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Essai sur les conditions et les limites de la certitude logique
Gaston MILHAUDÉditeur : Félix Alcan - 1898
Le Problème logique de l’induction
Jean NICODÉditeur : Presses Universitaires de France - 1924
De la certitude
Ludwig WITTGENSTEINSous la direction de Gertrude Elisabeth Margaret ANSCOMBE, Georg Henrik von WRIGHTÉditeur : Gallimard - 2000
Pascal. Contingence et probabilités
Catherine CHEVALLEYÉditeur : Presses Universitaires de France - 1995
Über Gewissheit
Ludwig WITTGENSTEINÉditeur : Suhrkamp - 1970
Probabilité et certitude
Thierry MARTINSous la direction de Thierry MARTINDans Probabilités subjectives et rationalité de l’action - 2003
Essai sur les conditions et les limites de la certitude logique : Thèse proposée à la Faculté des lettres de Paris
Gaston MILHAUDÉditeur : Félix Alcan - 1894
Knowledge and Certainty. Essays and Lectures
Norman MALCOLMÉditeur : Prentice-Hall - 1963
Le propos de cet ouvrage est de montrer non seulement que «la contradiction logique, par les conditions qu’elle exige pour se reconnaître, n’autorise aucune affirmation en dehors des faits particuliers directement observés», mais aussi de dénoncer «l’illusion de tous ceux qui nous apportent, au nom du principe de contradiction, la solution définitive de problèmes dont la portée dépasse le domaine de l’expérience. Notre méthode reposera sur la distinction, fondamentale à nos yeux, de ce qui est donné et de ce qui est construit, dans les éléments de la pensée». – On trouve trois Parties principales : – la première (I. «Conditions de la contradiction logique») a pour objet d’établir directement la thèse de l’Auteur; – la deuxième (II. «Conditions de la certitude logique en mathématiques») comprend deux chapitres consacrés aux “Mathématiques pures” et un troisième qui s’attache à décrire le «Rôle des mathématiques dans la science générale»; cette Partie confirme la thèse initiale par un appel au témoignage des mathématiques; – la troisième Partie (III. «Examen direct de quelques problèmes philosophiques dont la solution est présentée au nom du principe de contradiction») analyse, dans le premier chapitre, le rapport entre “La mécanique et la liberté”, puis dans le deuxième, “Les conséquences philosophiques de la géométrie non euclidienne”, et consacre enfin le troisième chapitre à «La prétendue solution des antinomies mathématiques de Kant”; l’Auteur s’y attache « à ruiner, par un examen direct, ce que les opinions couramment formulées sur quelques problèmes philosophiques présentent de manifestement contradictoire avec nos conclusions ». M.-M. V.
Étant donné que nous induisons sans cesse, quels sont les principes logiques que suppose notre raisonnement expérimental ? Certaine en théorie, l’induction est-elle seulement probable dans la pratique ? Mais «si les inductions réelles ne remplissent pas les conditions qui les rendraient certaines et qu’on vient de se donner dans la théorie, il s’ensuit qu’elles ne sont pas certaines, mais nullement que malgré cela elles demeurent assez probables, ou très probables, ou extrêmement probables : la certitude étant manquée, la probabilité reste tout entière à établir, et la théorie tout entière à refaire». Pour confirmer ce principe et en étudier les conséquences, l’Auteur tente d’établir le problème logique de l’induction sur son véritable terrain, celui de la probabilité. – Notions préliminaires; – Hypothèse sur les deux rapports élémentaires d’un fait à une loi; – L’induction par infirmation; – L’induction par confirmation. M.-M. V.
La présente édition, au format de poche, est une réimpression de la première traduction française (Paris, Gallimard, 1965. 2e éd., ibid., 1976). Le texte de l’édition anglaise de référence a paru sous le titre On certainty (Oxford : Basil Blackwell, 1969), traduit par Denis Paul et G. E. M. Anscombe. – L’ouvrage s’ouvre sur une Notice biographique (pp. 7-30) établie par Georg Henrik von Wright, extraite de l’ouvrage de Norman Malcolm, Ludwig Wittgenstein, dont l’édition originale a été publiée en langue anglaise à Oxford, Oxford University Press, 1958 (Édition française, Paris : Gallimard, 1965, coll. Les Essais). Cette Notice biographique est traduite de l’anglais par Guy Durand. – Il s’agit du dernier écrit de Wittgenstein, achevé quelques jours avant sa mort, à Cambridge, le 29 avril 1951. Ce recueil de notes du philosophe, réunies après sa mort sous le titre De la certitude, traite de la vérité, du savoir, de son étendue, de ses limites, de la certitude, etc. M.-M. V.
Chez Pascal, l’objet mathématique ou physique est pensé non comme une idéalisation de l’objet naturel qui en révélerait l’essence, mais comme relation et rapport. La Nature n’obéit pas à des lois universelles et nécessaires, elle est un processus soumis à des fluctuations. La connaissance est un savoir qui n’est ni certain, ni neutre et indépendant de son objet, mais intrinsèquement incomplet et relatif à ses propres conditions d’énonciation. Sur ces trois points, Pascal s’oppose directement au cartésianisme. Pourtant, sa critique de ce qui s’instaure chez Descartes n’est ni simplement sceptique ni réductible au primat accordé à l’apologétique. Face à la position cartésienne, l’œuvre de Pascal constitue non seulement une alternative cohérente dans le domaine de la théorie de la connaissance, mais aussi une tentative globale pour penser ensemble la contingence et la probabilité mathématique. L’objet de ce livre sera donc de montrer par quels chemins l’épistémologie anticartésienne de Pascal l’a amené à donner la première «formulation philosophique» (selon les termes de Cassirer) du probabilisme. – Introduction : «La Nature sans la Nécessité». – I. «Questions cartésiennes» : De la Géométrie à la Mathesis universalis; Le problème de la certitude de la physique géométrique; La fondation métaphysique contre la contingence. – II. «Contre Descartes» : Incomplétude de la connaissance; Contingence de la connaissance; Le refus de la fondation métaphysique. – III. «La possibilité de la connaissance» : Procédés d’objectivation; Calculer l’incertain : la «Géométrie du hasard»; Interdépendance de l’objet et de la méthode : le fragment 418, 100. – IV. «Les effets de l’anticartésianisme». – Conclusion : «Nature et probabilité». – Annexe : Lettre à Fermat du 29 juillet 1654. M.-M. V.
– Introduction; – 1. Statut du principe des probabilités négligeables; – 2. Le principe pragmatique; – 3. Le principe physique : La notion de probabilité universellement négligeable; Les nombres inaccessibles; – 4. La dualité constitutive du principe; – Conclusion.
This collection of essays and lectures consists mainly of pieces which have been published before. What is new is the lecture on G.E. Moore and the second and third lectures on memory originally delivered at Princeton in 1962, « Three Forms of Memory » and « A Definition of Factual Memory ». The other essays appear substantially as they did in philosophical publications. The longest essay is the one on the Verification Argument, which consists of a vigorous criticism of the analysis Carnap and C.I. Lewis make of the notions of « theoretical certainty » and « absolute certainty » as applied to empirical statements. Two chief errors are alleged of Carnap and Lewis. First, a failure to see that on their view of « theoretical certainty », it would require an infinite number of acts of verification to be performed before we could say that any statement was theoretically certain. Since it is a contradiction to assert that an infinite number of actions have been performed, they are guilty of misusing the expression « theoretically certain ». « What they call ' theoretically certain ' cannot be attained even in theory » (p. 56). The second, and more serious, error is to equate the expression « absolutely certain » with « theoretically certain ». This would have as a consequence that the perfectly straightforward statements, whether true, false or problematic, like « It is absolutely certain that Socrates had a wife », are self-contradictory. — Some of the assumptions and implications of the position are discussed in other essays. M.-M.V.