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2. Signification des pictogrammes utilisés dans la base de données

      2.1. Un pictogramme par type de document

Monographie


Dictionnaire / Encyclopédie


Collectif


Article


Revue / Périodique


Thèse

3. Possibilités manipulatoires de la sphère

      3.1. Vous pouvez la faire tourner dans tous les sens

      3.2. Vous pouvez la zoomer et la dézoomer

      3.3. Vous pouvez cliquer sur les mots-clés qu'elle présente




Nuage de mots-clés associé à : Cognitivisme
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    NOTICES

    Liste des références bibliographiques indexées

    Collectif

    Philosophies de la perception : phénoménologie, grammaire et sciences cognitives

    Sous la direction de Jacques BOUVERESSE
    Éditeur : Odile Jacob - 2003


    Article

    Réalisme et animisme sont les deux mamelles du cognitivisme

    Jean-Gabriel GANASCIA

    Sous la direction de Thierry GAUDIN, Armand HATCHUEL
    Dans Les Nouvelles raisons du savoir : vers une prospective de la connaissance. - 2002


    Article

    Communication et cognition

    François RÉCANATI

    Sous la direction de Jacques BOUVERESSE
    Dans L’Âge de la science. Lectures philosophiques - 1991


    Article

    Concepts et normes : Wittgenstein contre Chomsky ?

    Samuel D. GUTTENPLAN

    Sous la direction de Daniel ANDLER, Pierre JACOB, Joëlle PROUST, François RÉCANATI, Dan SPERBER
    Dans Épistémologie et cognition - 1992


    Thèse

    De la cybernétique aux sciences de la cognition : Thèse de doctorat : Philosophie : Université Jean Moulin – Lyon III : 2007, sous la direction de Daniel Parrochia

    Mohsen BAYATANI

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    Éditeur : - 2007


    Thèse

    Le projet de la phénoménologie de la raison et le paradigme représentationnel de la philosophie de la conscience (la philosophie de Husserl dans le contexte du cognitivisme) : Thèse de doctorat : Philosophie : Université Paris Ouest Nanterre La Défense : 2000, sous la direction de Jean-François Courtine

    Wioletta MISKIEWICZ

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    Notice: Trying to access array offset on value of type null in /var/www/SipsDeploye/SIPS/abecedaire/fonctions.php on line 407
    Éditeur : - 2000


    Monographie

    Le contrôle dans les systèmes à base de connaissances : contribution à l'épistémologie de l'intelligence artificielle

    Bruno BACHIMONT
    Éditeur : Hermès Science Publications - 1994


    COLLECTIF

    Philosophies de la perception : phénoménologie, grammaire et sciences cognitives

    • Pages : 320
    • Collection : Collection du Collège de France
    •  
    • Support : Document imprimé
    • Edition : Original
    • Ville : Paris
    •  
    • Institution : Collège de France
    • ISBN : 2-7381-1352-4
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 21-10-2015

    Résumé :

    Français

    Ouvrage issu des travaux du séminaire organisé par Jacques Bouveresse au Collège de France, de février à mai 2002, sur le thème “Approches de la perception : phénoménologie, grammaire et sciences cognitives”. – Pour la philosophie de la perception, ce recueil constitue un véritable état des lieux. Dans une perspective résolument pluraliste, il permet en effet de confronter et de faire se répondre trois approches, qui trop souvent s’ignorent, du problème de la perception : – celle de la phénoménologie, qui continue à représenter pour beaucoup de philosophes la tradition majeure dans le domaine de la philosophie de la perception, – celle des partisans du traitement “grammatical” de la question et des questions philosophiques en général à la manière de Wittgenstein, – celle, enfin, des praticiens des sciences cognitives et des neurosciences dont le mode de traitement des problèmes est à la fois plus empirique, plus respectueux des acquis récents de la science et plus conforme aux exigences du naturalisme. – Les communications sont distribuées selon cinq axes principaux : – I. Voir la réalité : Jocelyn Benoist, “Image scientifique et image manifeste du monde” ; Louis Allix, “Voyons-nous directement la réalité extérieure ?”. – II. Espace et mouvement : Jean Petitot, “Neurogéométrie et phénoménologie de la perception” ; Jérôme Dokic, “L’espace de la perception et de l’imagination” ; Alain Berthoz, “Stratégies cognitives et mémoire spatiale”. – III. Qualités, couleurs, transparence : François Clémentz, “Le concept de propriété phénoménale” ; Jacques Bouveresse, “Y a-t-il une ‘logique des couleurs’ ?” ; Jean-Maurice Monnoyer, “La transparence et le caractère double de l’expérience”. – IV. Voir, voir comme et penser : Christiane Chauviré, “Perception visuelle et mathématiques chez Peirce et Wittgenstein” ; Jean-Jacques Rosat, “Comment décrire ce que nous nommons ‘voir’ ? : Wittgenstein lecteur de Köhler ”. – V. Concept, contenu, représentation : Pascal Engel, “Le contenu de la perception est-il conceptuel ?” ; Élisabeth Pacherie, “Modes de structuration des contenus perceptifs visuels” ; Sandra Laugier, “La perception est-elle une représentation ?”. – Présentation des auteurs pp. 315-317. M.-M. V.

     

    ARTICLE

    Réalisme et animisme sont les deux mamelles du cognitivisme

    • Pages : 147 à 156
    •  
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 04-01-2011

    Résumé :

     

    ARTICLE

    Communication et cognition

    • Pages : 231 à 249
    •  
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 04-01-2011

    ARTICLE

    Concepts et normes : Wittgenstein contre Chomsky ?

    • Pages : 221 à 238
    •  
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 04-01-2011

    Résumé :

    Français

    Sur la compatibilité entre l’approche cognitiviste du langage représentée par Chomsky et l’analyse critique de l’usage du mot «règle» que propose Wittgenstein. Samuel Guttenplan suggère une interprétation «non sceptique» du § 201 des Investigations philosophiques qui lui permet de soutenir que les deux auteurs ont des projets distincts : — Wittgenstein s’intéresse à la question constitutive : qu’est-ce que posséder un concept, et montre qu’aucune réduction à quelque chose d’autre (en termes neurophysiologiques, psychologiques, etc.) ne constitue une réponse acceptable; – Chomsky, de son côté, cherche non pas à réduire la possession de concepts à quelque chose d’autre, mais à explorer le réseau des concepts autour duquel s’organise la compétence linguistique. – [Trad. de l’anglais par Joëlle Proust].

     

    THÈSE

    De la cybernétique aux sciences de la cognition

    Thèse de doctorat : Philosophie : Université Jean Moulin – Lyon III : 2007, sous la direction de Daniel Parrochia

    • Année : 2007
    • Pages : 316
    •  
    • Support : Document électronique
    • Ville : [s.l.]
    •  
    • Institution : Université Lyon III
    • URL : Lien externe
    •  
    • Date de création : 04-10-2012
    • Dernière mise à jour : 24-10-2012

    Résumé :

    Français

    Contrairement à ce qui est souvent dit, les sciences cognitives ne sont que secondairement liées à l'essor extraordinaire et récent de l'informatique. Elles trouvent leur origine dans le mouvement cybernétique, né aux Etats-Unis dans les années 1940. L'objectif initial de ce mouvement était d'édifier une science générale du cerveau et fonder une neurologie de l'esprit. En 1956, il atteint son objectif en créant les sciences cognitives qui constituent désormais les nouvelles sciences du cerveau. Dans ce travail, l'auteur insiste sur le fait que dans les systèmes vivants, la « vie de relation » est associée à la « vie affective », ce qui permet aux vivants d'identifier et de reconnaître les objets réels à travers les sentiments qu'ils produisent en lui, d'où les avantages adaptatifs que la cognition consciente apporte à l'organisme. Par conséquent, contrairement à la représentation symbolique utilisée dans les machines informatiques, la représentation consciente a une dimension affective. Autrement dit, la pensée n'est pas un simple calcul et on ne peut pas réduire l'esprit à un petit nombre d'opérations logiques. Ensuite, ce travail vise à cerner les implications philosophiques de l'analyse cybernétique du système vivant. Ici, l'être vivant est considéré comme un système de communication dans ses rapports avec le milieu et les autres organismes. Dès lors, les phénomènes vitaux, tels que la pensée et l'intelligence s'expliquent en termes cybernétiques et à travers la transmission de l'information sensorielle dans les circuits neuronaux. Ainsi, une nouvelle conception du vivant et de la vie s'installe et s'oppose à celle des philosophes traditionnels.

     

    THÈSE

    Le projet de la phénoménologie de la raison et le paradigme représentationnel de la philosophie de la conscience (la philosophie de Husserl dans le contexte du cognitivisme)

    Thèse de doctorat : Philosophie : Université Paris Ouest Nanterre La Défense : 2000, sous la direction de Jean-François Courtine

    • Année : 2000
    • Pages : 362
    •  
    • Support : Document imprimé
    • Ville : [s.l.]
    •  
    •  
    • Date de création : 24-10-2012
    • Dernière mise à jour : 24-10-2012

    Résumé :

    Français

    On peut considérer ce travail comme la reconstruction au sein de l'oeuvre de Husserl des aspects prouvant la justesse de l'intuition de Ricoeur qui décrit la phénoménologie transcendantale comme phénoménologie de la raison (l'étude de la relation entre le noème et l'objet effectif). Cette philosophie de la conscience remet en question l'universalité du paradigme représentationnel et la topologie gnoséologique intérieur/extérieur. Or, le paradigme représentationnel du cognitivisme en constitue le cadre théorique général. – Bibliographie, pp. 339-359.

    Anglais

    This study can be seen as the reconstruction within Husserl's work of elements which support Ricoeur's description of transcendental phenomenology of reason (the sutdy of the relationship between noema and the effective object). This pilosophy of conscience questions the universality of the representational paradigm of cognitivism constitutes its general theoretical framework. – References, 339-359.

     

    MONOGRAPHIE

    Le contrôle dans les systèmes à base de connaissances

    contribution à l'épistémologie de l'intelligence artificielle

    • Pages : XVIII-365
    • Collection : Langue, Raisonnement, Calcul
    •  
    • Support : Document imprimé
    • Edition : 2e édition française revue et augmentée
    • Ville : Paris
    •  
    • ISBN : 2-86601-425-1
    •  
    • Date de création : 18-07-2013
    • Dernière mise à jour : 11-10-2022

    Résumé :

    Français

    Un problème se pose dès lors qu'une conduite finalisée rencontre un obstacle à sa réalisation. L'élaboration de connaissances d'une part et la confection de techniques d'autre part apportent les médiations symboliques et instrumentales au moyen desquelles les hommes visent à résoudre les problèmes qui se posent à eux, c'est-à-dire à lever les obstacles bloquant leurs conduites. Tout problème ne peut donc être résolu que par l'intermédiaire de savoirs implicites (savoir-faire) ou explicites (connaissances). Or l'ordinateur, concrétisation d'une machine universelle de Turing, peut résoudre tout problème de façon automatique, à condition que la méthode de résolution du problème affronté soit traduite en procédures de calcul exécutables. De plus, toute connaissance est un savoir formaté dans un langage : ce langage pouvant être naturel ou artificiel. Lorsqu'un savoir est exprimé dans un langage naturel (le français par exemple), la connaissance produite est phénoménologique. En revanche, lorsqu'il est exprimé dans un langage artificiel (la logique ou les mathématiques), la connaissance produite est scientifique. Alors que les connaissances phénoménologiques sont signifiantes et renvoient à des expériences vécues, les connaissances scientifiques sont calculatoires : elles visent des objets construits théoriquement, ayant des propriétés logico-mathématiques en vertu desquelles ils peuvent être saisis comme des phénomènes mesurables. Ainsi, le mot électron, dès lors qu'il est employé dans le cadre de la physique théorique ne renvoie pas à un contenu pouvant être décrit de manière phénoménologique, mais à des équations qui mesurent la loi d'existence à laquelle son contenu est soumis. Les connaissances représentent donc des médiations entre un sujet connaissant et des objets connus et interviennent pour participer à la résolution des problèmes. Dès lors, un problème est modélisé à partir du moment où ses données sont exprimées sous forme de connaissances phénoménologiques ou scientifiques. La modélisation peut être informelle (lors de la construction du système de connaissances phénoménologiques renvoyant à la position du problème) ou formelle (lors de la construction du système de connaissances scientifiques correspondant aux données du problème), la modélisation formelle étant soit une mathématisation (synthèse de phénomènes) soit une formalisation (analyse de phénomènes). Or tous les problèmes ne sont pas logico-mathématiques. En effet les problèmes de la vie quotidienne ou de la vie pratique ne sont pas nécessairement logico-mathématiquement spécifiables et s'expriment systématiquement par des connaissances phénoménologiques. Dès lors, émerge le problème posé par les sciences cognitives : comment appréhender les connaissances phénoménologiques en termes de connaissances scientifiques ? Puis celui du cognitivisme computationnel : comment formaliser logiquement les connaissances phénoménologiques ? Et enfin celui du cognitivisme physique : comment mathématiser les connaissances phénoménologiques ? La résolution informatique de problèmes se décompose en deux grandes classes de problèmes : 1° celle pour laquelle on dispose de modèles mathématiques des contextes réels dans lesquels les problèmes se posent et 2° celle pour laquelle on ne dispose que d'une modélisation informelle à base de connaissances phénoménologiques. La seconde classe de problèmes forme l'objet d'étude de l'intelligence artificielle (IA). Dès lors l'IA est d'emblée confrontée au problème du contrôle, c'est-à-dire au problème de la bonne correspondance, au sein d'un système IA en fonctionnement, entre les représentations formelles qu'il manipule et les connaissances phénoménologiques qui leur sont associées. Ainsi, l'objectif de cet ouvrage est de contribuer à l'épistémologie de l'IA en dégageant les éléments d'une méthodologie du contrôle « fondée sur l'analyse théorique des connaissances phénoménologiques et de leurs représentations formelles ». La théorie de l'IA proposée par l'auteur, nommée artefacture, est une théorie originale permettant 1° d'articuler les connaissances et leur représentation et 2° de mettre en place une méthodologie du contrôle dans les systèmes à base de connaissances. Après avoir introduit le lecteur à sa problématique de la connaissance (chapitre 1), l'auteur expose le problème du contrôle dans la perspective de l'artefacture (chapitre 2). La première partie de l'ouvrage illustre cette méthodologie du contrôle (chapitres 3 à 5) ; la seconde (chapitres 6 à 8) en justifie le fondement théorique : l'artefacture. – Avertissement, p. v-vi ; Table des matières, pp. vii-xiv ; Liste des figures, pp. xv-xvi ; Liste des encadrés, pp. xvii-xviii ; Bibliographie, pp. 345-355 ; Index des notions, pp. 357-365.

    F. F.