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2. Signification des pictogrammes utilisés dans la base de données

      2.1. Un pictogramme par type de document

Monographie


Dictionnaire / Encyclopédie


Collectif


Article


Revue / Périodique


Thèse

3. Possibilités manipulatoires de la sphère

      3.1. Vous pouvez la faire tourner dans tous les sens

      3.2. Vous pouvez la zoomer et la dézoomer

      3.3. Vous pouvez cliquer sur les mots-clés qu'elle présente




Nuage de mots-clés associé à : Construction sociale
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    NOTICES

    Liste des références bibliographiques indexées

    Article

    Réalité donnée, réalité construite. À propos d’un argument de Searle

    Michel BITBOL

    Sous la direction de Ivahn SMADJA
    Dans Cahiers de philosophie de l’Université de Caen - 2008


    Article

    Construction sociale, biologie et évolution culturelle. Un modèle intégratif de la pensée raciale

    Édouard MACHERY, Luc FAUCHER

    Sous la direction de Michel de FORNEL, Cyril LEMIEUX
    Dans Naturalisme versus constructivisme - 2008


    Article

    La nature, la construction sociale et l’histoire. Remarques sur l’œuvre de Ian Hacking

    Étienne ANHEIM, Stéphane GIOANNI

    Sous la direction de Michel de FORNEL, Cyril LEMIEUX
    Dans Naturalisme versus constructivisme - 2008


    Monographie

    Sociologie et philosophie: libres échanges : Bourdieu, Derrida, Durkheim, Foucault, Sartre

    Louis PINTO
    Éditeur : Éditions d’Ithaque - 2014


    ARTICLE

    Réalité donnée, réalité construite. À propos d’un argument de Searle

    • Pages : 39 à 62
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    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 04-01-2011

    Résumé :

    Français

    Cet article développe une théorie de la construction sociale de la réalité, non pour l’entériner mais pour mettre en question la frontière entre réalité construite et réalité donnée. Arguant du fait que toute construction sociale d’une réalité doit présupposer des réalités antérieures non sociales, donc naturelles, Searle affirme l’existence de faits bruts naturels. Michel Bitbol critique la version abrupte et indéterminée de l’argument transcendantal que livre Searle et en propose une version remaniée en l’interprétant dans une perspective pragmatiste.

     

    ARTICLE

    Construction sociale, biologie et évolution culturelle. Un modèle intégratif de la pensée raciale

    • Pages : 213 à 240
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    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 21-02-2015

    Résumé :

    Français

    De nos jours, l’approche dominante dans le débat sur les races est le constructionnisme social. Les tenants de cette approche soutiennent que le concept de race est un concept pseudo-biologique utilisé pour justifier et rationaliser le traitement inéquitable d’un groupe de gens par un autre. Ils proposent que les classifications raciales et la manière dont les races sont conceptualisées résultent des conditions sociales propres à chaque culture. L'article examine les mérites et les limites de cette approche, et soutient qu’elle doit être complétée par une approche évolutionniste et cognitive. Sur la base des travaux de Gil-White, les auteurs notent que l’évolution de la cognition sociale a été fortement influencée par la vie de nos ancêtres au sein de larges groupes appelés «ethnies». Ils avancent que la cognition raciale résulte d’un système cognitif dédié à ce type d’organisation sociale.

    Anglais

    Today, social constructionism constitutes the dominant appoach to the debate on races. The champions of this approach defend the concept of race as a pseudo-biological concept used to justify and rationalize the unequal treatment of one group of people by another. They propose that racial classifications and the manner in which races are conceptualised are the consequence of each culture’s social conditions. Here are examined the merits and limits of this approach and the authors maintain that it should be completed by a cognitive and evolutionist approach. On the basis of Gil-White’s works, they suggest that the evolution of social cognition was strongly influenced by our ancestors’ lives within big groups called «ethnies». They suggest that racial cognition is the result of a cognitive system devoted to this kind of social organisation.

     

    ARTICLE

    La nature, la construction sociale et l’histoire. Remarques sur l’œuvre de Ian Hacking

    • Pages : 293 à 317
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    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 21-02-2015

    Résumé :

    Français

    Les recherches de Ian Hacking semblent une piste prometteuse pour échapper à la confrontation brutale entre constructionnisme social et naturalisme au sein même des sciences sociales. Nous avons tenté, dans un premier temps, de rappeler les grands traits de sa position théorique, qui lie la réalité des phénomènes et leur construction dans l’ordre de la sémantique au sein d’une «forme de connaissance», puis d’en évaluer l’intérêt pour l’historien à partir d’une étude de cas empirique, celle des usages de la notion de profane dand l’Antiquité tardive. Les difficultés rencontrées nous ont conduits à souligner certains problèmes épistémologiques inhérents à sa démarche, puis à montrer, à l’aide d’une réflexion sur la musique polyphonique à la fin du Moyen Âge, comment la question de la nature et de la construction telle que Hacking la posait pouvait être enrichie par la confrontation avec Wittgenstein et déboucher sur une collaboration féconde entre philosophie et sciences sociales.

    Anglais

    Ian Hacking’s researches seem to be a promising path to escape the brutal confrontation between social constructionism and naturalism within the social sciences. We recall the broad lines of his theoretical position that link the reality of phenomena and their construction in semantics within a «kind of knowledge» and evaluate their interest for the historian through an empirical case study, that of the uses of the notion of profane in late Antiquity. The difficulties encountered have led us to underline some epistemological problems in this approach. With the help of a reflection on polyphonic music at the end of the middle ages, we demonstrate how Hacking’s question on nature and construction can be enriched by a confrontation with Wittgenstein. This question leads to a fruitful collaboration between philosophy and the social sciences.

     

    MONOGRAPHIE

    Sociologie et philosophie: libres échanges

    Bourdieu, Derrida, Durkheim, Foucault, Sartre

    • Pages : 264
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    • Support : Document imprimé
    • Edition : Originale
    • Ville : Montreuil-sous-Bois
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    • Institution : École des Hautes Études en Sciences Sociales
    • ISBN : 978-2-916120-46-1
    • URL : Lien externe
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    • Date de création : 01-12-2014
    • Dernière mise à jour : 27-02-2015

    Résumé :

    Français

    Ce livre tente de répondre à la question : « comment penser les échanges entre sociologie et philosophie ? », en offrant des descriptions des croisements entre les deux disciplines. L’introduction indique les différentes possibilités d’articuler sociologie et philosophie. Sont passées en revue de manière plus ou moins critique la (supposée) conversion des philosophes aux sciences sociales, la recherche par les sociologues de gages philosophiques, mais aussi les usages honnêtes par les uns des références des autres. On comprend rapidement que l’auteur s’engage dans la voie de Bourdieu, à savoir une sociologie de la philosophie, qui se révèle être une philosophie négative. La première partie relève de la sociologie historique et porte sur la question des frontières disciplinaires, tout d’abord entre sociologie et psychologie autour de Durkheim, Mauss et Halbwachs, ensuite entre sociologie et philosophie autour de Bergson et Bayet. La deuxième partie relève aussi de la sociologie historique : y sont envisagées les trajectoires sociales de figures contemporaines. Il est question d’abord de la trajectoire de Sartre et de son rapport à la sociologie ; ensuite du triangle formé par Bourdieu, Foucault et Derrida, situés dans le champ philosophique d’alors et analysés selon leur réussite scolaire ; de Foucault et de son rapport à la psychologie ; enfin de Bourdieu et de sa pensée de la pratique. La troisième partie traite de différents aspects internes de la pensée de Bourdieu. En premier lieu, il est question de l’héritage de sa pensée, c’est-à-dire de la manière pratique (et non théorique) d’en hériter ; en second lieu, de ce que l’on peut apprendre de la sociologie, en ce qu’elle révèle notamment « ce qui est caché » ; en troisième lieu, de la nature de la compréhension qu’on trouve en sociologie ; en quatrième lieu, du capital selon Bourdieu et de la possibilité d’ajouter d’autres formes à celles mentionnées par lui ; en cinquième lieu, de la dimension critique de la sociologie de Bourdieu, par contraste notamment avec la sociologie de la critique développée par Boltanski. La quatrième partie est consacrée plus précisément au champ intellectuel, sur le mode de « considérations actuelles ». La reprise de la notion de sujet est ainsi abordée en partie d’un point de vue philosophique : le « je » est analysé au moyen de Wittgenstein et le rapport à soi au moyen de Descombes. L’élection de Claudine Tiercelin au Collège de France et les réactions du monde journalistique, ainsi que l’habituation à des discours philosophiques dont on ne discerne pas le sens ou l’absence de sens sont l’objet d’un deuxième et d’un troisième chapitres au sein de cette quatrième partie. – Introduction de Louis Pinto, pp. 5-14 ; Origine des textes, pp. 255-256 ; Index des noms, pp. 257-259 ; Index des notions, pp. 259-260. P. F.

    Anglais

    The book answers to the question: “how can we think the relations between sociology and philosophy”, providing some descriptions of the meetings of the two subjects. The introduction indicates the different possibilities to articulate sociology and philosophy, and lists in a more or less critical way the (supposed) conversion of the philosophers to the social sciences, the sociologists’ way to look for philosophical guarantees, but also the honest uses of philosophical and sociological references in each domain. One quickly understands that the author adopts Bourdieu’s position, namely a sociology of philosophy that turns out to be a negative philosophy. The first part of the book falls under historical sociology and is about disciplinary borders, first of all between sociology and philosophy around Durkheim, Mauss and Halbwachs; then between sociology and philosophy around Bergson and Bayet. The second part too falls under historical sociology: the author considers the social trajectories of contemporary figures. We have first Sartre’s trajectory and his relation to sociology; then the “triangle” Bourdieu-Foucault-Derrida located in the philosophical field of their time and analysed according to their academic success; Foucault and his relation to psychology; finally Bourdieu and his idea of practice. The third part is about different internal aspects in Bourdieu’s thought. What is at stake is firstly the inheritance of his thought, that’s to say the practical (non theoretical) way to inherit it; secondly what we can learn from sociology in the sense that it turns out what is “concealed”; thirdly the nature of the understanding that we find in sociology; fourthly the capital according to Bourdieu and the possibility to talk about new forms of capital in addition of these mentioned by him; finally the critical dimension of Bourdieu’s sociology, that has to be distinguished from the sociology of critics developed by Luc Boltanski. The fourth part is devoted more precisely to the intellectual field in an “actual observations” style. The concept of subject is considered in a philosophical way: the “I” is analysed with Wittgenstein, and the relation to oneself with Vincent Descombes. Claudine Tiercelin’s election to the Collège de France, the journalistic reactions to it, and the habituation to unclear philosophical talks, are considered in the two last chapters of this fourth part. – Introduction by Louis Pinto, pp. 5-14 ; Origin of the texts, pp. 255-256 ; Index nominum, pp. 257-259 ; Index rerum, pp. 259-260. P. F.