de besoins matériels définis par un ensemble de règles et de normes (chapitre IV). Ceci conduit à une réflexion originale sur l'évolution des institutions dans le temps, et à dégager certains mécanismes récurrents (chapitre V). Le capitalisme théorique est finalement interprété, non pas comme un des mécanismes communs à toutes les sociétés, mais comme un ensemble singulier d'institutions propres à un moment historique spécifique (chapitre VI). – Bibliographie, pp. 401-417 ; Index des auteurs, pp. 419-423 ; Index des notions, pp. 425-429 ; Table des tableaux et des figures, p. 431 ; Table des matières, pp. 433-435. J. V.