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Unicité des fonctions et décomposition fonctionnelle
Françoise LONGYSous la direction de Thierry MARTINDans Le Tout et les parties dans les systèmes naturels : écologie, biologie, médecine, astronomie, physique et chimie - 2007
Philosophie de la biologie : Enjeux et perspectives
Christian SACHSEÉditeur : Presses polytechniques et universitaires romandes - 2011
Le concept de fonction dans le discours psychiatrique contemporain
Steeves DEMAZEUXSous la direction de Marc SILBERSTEIN, Gérard LAMBERTSous la direction de Marc SILBERSTEIN, Gérard LAMBERTDans Matière Première. Revue d'épistémologie - 2010
Fonction naturelle et fonction morale
Jérôme RAVATSous la direction de Marc SILBERSTEIN, Gérard LAMBERTSous la direction de Marc SILBERSTEIN, Gérard LAMBERTDans Matière Première. Revue d'épistémologie - 2010
Une théorie naturaliste des phénomènes moraux est-elle possible ?
Nicolas BAUMARDSous la direction de Marc SILBERSTEIN, Gérard LAMBERTSous la direction de Marc SILBERSTEIN, Gérard LAMBERTDans Matière Première. Revue d'épistémologie - 2010
Théorie cellulaire et synthèse morphologique
François DUCHESNEAUSous la direction de Jean-Jacques KUPIEC, François DUCHESNEAU, Michel MORANGEDans Claude Bernard. La méthode de la physiologie - 2013
De l’action des gènes aux génomes réactifs
Evelyn Fox KELLERSous la direction de Thierry HOQUET, Francesca MERLINDans Précis de philosophie de la biologie - 2014
Similarités ontologiques et différences épistémologiques entre physique et biologie
Christian SACHSESous la direction de Thierry HOQUET, Francesca MERLINDans Précis de philosophie de la biologie - 2014
De spiritu on Heat and Its Role in the Formation, Composition, and Activities of Animals
Orly LEWISSous la direction de Hynek BARTOŠ, Colin GUTHRIE KINGDans Heat, Pneuma, and Soul in Ancient Philosophy and Science - 2020
Les fonctions attribuées aux parties d’un système ont-elles obligatoirement même nature que la fonction attribuée au système entier ? Nous montrons que la réponse est non, aussi bien pour les artefacts que pour les organismes vivants, dès lors qu’on adopte les théories des fonctions actuellement dominantes (sélectionniste pour les fonctions biologiques et intentionnaliste pour les fonctions d’artefact). Nous expliquons ce que l’hétérogénéité fonctionnelle impliquerait ici : au lieu de former une véritable catégorie, c’est-à-dire une catégorie ayant une réalité ontologique et une vraie valeur explicative (les deux vont ensemble), les fonctions désigneraient des propriétés se ressemblant seulement superficiellement. Nous précisons, enfin, l’alternative à laquelle cette analyse mène : ou bien les fonctions n’ont pas le statut ontologique que les théories actuelles leur prêtent, ou bien leur nature commune se situe à un niveau plus abstrait que ceux couramment pris en compte.
L'objectif de cet ouvrage est de présenter les problèmes que soulève la théorie de l'évolution et les concepts qu'elle mobilise dans la mesure où comme l'écrit l'auteur « le caractère historique et théorique de la biologie évolutionnaire la rapproche davantage de la philosophie que d'autres disciplines biologiques » (p. 1). Après un premier chapitre historique proprement introductif rappelant les antécédents théoriques et le contexte de formation de la théorie de l'évolution (chap.1: « Darwin et la théorie de l'évolution »), l'auteur expose la notion d'évolution biologique (chap. 2 : « L'évolution biologique ») puis les concepts, mécanismes et facteurs qui permettent de l'expliquer : en particulier 1° le concept de fitness, qui désigne la capacité de survie et de reproduction d'un organisme vivant (chap. 3 : « Le concept de fitness (valeur sélective) ») ; 2° les mécanismes de la sélection naturelle et de la dérive génétique (chap. 4 : « La dérive génétique et l'adaptationnisme ») ; enfin 3° les facteurs environnementaux pertinents à l'origine de la détermination des degrés de fitness des organismes (chap. 5 : « L'environnement, la niche et les ressources »). Dès lors l'auteur est conduit à aborder la question des unités et des niveaux sur lesquels la sélection naturelle opère. La réponse à cette question (chap. 6 : « L'unité de sélection ») est formulée à travers l'analyse du phénomène biologique dit de l'altruisme - « comportement d'un individu consistant à augmenter le niveau de fitness d'autrui au dépend de son propre niveau de fitness » (p. 59) -, et l'examen des deux perspectives adoptées face au paradoxe qu'il implique : d'une part la perspective géno-centrée selon laquelle « seuls les gènes sont de véritables unités capables de se répliquer » (p. 60), d'autre part la perspective du groupe. Suit une tentative de définition du vivant à partir de trois critères qui participent de la théorie explicative de l'évolution : la réplication, la variance et l'héritabilité (chap. 7 : « La définition du vivant »). Dès lors l'auteur présente l'arbre de la vie, dans la mesure où il permet de se faire une représentation des liens unissant tous les êtres vivants au cours du temps, et donc une image globale de la théorie de l'évolution (chap. 8 : « L'arbre de la vie et les espèces biologiques »). L'objet du neuvième chapitre est de discuter deux conceptions de la fonction biologique : les conceptions étiologique et systémique (chap. 9 : « La fonction biologique »). Le chapitre 10 porte sur les modèles d'explication scientifique (nomologique-déductif, unificationniste, statistique, causal et mécaniste) et étudie leur application à plusieurs phénomènes biologiques. Ce qui conduit l'auteur au chapitre 11 à s'interroger sur les relations entre les propriétés biologiques et les propriétés physiques : les premières sont-elles réductibles aux secondes ? En effet « y a-t-il une différence ontologique entre un gène (décrit et expliqué par la génétique) et la configuration d'atomes de la séquence d'ADN qui lui correspond (décrite et expliquée par la physique)? » (p. 129) Le chapitre 12 « porte sur la réalisation multiple des types de propriétés biologiques » (p. 5). Le chapitre 13 présente la théorie neutraliste de l'évolution, selon laquelle les changements évolutionnaires au niveau moléculaire résultent de la dérive génétique, et non de la sélection naturelle. À ce moment de l'ouvrage (chap. 14 : « La réduction fonctionnelle de la biologie par des sous-concepts ») l'auteur défend une position qui lui permet d'échapper au dilemme auquel l'a conduit sa réflexion au chapitre 12 concernant la relation entre physique et biologie. Les chapitres 15 (« La génétique classique : étude de cas de réduction ontologique ») et 16 (« La génétique classique : étude de cas de réduction épistémologique ») ont pour fonction d'illustrer la position théorique défendue par l'auteur, à travers l'exemple de la réductibilité de la génétique classique à la génétique moléculaire. – Notes ; Bibliographie, pp. 197-225.
F. F.
Dans « Le concept de fonction dans le discours psychiatrique contemporain », Steeves Demazeux aborde la double question de la fonction en médecine psychiatrique et celle de la pertinence des catégories nosographiques en psychiatrie. La notion de fonction, éminemment problématique, est centrale en biologie, notamment en biologie de l’évolution. En psychiatrie aussi, comme l’auteur le démontre, elle ne va pas sans poser d’énormes problèmes de définition et de délimitation. Il faut d’abord la débarrasser de ses attributs téléologiques pour en faire un outil d’analyse et de compréhension dûment pertinent. Définir la fonction, c’est donc définir la dysfonction, problématiser l’une, c’est problématiser l’autre. Or, les notions de trouble psychiatrique, de fonction mentale normale et donc de maladie mentale sont redevables de ces saisies épistémologiques d’une réalité souvent mouvante, fluctuante, systémique. L’épineux et permanent problème de la démarcation entre normal et pathologique demeure et si les affirmations déjà anciennes de l’antipsychiatrie et des odes à la renonciation à l’objectivation de la maladie mentale sont bel et bien caduques, la psychiatrie, pour être au plus près de l’impératif éthique du meilleur soin et de la nécessité épistémologique de la meilleure science, semble devoir trouver un chemin permettant d’éviter de tomber de Charybde (de la subjectivité absolue de la maladie mentale) en Scylla (de la déshumanisation de la maladie mentale). L’article produit un examen critique des propositions des principaux acteurs de ce débat, et conclut que « peut-être le mieux est-il de renoncer tout bonnement à la perspective de fixer un critère biologique général et définitif du normal et du pathologique valable pour l’ensemble des troubles mentaux ». - Bibliographie, pp. 70-71 ; Notice biographique, p. 72.
Cet article questionne la philosophie morale dans ses rapports avec la biologie de l’évolution, les sciences cognitives et la psychologie. - Bibliographie, pp. 238-239 ; Notice biographique, p. 239.
Cet article questionne la philosophie morale dans ses rapports avec la biologie de l’évolution, les sciences cognitives et la psychologie. - Bibliographie, pp. 279-284 ; Notice biographique, p. 284.
Des rapports entretenus dans les années 1850 avec les diverses théories de l'école de physiologie allemande dirigée par Johannes Peter Müller jusqu'aux Leçons sur les phénomènes de la vie communs aux végétaux et aux animaux (1878), en passant par les Leçons sur les propriétés des tissus vivants (1866), cet article étudie la tension qui anime, dans la constitution de la physiologie bernardienne, l'articulation entre deux systèmes de lois : ceux déterminant respectivement les processus de formation de l'organisme (théorie cellulaire) et ses fonctions opératoires (synthèse morphologique). F. F.
Ce chapitre vise à montrer que la naissance de la génomique a permis de contrecarrer le dogme génique, déterministe et unidirectionnel, et de comprendre le génome comme une entité dynamique et plastique en perpétuel dialogue avec l’environnement. – Cet article, traduit en français par Thierry Hoquet, a d’abord paru dans un numéro du Journal of Physiology en 2014.
F. F.
Ce chapitre compare physique et biologie de deux points de vue : ontologique et épistémologique. F. F.
L’article se propose de reconstituer le rôle de la chaleur
dans la doctrine de la formation des corps vivants dans le De
spiritu pseudo-aristotélicien. En s’appuyant sur le chapitre 9 du
traité, l’auteur montre que c’est au moment où est décrite la fabrication des
parties du corps qu’intervient de manière massive la notion de chaleur — se
substituant à celle de pneuma, qui présidait
pour sa part aux fonctions du corps telles que la digestion, la perception, la
locomotion, etc. Mais Lewis choisit d’accentuer l’unité théorique qui unit ces
deux moments. Ainsi, alors que la série de chapitre 6 à 8 s’achevait sur un
problème fonctionnel irrésolu, le chapitre 9 y apporte une réponse en mettant
en évidence la puissance qualitative de la chaleur, qui ne se contente pas
d’introduire des variations quantitatives dans les mélanges matériels mais
adapte la matière à la « nature » (phusis)
particulière de la partie, de l’individu ou de l’espèce à produire.
L. M.