1.1.1. Votre requête est guidée par la suggestion des mots-clés déjà enregistrés dans la base de données (auto-complétion)
1.1.2. Pour combiner des mots-clés dans une requête, plusieurs possibilités se présentent :
1) Opérateur ET : il doit être entré avec le symbole "&" :
2) Opérateur OU : il doit être entré avec le symbole "+" :
3) Opérateur SAUF : il doit être entré avec le symbole "-" :
1.2.1. Cliquez sur une lettre :
1.2.2. Vous avez la possibilité de faire tourner la boule des mots-clés associés au terme choisi :
1.2.3. Vous avez aussi la possibilité de cliquer sur un mot-clé :
1.2.4. Une fois un mot cliqué, un widget apparaît indiquant le nombre de notices indexées par le mot-clé sélectionné :
1.2.5. En cliquant sur le widget, vous faites apparaître la liste des références bibliographiques indexées par le mot-clé que vous avez sélectionné :
Vous avez la possibilité de faire défiler cette liste de références bibliographiques
1.2.6. Après avoir cliqué sur un résultat de requête, la notice associée à la référence bibliographique sélectionnée s’affiche :
1.2.7. Vous avez alors la possibilité de faire défiler la notice pour la consulter et lire son contenu
1.3.1. Cliquez sur le bouton accueil :
1.3.2. Vous avez la possibilité de choisir un critère parmi les critères suivants :
1.3.3. Cliquez sur le bouton OK ou sur la touche ENTER de votre clavier pour lancer la recherche
1.3.4. La liste des résultats s’affiche :
Vous avez la possibilité de faire défiler et de cliquer sur un résultat de requête
1.3.5. Une fois que vous avez sélectionné un résultat, la notice associée à cette référence bibliographique s’affiche et vous pouvez la consulter :
1.3.6. Pour afficher ou masquer le détail des métadonnées de la référence appuyer sur + ou sur – :
1.4.1. Entrez une requête dans le ou les champs souhaités
1.4.2. Votre requête est guidée par la suggestion des termes déjà enregistrés dans la base de données (auto-complétion) :
1.4.3. Pour sélectionner un item appuyez sur « + » ; pour retirer un item de la recherche appuyez sur « - »
1.4.4. Pour combiner les termes, sélectionnez les opérateurs que vous souhaitez utiliser dans votre requête :
1.4.5. Pour lancer votre recherche appuyez sur « Rechercher »
Monographie
Dictionnaire / Encyclopédie
Collectif
Article
Revue / Périodique
Thèse
3.1. Vous pouvez la faire tourner dans tous les sens
3.2. Vous pouvez la zoomer et la dézoomer
3.3. Vous pouvez cliquer sur les mots-clés qu'elle présente
Monde pluriel : Penser l'unité des sciences sociales
Bernard LAHIREÉditeur : Seuil - 2012
Comment penser l’unité des sciences sociales ? Ce livre a pour ambition de répondre à cette question, par-delà l’hétérogénéité des points de vue et intérêts de connaissance que l’on trouve dans des disciplines aussi différentes que la sociologie, l’histoire, la géographie, la psychanalyse, etc. Ces disciplines sont ramenées par l’auteur à un programme général d’étude des comportements humains qui tient dans une formule, héritée de Bourdieu mais retravaillée : « Passé incorporé + Contexte d’action présent = Pratiques ». B. Lahire montre le nécessaire équilibre des éléments de cette formule (chap. 1) : pour comprendre les pratiques, on ne peut ni se passer d’une référence au passé incorporé des acteurs, ni oublier le rôle essentiel du contexte présent dans l’actualisation des dispositions, compétences, etc. Cela suppose au passage de se démarquer de la formule de Bourdieu ( [(habitus)(capital)] + champ = pratique) qui assimile le passé incorporé au seul habitus et le contexte au seul champ. L’essentiel du livre met cependant l’accent principalement sur le contexte bien plus que sur les deux autres éléments de la formule, et ce, en le rapportant tout d’abord au mouvement historique de différenciation sociale des activités, de séparation des domaines de pratiques en « religion », « politique », « économie », « droit », etc. (chap. 2). Une grande importance est accordée à la distinction entre deux sens d’autonomie des pratiques, entre la spécificité et l’indépendance les unes à l’égard des autres. La notion de contexte est ensuite distinguée de celle, bourdieusienne, de « champ » (chap. 3), l’idée étant d’une part que tout contexte d’action pertinent n’est pas un champ, et d’autre part qu’il est essentiel de s’intéresser au « hors-champ » des acteurs. Enfin, un dernier chapitre porte sur l’opération de contextualisation (chap. 4), à comprendre plus précisément grâce à une distinction entre échelle d’observation de la réalité sociale, niveau de réalité sociale sur lequel on cherche à faire progresser la connaissance, et type d’objet étudié. Dans cette perspective, la discussion et la critique de l’interactionnisme occupent une place importance. Ce qui se dessine ainsi tout au long du livre, au fil de l’étude de la notion de contexte, c’est l’ambition renouvelée d’une « science de l’homme » par-delà l’enfermement disciplinaire. – Addenda, pp. 353-363 ; Bibliographie, pp. 369-384 ; Index des noms, pp. 385-388 ; Index thématique et conceptuel, pp. 389-393. P. F.