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Logique contemporaine et formalisation
Roger MARTINÉditeur : Presses Universitaires de France - 1964
Essai sur la logique des modalités
Jean-Louis GARDIESÉditeur : Presses Universitaires de France - 1979
Le Calcul et la raison : essais sur la formalisation du discours savant
Jean-Claude GARDINÉditeur : Éditions de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS) - 1991
Der logische Aufbau der Welt
Rudolf CARNAPÉditeur : Weltkreis-Verlag - 1928
Georg Brun, Die richtige Formel, Philosophische Probleme der logischen Formalisierung
Timm LAMPERTSous la direction de Hans ROTTDans Erkenntnis - 2004
Les limites de la formalisation
Jean LADRIÈRESous la direction de Jean PIAGETDans Logique et connaissance scientifique - 1967
Approches logiques du raisonnement taxinomique
Gabriella CROCCOSous la direction de Jacques DUBUCS, François LEPAGEDans Méthodes logiques pour les sciences cognitives - 1995
Turing, entre le formel de Hilbert et la forme de Goethe
Jean LASSÈGUESous la direction de Jean-Jacques KUPIEC, Franck VARENNE, Marc SILBERSTEIN, Guillaume LECOINTREDans Matière première. Revue d’épistémologie et d’études matérialistes - 2008
Biologie des systèmes et recherche des lois générales
Evelyn Fox KELLERSous la direction de Jean-Jacques KUPIEC, Franck VARENNE, Marc SILBERSTEIN, Guillaume LECOINTREDans Matière première. Revue d’épistémologie et d’études matérialistes - 2008
Des sciences exactes aux phénomènes du vivant, à partir de Schrödinger : mathématiques, programme et modèles
Giuseppe LONGOSous la direction de Jean-Jacques KUPIEC, Franck VARENNE, Marc SILBERSTEIN, Guillaume LECOINTREDans Matière première. Revue d’épistémologie et d’études matérialistes - 2008
À propos du rôle des singularités dans l’analyse économique. Apports de la théorie des jeux
Jean-Pierre PONSSARDSous la direction de Louis-André GÉRARD-VARET, Jean-Claude PASSERONDans Le Modèle et l’enquête. Les usages du principe de rationalité dans les sciences sociales - 1995
Formalisation et expérimentation
Roland OMNESSous la direction de Claude GRIGNON, Claude KORDONDans Sciences de l’homme et sciences de la nature. Essais d’épistémologie comparée - 2009
Théorie, formalisation et constitution du langage spécialisé de la chimie
Pierre LASZLOSous la direction de Claude GRIGNON, Claude KORDONDans Sciences de l’homme et sciences de la nature. Essais d’épistémologie comparée - 2009
Chemins causals, chaînes causales
Anne FAGOT-LARGEAULTSous la direction de Claude GRIGNON, Claude KORDONDans Sciences de l’homme et sciences de la nature. Essais d’épistémologie comparée - 2009
La représentation formelle des comportements subjectifs : le cas de la théorie des jeux
Giorgio ISRAËLSous la direction de Claude GRIGNON, Claude KORDONDans Sciences de l’homme et sciences de la nature. Essais d’épistémologie comparée - 2009
Coïncidences autour de Granger : l’opératoire et l’objectal en musique
Guilherme CARVALHO, Anne SEDES, Horacio VAGGIONESous la direction de Antonia SOULEZ, Arley R. MORENODans La Pensée de Gilles-Gaston Granger - 2010
Le système de production : un formalisme pour modéliser la cognition humaine
Anh NGUYEN-XUANSous la direction de Jean-Louis LE MOIGNEDans Intelligence des mécanismes, mécanismes de l'intelligence - 1986
L'Axiomatique
Robert BLANCHÉÉditeur : Presses Universitaires de France - 1955
La science économique
Bernard WALLISERSous la direction de Jean-Michel BERTHELOTDans Épistémologie des sciences sociales - 2012
Quel temps fait-on ?
Jean-Marc LÉVY-LEBLONDSous la direction de Étienne KLEIN, Michel SPIROSous la direction de Étienne KLEIN, Michel SPIRODans Le Temps et sa flèche - 2013
The Structure of Values and Norms
Sven Ove HANSSONÉditeur : Cambridge University Press - 2001
Cette étude met l’accent sur le rôle joué par les systèmes formels et considère que la formalisation, entendue comme construction des systèmes formels, est le meilleur moyen de donner à la déduction logique rigueur et précision. Dans cette perspective, l’interprétation que reçoit un système d’axiomes, quel qu’ait pu être son rôle dans le choix des axiomes, quelle que soit son importance en ce qui concerne la fécondité de la formalisation, apparaît comme seconde. Sans doute certains théorèmes majeurs comme le théorème de Gödel reposent sur un passage plusieurs fois opéré de la théorie naïve à la théorie formelle et vice versa. Cela n’empêche que le système auquel il s’applique est initialement défini par des conditions purement syntaxiques. Mais si le point de vue syntaxique est privilégié dans ce livre, il n’est cependant pas le seul auquel on puisse se placer : on parvient tout aussi bien à donner de la déduction logique une image abstraite et fidèle en adoptant un point de vue purement sémantique. C’est donc finalement au double passage du naïf au formel (formalisation) et du formel au naïf (interprétation) que s’attache le présent ouvrage, en essayant de voir comment les systèmes de logique moderne le réalisent et en quel sens la constitution de systèmes formels permet de fonder la logique et les mathématiques. – Chapitre I, La notion de système formel; – II, Langue. Métalangue; – III, Métathéorie. Syntaxe; – IV, Sémantique : généralités; deux exemples; – V, Sémantique (suite); – VI, Fonctions récursives primitives. Théorème de Gödel; – VII, Fonctions récursives générales. Théorèmes généraux d’indécidabilité; – VIII, Complétude et catégoricité. Le problème du fondement. M.-M. V.
Poursuivant une analyse de la rationalité modale précédemment esquissée sur des cas restreints, tels la rationalité des normes («Modalités et normes», Archiv für Rechts-und Soziophilosophie, 1976, LXII/4, pp. 465-474), puis celle du temps (La Logique du temps. Paris : PUF, 1975), l’A. généralise ici l’étude de la modalité : il s’agit de «faire éclater le sens étroit auquel une certaine tradition attachait le terme de modalité, pour rejoindre, derrière un sujet d’une portée philosophique un peu restreinte, un des problèmes probablement les plus fondamentaux que pose l’analyse de la rationalité» (p. 6). – Consacré aux «Modalités élémentaires», le Livre I est constitué de quatre chapitres qui ont une tâche comparative : rapprocher les unes des autres les structures de ces divers ordres de modalités (ontique, temporel, déontique, épistémique), pour en marquer les similitudes et les différences manifestes, sans pour autant prétendre résumer les résultats obtenus durant le troisième quart du vingtième siècle dans les recherches inaugurées respectivement par Arthur N. Prior, Georg Henrik von Wright et Jaakko Hintikka pour chacun des trois domaines, – temporel, – déontique, – épistémique. – Le Livre II («Modalités composées») passe de la comparaison à la combinaison des modalités, telle qu’elle semble s’opérer dans bon nombre de nos raisonnements. Après deux types de composition, l’un et l’autre intérieurs à l’ordre normatif (La compatibilité des systèmes normatifs; Les normes hiérarchiques), l’A. envisage enfin la possibilité de faire jouer des ordres distincts dans l’agencement d’une procédure commune (La combinaison des différents ordres de modalités; La formalisation des propositions complétives). M.-M. V.
Cet ouvrage réunit des études relatives à la place de la formalisation dans les constructions de sciences humaines. Les problèmes théoriques se retrouvent amplifiés dans l’usage des technologies de l’information, dont on attend qu’elles aident à raisonner et non plus seulement à compiler. L’étude des textes scientifiques, – le discours savant –, prend dès lors une dimension épistémologique étrangère aux recherches conduites ailleurs sur le même thème au titre de la linguistique ou de la sociologie : cette «troisième voie de connaissance», qui n’est ni celle de l’homme de science ni celle de l’homme de lettres, est ici explorée. – La Partie I, «Historique» (chap. 2 et 3), fait le point sur les questions d’épistémologie pratique dans les perspectives de l’intelligence artificielle; – la Partie II, «Critique» (chap. 4 et 5), analyse l’évolution des sciences du discours au discours de la science; – la Partie III, «Intellectique» (chap. 6 à 8), a pour dénominateur commun une confrontation entre la nature des opérations intellectuelles qui ponctuent nos argumentations et la forme que ces opérations revêtent dans toute espèce de programmes voués à l’élucidation du sens; – la Partie IV, «Retour au discours savant» (chap. 9 à 12), envisage les fondements possibles de la sémiologie à travers la question de l’interprétation dans les «humanités». – Des « Arrière-pensées » (chap. 13) clôturent cette réflexion sur les dynamiques des processus cognitifs. M.-M. V.
Without Abstract
Introduction; 1, Le raisonnement taxinomique (la taxinomie en tant qu’outil conceptuel; trois formes de prédication; les taxinomies et la logique); 2, La formalisation logique des hiérarchies d’héritage (les solutions non monotones; les solutions dans le cadre de la logique linéaire); 3, Conclusion.
Si l’on considère que la modélisation d’un phénomène est en partie la réalisation d’un calcul, l’effectuation d’un algorithme, il faut s’interroger sur les fondements de la modélisation en tant que détermination de la calculabilité du modèle. Le présent article expose l’apport crucial de Turing à cette question, et comment se dessinent dans son œuvre les considérations mathématiques quant à l’exécution d’un algorithme, d’un moteur d’inférences si l’on peut dire, ou encore quant à la mise en œuvre formelle de l’objet mathématique qu’est tout modèle formel, ainsi que de ses propriétés mathématiques intrinsèques.
La question essentielle de la formalisation opportune est ici remise en perspective de façon déterminante dans le cas de la biologie, au moyen d’une approche à la fois historique et épistémologique. L’occasion pour l’auteur d’exprimer ses doutes sur la transposabilité des notions et des traitements formels de la complexité en usage en physique (théorie des systèmes dynamiques, notions associées d’émergence) aux formes biologiques de complexité. – [Traduit de l’anglais par Édouard Guinet].
Cet article défend la position d’un complet renouvellement des méthodes de formalisation du vivant. Il s’agit d’envisager les métaphores du changement de phase et des états critiques empruntées par la biologie des formes à la physique et de travailler à l’étude de formalismes plus généraux, plus souples et convenant à la prise en compte d’une criticité étendue. En physique, les transitions critiques sont ponctuelles. L’hypothèse théorique consiste ici à supposer que les êtres vivants sont de façon permanente en transition critique et, pour cela, reconstruisent constamment leur organisation. Il faut alors représenter autrement le temps et l’organisation. L’intérêt de cette position est de proposer un type de renouvellement radical des mathématiques comme des observables pertinents. – [Traduit de l’anglais par Matteo Mossio].
La formalisation du raisonnement par la théorie des jeux doit s’accrocher sur les singularités du contexte étudié. L’auteur cherche ici à démontrer que la notion même de concept de solution doit conserver une part de contextualité pour rendre compte du travail effectué, «sous peine de créer l’illusion d’une généralité abusive suivie inévitablement du contre-exemple dévastateur». – 1. Introduction; – 2. Vers une conception interactive de la rationalité pour les jeux non coopératifs à information incomplète; – 3. Le modèle de barrière à l’entrée, de Eaton et Lipsey; – 4. Conclusion. – Annexe : La concurrence saine et loyale, ou tension à Oakland.
Cet article traite des trois niveaux épistémologiques de la physique dans son état actuel : – 1. Le niveau concret, ou semi-empirique; – 2. le niveau formel et expérimental, et la mécanique quantique; – 3. le niveau purement formel, et l’épistémologie formelle.
Sur les règles terminologiques et la nomenclature qui donnent à la chimie une langue universelle, un langage symbolique propre lui permettant de surmonter la domination de la physique et des mathématiques.
Cet article porte sur la notion de chaîne causale, intuitivement claire, mais difficilement formalisable, et montre que la recherche causale peut se situer dans deux contextes tout à fait différents, – celui d’une histoire événementielle, – celui d’une «histoire naturelle», avant de commenter les différences qui les opposent.
Formaliser les sciences de l’homme, les sciences sociales ou les sciences économiques pose toujours le même défi : représenter d’une façon formelle, et si possible quantitative, des régularités qui devraient être les «lois» du comportement subjectif. Dans ces disciplines, l’équivalent du point matériel en mécanique est en effet le sujet économique ou le sujet social, l’homme individuel, acteur principal de toute l’histoire. Ces questions sont ici illustrées par un exemple particulièrement problématique, comme la théorie des jeux pour l’économie. – Discussion : Claude Grignon, Bernard Lortat-Jacob, G. Israel, Jean-Éric Aubert.
Ce texte est la transcription d’un entretien entre Horacio Vaggione, Anne Sedes et Guilherme Carvalho, dans le cadre de ces Journées consacrées à la pensée de G.-G. Granger. Pourquoi des musiciens-chercheurs s’intéressent-ils à Granger lorsqu’ils interrogent leur pratique, à travers une approche théorique des aspects poïétiques de la composition musicale ? En effet, les notions d’objet et d’opération proposées par Granger, tout comme son approche du contenu formel, de la formalisation ou encore de l’instrumental, ont donné lieu à autant de coïncidences avec leurs propres investigations. Le caractère informel et spontané de ce dialogue oral a été conservé tel quel, car il témoigne de l’originalité d’une communauté de pensée.
Dans le cadre d'un exposé des concepts classiques des sciences de la cognition (systèmes de production, représentation des connaissances), on expose plusieurs formalisations psychologiques des mécanismes cognitifs. On étudie, en particulier, des modèles de raisonnements non rigoureux; puis on propose un mode d'intégration de modèles psychologiques dans la formalisation d'un système de production. On termine, enfin, par l'examen des possibilités d'application de modèles structuraux – et non plus stochastiques – à la représentation de comportements humains (apprentissage).
In an account of the classical concepts of the cognitive science (production system, representation of knowledge), one puts forth various psychological formalizations of the cognitive mechanisms. Models of inaccurate reasoning are studied with particular interest. One also proposes a method aimed at integrating psychological models in the formalization of a production system. One finally ends by examining whether it is possible to apply structural – and no longer stochastic – models to the representation of human behaviour (learning).
Cet article a pour objet d'étude l'économie. Dans une première partie, l'auteur examine les entités ontologiques structurant le champ de la discipline (les agents, les institutions, le temps). Dans une seconde partie, il analyse les moments de l'élaboration des modèles, de leur test et de leur exploitation (formalisation, validation, opérationnalisation). Enfin, il présente les reconfigurations actuelles de la discipline (les écoles, les tendances épistémologiques, les liaisons avec les autres sciences sociales). – Bibliographie, pp. 146-147.
F. F.
Cet article est une mise en perspective critique de la pratique de la science, et plus particulièrement de la science physique, sur cet objet d'étude qu'est le temps : l'auteur réaffirme la nécessité de pratiquer la science dans un espace critique de discussion, où la divergence des interprétations et l'animation des controverses forment la richesse de son entreprise et le moteur de son développement ; il réaffirme l'importance du contexte social dans la formation des théories scientifiques, ainsi que l'importance de l'instrumentation, de la signification conceptuelle de celle-ci dans l'élaboration des théories. F. F.
Formal representations of values and norms are employed in several academic disciplines and specialties, such as economics, jurisprudence, decision theory, and social choice theory. Hansson has developed a unified formal representation of values and norms that reflects both their static and their dynamic properties. This formalized treatment, carried out in terms of both informal value theory and precise logical detail, will contribute to the clarification of certain issues in the basic philosophical theory of values and norms. – Table of Contents: Preface. Prolegomena:1. Formalization. – Part I. Values: 2. Exclusionary preferences; 3. Preference states; 4. Changes in exclusionary preferences; 5. Constructing combinative preferences; 6. Pairwise combinative preferences; 7. Decision-guiding combinative preferences; 8. Monadic value predicates. – Part II. Norms: 9. A starting point for deontic logic; 10. Situationist deontic logic; 11. Conflicts and counterfactuals; 12. Rules and normative systems; 13. Legal relations. Epilogue: 14. Afterthought.