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2. Signification des pictogrammes utilisés dans la base de données

      2.1. Un pictogramme par type de document

Monographie


Dictionnaire / Encyclopédie


Collectif


Article


Revue / Périodique


Thèse

3. Possibilités manipulatoires de la sphère

      3.1. Vous pouvez la faire tourner dans tous les sens

      3.2. Vous pouvez la zoomer et la dézoomer

      3.3. Vous pouvez cliquer sur les mots-clés qu'elle présente




Nuage de mots-clés associé à : Agent
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    5
    NOTICES

    Liste des références bibliographiques indexées

    Article

    Rationalité et stabilité des intentions

    Jocelyne COUTURE

    Sous la direction de Jean-Pierre DUPUY, Pierre LIVET
    Dans Les Limites de la rationalité - 1997


    Article

    Impact de l’organisation du marché. Comparaison de la négociation de gré à gré et des enchères descendantes

    Alan KIRMAN, Sonia MOULET

    Sous la direction de Gérard WEISBUCH, Hervé P. ZWIRN
    Dans Qu’appelle-t-on aujourd’hui les sciences de la complexité ? Langages, réseaux, marchés, territoires - 2010


    Collectif

    Épistémologie des sciences sociales

    Sous la direction de Jean-Michel BERTHELOT
    Éditeur : Presses Universitaires de France - 2012


    Monographie

    Monde pluriel : Penser l'unité des sciences sociales

    Bernard LAHIRE
    Éditeur : Seuil - 2012


    Monographie

    Sociologie et philosophie: libres échanges : Bourdieu, Derrida, Durkheim, Foucault, Sartre

    Louis PINTO
    Éditeur : Éditions d’Ithaque - 2014


    ARTICLE

    Rationalité et stabilité des intentions

    • Pages : 334 à 340
    •  
    •  
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    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 04-01-2011

    Résumé :

    Français

    Commentaire sur l’article précédent. Dans un premier temps, Jocelyne Couture discute de la critique adressée par Livingston aux modèles du choix rationnel, en supposant qu’il inclut, parmi ceux-ci, la théorie formelle du choix rationnel. Dans un second moment, la discussion porte sur les modifications que Livingston propose d’apporter à la théorie de Bratman.

     

    ARTICLE

    Impact de l’organisation du marché. Comparaison de la négociation de gré à gré et des enchères descendantes

    • Pages : 155 à 183
    •  
    •  
    •  
    • Date de création : 04-01-2011
    • Dernière mise à jour : 26-02-2015

    Résumé :

    Français

    Cet article compare deux modes institutionnels classiques de confrontation dynamique entre l’offre et la demande d’un bien : les enchères descendantes et les négociations bilatérales. Il s’appuie sur la simulation sur longue période des prix par des systèmes multi-agents avec classificateurs, et examine diverses variantes, – agents plus ou moins homogènes, – concurrence plus ou moins forte. Une optimisation des échanges par la méthode du «recuit simulé» complète l’ensemble.

     

    COLLECTIF

    Épistémologie des sciences sociales

    • Pages : XII-593
    • Collection : Quadrige Manuels
    •  
    • Support : Document imprimé
    • Edition : 2e édititon
    • Ville : Paris
    •  
    • ISBN : 978-2-13-060724-3
    • URL : Lien externe
    •  
    • Date de création : 23-01-2013
    • Dernière mise à jour : 19-06-2022

    Résumé :

    Français

    Cet ouvrage vise à cerner ce que sont les sciences sociales et la réflexivité qu'elles mettent chacune en oeuvre pour saisir leur statut épistémologique. Il est divisé en trois parties. La première (chap. 1 à 5) présente les diverses disciplines regroupées sous le genre science sociale : l'histoire, la géographie, l'économie, les sciences du langage et de la communication, la sociologie, l'ethnologie, la démographie et la psychologie sociale. La seconde (chap. 6 à 9) étudie les problématiques communes qui rendent possible leur enrichissement réciproque par le biais de la réflexion interdisciplinaire : les relations entre action et cognition, le rapport de leurs objets à l'histoire, l'opposition méthodologique entre individualisme et holisme, les types de modèles qu'elles élaborent. Enfin la troisième partie (chap. 10 et 11) tente de poser deux problèmes, le premier méthodologique (celui de leur construction au cours de programmes de recherche), le second épistémologique (celui de l'autonomie d'une philosophie des sciences sociales).

    F. F.

     

    MONOGRAPHIE

    Monde pluriel

    Penser l'unité des sciences sociales

    • Année : 2012
    • Éditeur : Seuil
    • Pages : 400
    • Collection : La Couleur des idées
    •  
    • Support : Document imprimé
    • Edition : Originale
    • Ville : Paris
    •  
    • ISBN : 978-2-02-106459-9
    • URL : Lien externe
    •  
    • Date de création : 25-07-2013
    • Dernière mise à jour : 22-04-2015

    Résumé :

    Français

    Comment penser l’unité des sciences sociales ? Ce livre a pour ambition de répondre à cette question, par-delà l’hétérogénéité des points de vue et intérêts de connaissance que l’on trouve dans des disciplines aussi différentes que la sociologie, l’histoire, la géographie, la psychanalyse, etc. Ces disciplines sont ramenées par l’auteur à un programme général d’étude des comportements humains qui tient dans une formule, héritée de Bourdieu mais retravaillée : « Passé incorporé + Contexte d’action présent = Pratiques ». B. Lahire montre le nécessaire équilibre des éléments de cette formule (chap. 1) : pour comprendre les pratiques, on ne peut ni se passer d’une référence au passé incorporé des acteurs, ni oublier le rôle essentiel du contexte présent dans l’actualisation des dispositions, compétences, etc. Cela suppose au passage de se démarquer de la formule de Bourdieu ( [(habitus)(capital)] + champ = pratique) qui assimile le passé incorporé au seul habitus et le contexte au seul champ. L’essentiel du livre met cependant l’accent principalement sur le contexte bien plus que sur les deux autres éléments de la formule, et ce, en le rapportant tout d’abord au mouvement historique de différenciation sociale des activités, de séparation des domaines de pratiques en « religion », « politique », « économie », « droit », etc. (chap. 2). Une grande importance est accordée à la distinction entre deux sens d’autonomie des pratiques, entre la spécificité et l’indépendance les unes à l’égard des autres. La notion de contexte est ensuite distinguée de celle, bourdieusienne, de « champ » (chap. 3), l’idée étant d’une part que tout contexte d’action pertinent n’est pas un champ, et d’autre part qu’il est essentiel de s’intéresser au « hors-champ » des acteurs. Enfin, un dernier chapitre porte sur l’opération de contextualisation (chap. 4), à comprendre plus précisément grâce à une distinction entre échelle d’observation de la réalité sociale, niveau de réalité sociale sur lequel on cherche à faire progresser la connaissance, et type d’objet étudié. Dans cette perspective, la discussion et la critique de l’interactionnisme occupent une place importance. Ce qui se dessine ainsi tout au long du livre, au fil de l’étude de la notion de contexte, c’est l’ambition renouvelée d’une « science de l’homme » par-delà l’enfermement disciplinaire. – Addenda, pp. 353-363 ; Bibliographie, pp. 369-384 ; Index des noms, pp. 385-388 ; Index thématique et conceptuel, pp. 389-393. P. F.

     

    MONOGRAPHIE

    Sociologie et philosophie: libres échanges

    Bourdieu, Derrida, Durkheim, Foucault, Sartre

    • Pages : 264
    •  
    • Support : Document imprimé
    • Edition : Originale
    • Ville : Montreuil-sous-Bois
    •  
    • Institution : École des Hautes Études en Sciences Sociales
    • ISBN : 978-2-916120-46-1
    • URL : Lien externe
    •  
    • Date de création : 01-12-2014
    • Dernière mise à jour : 27-02-2015

    Résumé :

    Français

    Ce livre tente de répondre à la question : « comment penser les échanges entre sociologie et philosophie ? », en offrant des descriptions des croisements entre les deux disciplines. L’introduction indique les différentes possibilités d’articuler sociologie et philosophie. Sont passées en revue de manière plus ou moins critique la (supposée) conversion des philosophes aux sciences sociales, la recherche par les sociologues de gages philosophiques, mais aussi les usages honnêtes par les uns des références des autres. On comprend rapidement que l’auteur s’engage dans la voie de Bourdieu, à savoir une sociologie de la philosophie, qui se révèle être une philosophie négative. La première partie relève de la sociologie historique et porte sur la question des frontières disciplinaires, tout d’abord entre sociologie et psychologie autour de Durkheim, Mauss et Halbwachs, ensuite entre sociologie et philosophie autour de Bergson et Bayet. La deuxième partie relève aussi de la sociologie historique : y sont envisagées les trajectoires sociales de figures contemporaines. Il est question d’abord de la trajectoire de Sartre et de son rapport à la sociologie ; ensuite du triangle formé par Bourdieu, Foucault et Derrida, situés dans le champ philosophique d’alors et analysés selon leur réussite scolaire ; de Foucault et de son rapport à la psychologie ; enfin de Bourdieu et de sa pensée de la pratique. La troisième partie traite de différents aspects internes de la pensée de Bourdieu. En premier lieu, il est question de l’héritage de sa pensée, c’est-à-dire de la manière pratique (et non théorique) d’en hériter ; en second lieu, de ce que l’on peut apprendre de la sociologie, en ce qu’elle révèle notamment « ce qui est caché » ; en troisième lieu, de la nature de la compréhension qu’on trouve en sociologie ; en quatrième lieu, du capital selon Bourdieu et de la possibilité d’ajouter d’autres formes à celles mentionnées par lui ; en cinquième lieu, de la dimension critique de la sociologie de Bourdieu, par contraste notamment avec la sociologie de la critique développée par Boltanski. La quatrième partie est consacrée plus précisément au champ intellectuel, sur le mode de « considérations actuelles ». La reprise de la notion de sujet est ainsi abordée en partie d’un point de vue philosophique : le « je » est analysé au moyen de Wittgenstein et le rapport à soi au moyen de Descombes. L’élection de Claudine Tiercelin au Collège de France et les réactions du monde journalistique, ainsi que l’habituation à des discours philosophiques dont on ne discerne pas le sens ou l’absence de sens sont l’objet d’un deuxième et d’un troisième chapitres au sein de cette quatrième partie. – Introduction de Louis Pinto, pp. 5-14 ; Origine des textes, pp. 255-256 ; Index des noms, pp. 257-259 ; Index des notions, pp. 259-260. P. F.

    Anglais

    The book answers to the question: “how can we think the relations between sociology and philosophy”, providing some descriptions of the meetings of the two subjects. The introduction indicates the different possibilities to articulate sociology and philosophy, and lists in a more or less critical way the (supposed) conversion of the philosophers to the social sciences, the sociologists’ way to look for philosophical guarantees, but also the honest uses of philosophical and sociological references in each domain. One quickly understands that the author adopts Bourdieu’s position, namely a sociology of philosophy that turns out to be a negative philosophy. The first part of the book falls under historical sociology and is about disciplinary borders, first of all between sociology and philosophy around Durkheim, Mauss and Halbwachs; then between sociology and philosophy around Bergson and Bayet. The second part too falls under historical sociology: the author considers the social trajectories of contemporary figures. We have first Sartre’s trajectory and his relation to sociology; then the “triangle” Bourdieu-Foucault-Derrida located in the philosophical field of their time and analysed according to their academic success; Foucault and his relation to psychology; finally Bourdieu and his idea of practice. The third part is about different internal aspects in Bourdieu’s thought. What is at stake is firstly the inheritance of his thought, that’s to say the practical (non theoretical) way to inherit it; secondly what we can learn from sociology in the sense that it turns out what is “concealed”; thirdly the nature of the understanding that we find in sociology; fourthly the capital according to Bourdieu and the possibility to talk about new forms of capital in addition of these mentioned by him; finally the critical dimension of Bourdieu’s sociology, that has to be distinguished from the sociology of critics developed by Luc Boltanski. The fourth part is devoted more precisely to the intellectual field in an “actual observations” style. The concept of subject is considered in a philosophical way: the “I” is analysed with Wittgenstein, and the relation to oneself with Vincent Descombes. Claudine Tiercelin’s election to the Collège de France, the journalistic reactions to it, and the habituation to unclear philosophical talks, are considered in the two last chapters of this fourth part. – Introduction by Louis Pinto, pp. 5-14 ; Origin of the texts, pp. 255-256 ; Index nominum, pp. 257-259 ; Index rerum, pp. 259-260. P. F.